En un mot : Détonante démission

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Alors qu’on n’avait pas encore fini de commenter la démission de l’ex-garde des Sceaux, ministre de la Justice que l’on apprenait jeudi soir celle tout aussi retentissante du général Moussa Sinko Coulibaly de l’armée, se défendant de vouloir servir autrement.

L’ex-directeur de cabinet du capitaine Amadou Haya Sanogo, qui détenait jusqu’ici le poste de DG de l’Ecole de maintien de la paix (EMP/ABB) depuis son départ du 2e gouvernement d’IBK, a ainsi pris tout le monde de court, même si certains voyaient en lui un futur acteur majeur de la transition annoncée inéluctable par des observateurs de la scène politique.

On le disait au centre de certaines réflexions, voire discussions sur l’avenir de notre pays parce que réputé être l’un des officiers, sinon l’officier le plus brillant de sa génération (il est sorti de la prestigieuse école militaire française Saint-Cyr).

Reste qu’en démissionnant, il ne pourra plus longtemps cacher son “jeu”. D’ici là, il rallonge la liste des probables adversaires d’IBK à la présidentielle, prévue en principe en juillet 2018.

DAK

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5 COMMENTAIRES

  1. Bonjour à tous et à toutes,
    Tous ces commentaires sont bons à lire mais vous ne voyez pas profondément les choses en claire. Il faut d’abord savoir que le langage en politique et pratique sont deux choses, et même domaines différentes. Toutes les décisions à appliquer ne t’appartiennent pas surtout avec la politique actuelle dans le monde. Aujourd’hui, toute personne qui veut bien garder sa personnalité, ne s’engage pas dans la politique sinon tu seras déçu à savoir qu’aujourd’hui, ceux qui cherchent leurs propres intérêts sont plus importants en nombre que ceux qui veulent les intérêts communs de la population. Voilà des petits statistiques à analyser avant d’accuser les responsables. Aucun de ses politiciens maliens aujourd’hui ne pourra gérer les affaires du Mali comme nous les souhaitons. Je vous remercie.

  2. On voit aisément que la démission n’est pas dans notre culture. C’est pourquoi la démission d’une personne fait tant de bruit dans ce pays. La démission du général Moussa Sinko Coulibaly a une raison qu’on saura bientôt. Il ne faut donc pas dans des analyses politiciennes très tôt. Il est plus proche du président IBK que ce que les veulent faire comprendre. Il occupera certainement un poste stratégique pour la réélection du président IBK en 2018.

    • Mon frère, je t’invite à écouter Sinko sur VOA bambana, il a carrément rompu avec ce régime, il dit tout sauf ce régime en 2018.

  3. La politique est une science qui n’est pas adaptable à toutes les intelligences.
    Par contre,que les intelligences se mettent au service du politique seraient plus efficaces.
    Ce militaire brillant peut se noyer dans la médiocrité aux contacts d’autres intérêts machiavéliques comme ça été le cas du grand cheikh MODIBO DIARRA qui s’est fait influencer et exécuter les désirs des proches de son beau père.
    L’ élément moteur de la réussite en politique est L’IDÉAL qu’ on nourrit pour son pays.
    On n’en a pas,on échoue quelque soit la réussite qu’ on a pu manifester dans d’autres domaines prestigieux.
    C’est pourquoi on a pas besoin d’être un très grand intellectuel pour réussir en politique.
    Des grands intellectuels très brillants sortis des grandes écoles prestigieuses ont lamentablement échoué en politique.
    Même une mairie,ils n’ont pas pu la gérer convenablement à cause du manque d’idéal.
    Ce manque d’idéal rend insignifiant l’intelligence que le politique a manifesté dans d’autres domaines car c’est l’idéal qui permet de donner de la substance à son intelligence.
    Des hommes politiques moins prestigieux intellectuellement ont fait le bonheur de leurs peuples à cause de L’IDÉAL qui les animait.
    Une intelligence confirmée comme celle de ce jeune général n’est efficace qu’ à se mettre à la disposition d’un homme politique animé d’un idéal pour son pays.
    Il y a aussi le talent politique à étaler pour conquérir le pouvoir qui n’a pas aussi besoin de l’ intelligence académique pour s’affirmer.C’est au même titre qu’ un talent artistique ou sportif.
    Le jeune général a t’il ce talent.
    On peut aussi avoir le talent sans avoir L’IDÉAL.Ce qui est majoritaire dans le milieu politique.
    Le Mali,dans la situation actuelle,a besoin d’un homme intégre et compétent animé d’ambitions incontestables pour son pays.

  4. Vous qui croyez à la réélection d’IBK en 2018, soyez sûre de quelque chose, la réélection d’IBK en 2018 est loin de l’avènement d’un malien prospère, radieux et charmant; donc soyez sûre qu’après la réélection de notre cher IBK, le pays s’embrasera de toute part et nous tomberons dans une guerre civile totale, car la manière de gouverner ce pays est loin d’être la bonne avec cet homme. IBK dans cette éphorie de sa réélection se lancera à dans des actes bizarres et irrationnels et nous irons de scandales à scandales dont l’épilogue nous conduira vers l’absence totale de l’état partout et les conséquences de cette situation sont incommensurables et nous mènerons vers une guerre civile totale. Personne, personne, personne ne pourrait convaincre IBK de faire autrement, car c’est la mauvaise gouvernance qui reste toujours son seul crédo depuis toujours. Attention! Attention! Attention! IBK et son entourage freinez rapidement lorsqu’il temps sinon le regret n’est pas loin. Nous sommes dans l’œil du cyclone

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