Dans sa première déclaration après la passation des charges mardi à la Primature, le nouveau maître des lieux, Soumeylou Boubèye Maïga, a indiqué ses priorités : la lutte contre le terrorisme, le retour de la sécurité sur tout le territoire et la tenue des élections générales. A ces tâches herculéennes, il devra ajouter la colère des enseignants. Ceux-ci déplorent la mauvaise foi de l’Etat à honorer ses engagements et croisent les bras.
De nombreux enseignants, à l’appel d’un collectif de syndicats, observent une grève depuis bien avant les congés de Noël. Le Snec, leur emboîtant le pas, menace d’observer 5 jours de grève à partir du lundi 8 janvier 2018 si le protocole d’entente signé avec le gouvernement n’est pas immédiatement appliqué.
Le risque est grand de voir l’année scolaire prendre un sacré coup au moment où la baisse du niveau des élèves est sur toutes les lèvres. Il va sans dire que la tâche ne sera pas du tout facile pour le nouveau Premier ministre. Il devra se ceindre la taille : en n’oubliant surtout pas que l’espérance de vie à la naissance d’un chef de gouvernement au Mali est d’une semaine renouvelable.
DAK
De quoi est-il question au juste? Le statut autonome veut dire quoi en claire? Les revendications des enseignements consistent à quoi réellement? Voilà une problématique que je pose quand je vois des gens faire du chantage à l’Etat en brandissant une année blanche qui sacrifierait l’avenir de nos enfants. Mais une réponse commune à toutes ces questions et la plus plausible. C’est à cause de l’argent. L’égocentrisme est le premier vice à combattre au sein de la société malienne.
FB, tu fais du bruit pour ne rien dire. Tu n’es pas enseignant pour comprendre ce que nous vivons. Alors tu te tais. Nous t’avons vu à l’école …. une pourriture. Si tu te sens capable, viens dans l’enseignement pour montrer de quoi tu brûles. Égoïste, va. demande d’abord à ton état de reconnaitre les mérites des formateurs pour ensuite les payer à hauteur du mérite. Tu parle de chantage, oui tu chante dans ton salon, viens en classe devant les étudiants et participe à leur formation si tu en es capable. Tu parle ensuite d’année blanche qui sacrifierait l’avenir de nos enfants. Depuis quand tu deviens conscient jusqu’à parler d’avenir. Tu ferais mieux de te taire et de siroter tout ce que tu as acquis dans le noir et le flou. c’est toi qui parle comme si tu n’aimais pas l’argent. Diable, un tueur à cause des sous qui veut faire la morale à l’enseignant!!! silence pour ne pas être appeler à rendre compte. Satan, reste en bordure de l’enfer pour ne pas prendre le risque de glisser au fonds du feu. A bon entendeur SALUT. Wa Salham!!
Dans une année électorale où beaucoup d’incertitudes planent sur la tenue des élections à cause de l’insécurité rampante ,les corporations doivent pouvoir mettre la balle à terre.
Il s’agit là d’adopter une attitude PATRIOTIQUE.
Les priorités énumérées par le premier ministre sont effectivement celles à adopter dans la situation chaotique actuelle du pays.
Ce serait irresponsable d’empêcher le chef du gouvernement de se concentrer sur les seules priorités susceptibles de DONNER à ce pays une nouvelle légitimité en juillet de cette année .
Il ne s’agit,cette année,ni d’Ibk,ni de BOUBEYE MAIGA ,ni de la majorité présidentielle ,ni de l’ opposition,mais du MALI.
Il FAUT AIDER à organiser les élections par la restauration de la sécurité,même si on sait que c’est une mission presque impossible.
Il y a des moments où les politiques politiciennes,les revendications catégorielles doivent laisser la place à la sauvegarde de l’ intérêt général .
Nous sommes à un moment précis,dans la même situation à la fin du mandat de AMADOU TOUMANI TOURÉ quand des bandits au sein de l’ armée malienne ont attaqué le palais présidentiel au moment où la nation avait besoin de la solidarité pour faire face à l’ ennemi.
Les conséquences sont qu’ aujourd’hui le MALI est presque sous tutelle de la communauté internationale .
Si nous répétons les mêmes erreurs,il faut s’attendre à la dislocation de ce pays comme en Yougoslavie.
Un mouvement s’est manifesté dans la région de kayes du côté de la France.
Si la situation se dégrade,ce mouvement peut se transformer en celui d’indépendance.
D’autres suivront dans d’autres localités du pays.
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