Ce n’est pas contre l’agression d’un journaliste que ça gronde dans la presse malienne, mais contre le non-respect, par le gouvernement, de la loi de la presse qui prévoit une aide publique aux organes de presse que les hommes de média s’emportent surtout que le montant, qui était de 200 millions de F CFA (contre plus d’un milliard au Sénégal ou en Côte d’Ivoire) de 1996 jusqu’en 2011, a été réduit de plus de la moitié depuis le début de la crise. Cette année, on accuse plus de 5 mois de retard. Une situation que certains confrères jugent “inacceptable” pour envisager des actions vigoureuses comme le boycott, une marche de protestation, voire une journée sans presse.
Les organisations patronales se sont données quelques jours de réflexion avant d’engager un bras de fer avec le gouvernement, accusé de mépris surtout que le 3 mai dernier, à l’occasion de la Journée internationale de la liberté de la presse, le Premier ministre avait promis, à défaut d’une augmentation cette année, de verser au moins le montant initial. On espère qu’on trouvera une solution à cette bisbille entre politiques et hommes de médias dont notre pays n’a que faire aujourd’hui.
DAK
M. le journaliste, revoyez vos notions élémentaires d’orthographe grammaticale: “se sont donnés quelques jors de réflexion…” Ecrivez au contraire “se sont donné quelques jours de rélexion..” Rappel: ils ont donné quoi? quelques jours de réflexion (COD placé après le paticipe passé), A qui? Se (eux-mêmes) COI placé avant le participe passé! Un de vos confrères qui vous a laissé la place a du mal avec l’emploi de dont. Retour aux fondements donc, quand vous écrivez!!!
Merci pour le rappel Cool car c’est tres interessant ce que vous soulignez la, surtout pour nous autres qui avons quitte les bancs depuis longtemps et qui sommes loin des bons maitres de francais. 😉
Je reste convaincu qu’il faut un peu plus d’effort encore pour que la presse soit à la hauteur des attentes du peuple Malien. La presse malienne parle de beaucoup de choses qui ne sont mises en exergue qu’après; elle n’a pas de moyen pour se faire écouter à temps. C’est le cas par exemples des surfacturations et les mauvais comportements dans les contrats d’armes.
Je suis convaincu que nous avons la presse la PLUS NULLE de toute la sous-région, et il suffit de lire les articles publiés dans les pays voisins et (beaucoup) de ceux publiés chez nous, POUR S’EN CONVAINCRE!… 👿
Le niveau, ou plutôt l’absence de niveau requis pour se dire “journaliste” est effarant au Mali! Et ce, tant sur le plan de la qualité d’écriture en tant que telle (fautes énormes y compris dans les titres, formulations douteuses, ponctuations au hasard, syntaxe fantaisiste, etc etc) que sur le plan de la DEONTOLOGIE 👿 (Affabulations pures et simples, infos inventées de toutes pièces, diffamations diverses, etc etc…) 😥 😥 😥 😥 😥
Avant d’exiger le paiement de quoi que ce soit, commencez VOUS-MEMES par faire le ménage dans vos propres rangs, et imposez une “vraie” formation de Journaliste à tous ceux qui vous donnez une carte de presse! 👿
Trop de nos journaux sont une HONTE NATIONALE! 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳
Vous insultez, vous mentez, vous manipulez, etc… Maintenant vous criez pour avoir argent. Il n’y a rien de positifs dans la presse malienne bientôt des années, une presse moins constructive. Qui alimente les rumeurs infondées en oubliant sa déontologie. L’argent et toujours l’argent, ok courage à vous 👿 👿
L’Etat n’est pas obligé! Au contraire, ce serait une grave atteinte à la liberté de presse et au principe de libéralisme que de donner un sou aux entreprises de presse privée!Comment pouvez-vous prétendre à votre indépendance en tendant en permanence vos sébiles! Le ridicule ne tue vraiment pas dans ce pays! En plus, tous ces connards rechignent à payer leurs impôts.
Mais c’est la censure sur “MALIWEB”! Suivant les opinions des uns et des autres on laisse passer ou on censure!
AH ah ah ha ha, lol lol lol, tout le monde réclame sa part de gâteau, le parti au pouvoir, l’opposition, la société civile et même le soit disant “neutre” , LA PRESSE. Oh, pourquoi pas, c’est cela que veut la DÉMOCRATIE, tout le monde doit profiter de la “res publica” c’est à dire de la CHOSE PUBLIQUE. Comme le disait un penseur, “si on vient pas vous servir de la chose dont vous avez droit, alors réclamez”, donc allez cherchez messieurs de la PRESSE que vous soyez publics ou privés. Mais attention, vous serrez plus “libres”………
La honte!
L’aide à la presse profite qu’au directeur véreux non pas aux reporters qui sont sur tout les chantiers. Je propose au gouvernement d’utiliser cette aide pour la formation des journalistes cela va dans l’intérêt général de tous.
La presse est privée l’état n est obligé de subventionner ou donner de l’argent dans ce cas tout les commerçants et tout les gérants vont pleurnicher pour avoir de l’aide de l’état
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