L’année scolaire 2018-2019 s’annonce difficile pour les élèves notamment ceux inscrits par l’Etat dans les établissements privés. Alors que la rentrée des classes a été effective dans les écoles publiques, une bonne partie de ceux du privé a décidé de boycotter pour non-paiement des subventions qui se chiffrent entre 10 à 50 millions de FCFA par établissement. Payées généralement le mois d’août avant l’ouverture des classes.
Dans la foulée, les promoteurs d’écoles privées et les enseignants ont fait cause commune en refusant catégoriquement de regagner les classes sans l’obtention de ces subventions.
Hier, on pouvait faire le constat que le mouvement a été respecté à la lettre par plusieurs établissements privés, particulièrement ceux de Bamako.
A quand la fin de ce débrayage qui concerne un nombre important d’écoles privées ?
Pour le moment, les négociations entre l’Etat et les promoteurs d’établissements scolaires privés ont montré leur limite.
Les mécontents estiment que les autorités ne font pas assez pour gérer la situation qui devient récurrente et préoccupante ces dernières années.
DAK
Le debat a propos de l’itilisation de l’argent de l’etat pour financer les etablissements prive’s, existe depuis longtemps! Quand nous parlons de distribution equitable des ressources de l’etat, nous disons que les ressources soient distribue’es en fonction des besoins! Generalement, les enfants qui frequentent les etablissements prive’s viennent des familles qui sont relativent riches! L’etat qui a des moyens limite’s , doit s’eloigner du financement des etablissements prive’s! Les administrateurs desdits etablissements doivent augmenter les frais des etudes pour avoir un budget qui leur permettra de fonctionner!
Sur un tout autre plan, j’aimerais savoir comment l’ecole controle ces etablissements prive’s! OUBIEN L’ETAT LEUR VERSE DES MILLIONS ET TOURNE LE DOS??????
Aux USA, chaque etat determine le montant annuel pour enseigner un enfant. Ce montant accompagne l’enfant la’ ou’ il fait ses etudes! Generalement, 50% du budget vient de l’etat, 40% de la locatilte’ ou’ l’ecole est et 10% du gouvernement federal! Il ya des conditions pour avoir les 10% du gouvernement federal!!!!!!!!!! Un ami m’a fait savoir que le secteur de l’enseignement est desorganise’ au Mali!!!! IL FAUT VOUS ORGANISER ET AVOIR DES METHODES DE VERIFICATION EN PLACE AVANT DE DEMANDER DES FINANCEMENTS!!!!! LES RICHES S’OCCUPENT BIEN DE L’EDUCATION DE LEURS ENFANTS. L’ETAT DOIT METTRE L’ACCENT SUR L’EDUCATION DES ENFANTS QUI VIENNENT DES FAMILLES PAUVRES!!!
Et pendant ce temps Bouffon 1er et sa cour de baladent d’hôtels de luxe en hôtels de luxe.
Notre pays! Notre pays! Notre pays! c’est dommage de voir un comportement irresponsable de la part des autorités de la finance de ce pays. Ces décideurs publics doivent être sensibles au cas des plus pauvres, mais malheureusement ils les regardent comme des pestiférés pourtant sans lesquels il n’y aura pas de pays appelé Mali. Nous sommes un pays qui n’existe que de nom, sinon les fondements inhérents à l’existence d’un pays ont totalement disparu, mais malheureusement la majeur partie de ce pays ne comprennent pas ça et parle de se donner la main et d’être unis, comment les personnes qui n’ont plus la même conscience sociale pourraient-ils se donner la main? Comment les personnes qui mangent et les personnes qui ne trouvent rien à manger peuvent-ils se donner la main? Il faut absolument une prise de conscience générale afin qu’un sursaut national puisse se réaliser avec succès.
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