En un mot : Injonctions

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Dramane Aliou Koné

Si les pourparlers, qui se sont ouverts samedi, s’annoncent délicats, la communauté internationale ne veut plus perdre de temps. C’est pourquoi, le vendredi 17 octobre, les Nations unies ont décidé d’envoyer un message très fort au président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita, et aux mouvements armés en les sommant de “négocier de bonne foi”.

Mais c’est du côté de la France que la pression exercée est la plus forte. D’aucuns ont parlé de “rappel à l’ordre” de la France. Ainsi, on apprend que le président français François Hollande a téléphoné à IBK pour lui dire qu’il souhaite “que les négociations aboutissent rapidement” pour “faciliter la réconciliation de tous les Maliens”.

La mise à garde a été faite aux mouvements armés à qui la France a clairement dit qu’ils jouent leurs dernières cartes, car plus le temps passe, plus les terroristes s’installent au nord. Et ça, personne n’en veut.

DAK

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3 COMMENTAIRES

  1. Comment est-ce qu’on peut fonder son métier d’information sur “on dit”, “on apprend que” “il se murmure”, etc ?

  2. ça sens mauvais pour le MNLA et ses complices. Ils sont usés par le temps qui courre. Que Dieu sauve mon pays de ses ennemis intérieurs et extérieurs. Paix et réconciliation pour un Mali un et indivisible. Amen

  3. Je suis tellement déçu, choqué et humilié encore par les comportements indignes de IBK, cette grande gueule voleur que je suis capable de le tenir par la gorge, l’étrangler jusqu’au dernier soupir et mourir de plaisir.

    Dieu est Vivant et ne dort pas. Tant qu’il, IBK ne reconnaitra pas ses errements et sa responsabilité personnelle et effective dans la débâcle de notre pays qui a conduit au coup d’état le plus stupide de tous les temps et finalement à la situation actuelle ; il ne sera jamais tranquille , intérieurement et publiquement. Dieu va continuer à le démasquer et à l’humilier.

    S’il était en fait un vrai fils, celui de son père, il devrait se donner la mort.

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