La violence et les morts dans le Centre sont devenus le lot quotidien des populations civiles. Chaque jour, il y a un décompte macabre mais jusqu’ici les solutions proposées n’ont pas permis une accalmie. L’autorité de l’Etat est devenue un mirage et les habitants sur place se sentent de plus en plus abandonnés par le pays.
Pourtant, à Bamako, depuis le début de la crise, certaines personnes se présentent comme des dignes défenseurs des villages et hameaux en proie à l’insécurité. Qui sont les véritables tenants de la violence dans le Centre ? Pour être dans le bain d’une situation qui a fini par échapper à l’Etat central, il suffit de participer à une rencontre des ressortissants des zones en crise.
L’atmosphère est à la méfiance et les relations sécuritaires sont en rude épreuve. Y a-t-il dans la région de Mopti un conflit entre Peuls et Dogons ? Difficile de l’affirmer mais les indices montrent bien que de tierces personnes tirent profit de cette situation macabre. Où est donc passée la thérapie de choc annoncée en grande pompe par le Premier ministre ?
Sur le terrain, les populations attendent désespérément les retombées du plan de sécurisation du Centre. Déguisés en dozo ou agissant sous le couvert du jihad, les acteurs de la violence appliquent malheureusement à la lettre le plan de la conspiration savamment orchestré par des personnes tapies dans l’ombre à Bamako et à l’étranger.
DAK
ET PERSONNE NE VOIT QUE LA PRÉSENCE, DE BARKHANE ET DE LA MINUSMA, A DÉNATURÉ, DÉSTRUCTURÉ LE PROBLEME SÉCURITAIRE DU MALI.
NOUS AVONS MIGRÉ DE LA LUTTE CONTRE LE TERRORISME ISLAMISÉ VERS LES GUERRES ENTRE LES ETHNIES DE LA NATION, SANS QUE LA PREMIERE SOIT GAGNÉE.
Toujours dans des postures de critiques .Si DAK a une solution à proposer qu’il le fasse . Qui peut tirer profit dans de massacres . Mais il faut savoir qu’i y a jamais fumé sans feu . Ce problème est Malien et non des politiciens et nous devons tous partager la douleur des familles endeuillées . ça ne finira jamais si il y a encore des Maliens qui ne se sentent pas concerner .
Je ne ferai jamais confiance à un homme politique. S’il ne se cache pas derrière un mensonge, c’est sous le manteau de l’hypocrysie. Un homme politique ne vise que son interêt. je préfère un technocrate, un simple et honnête citoyen qui au fond de son coeur aime son pays. Un militaire conscient vaut mille fois mieux qu’un homme politique car lui au moins a donné sa vie pour son pays. Un enseignant honnête vaut aussi mille fois fois mieux que l’homme politique. Un bon réligieux est dans le même cas. Si le Mali veut sortir du gouffre dans lequel les hommes politiques l’ont plongé cherchons les trois types d’hommes conscients cités plus haut pour nous aider à sortir de cet imbroglio.
Il faut que ces faiseurs de mal sachent que chaque bêtise a une fin, surtout quand il s’agit de ce comportement lâche, indigne, inhumain contre de pauvres populations qui vivent dans leur résilience habituelle, quelle ignominie? Quel honte dans ce siècle? Quel comportement éhonté? Notre pays a touché le fond et pour en sortir il faut travailler avec la matière grise d’hommes et de femmes capables et sans ambition politique.
C’est aussi une manière de faire oublier les attaques a 200 km de Bamako.
Le massacre des populations complices des terroristes. La vengeance d’une armée moribonde sur des pauvres populations. C’est la solution du gouvernement annoncée avec fanfare a Mopti.
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