En un mot : Accord de défense au forceps

28
Dramane Aliou Kone
Dramane Aliou Kone

Il  se dit que le Mali et la France signeront avant la fin de ce mois de mai l’accord de défense militaire.

 

Une annonce faite par le ministre de la Défense qui tente de justifier cette décision en démentant ceux qui amputaient la chute des régions du Nord à l’ancien régime au lieu des limites objectives de notre pays face à la menace terroriste. Il est temps d’en finir avec ce dossier sur lequel de pseudo-nationalistes opportunistes, qui avaient perdu leur langue lors de l’occupation de Konna et des régions du Nord, brodent pour exister de nouveau.

 

 

On leur a déjà fait trop plaisir en reportant la signature de l’accord de coopération militaire qui ne fait que formaliser une réalité. La France est bien chez nous et on ne peut rien contre, car on n’a ni les moyens humains, ni les moyens financiers pour sécuriser les régions du Nord.

 

 

Aux autorités, en particulier le président de la République de s’assumer face à l’Histoire au seul motif que les peuples se font dominer par les émotions pour justifier l’existence des hommes d’Etat dont les actes sont parfois incompris de leurs contemporains, mais utiles à l’Histoire.

 

 

En tout cas, aucun Malien ne voudrait revivre le jeudi de l’attaque de Konna. Il reste quand même de tout dire au peuple sur les tenants et les aboutissants du document que le régime IBK signera finalement… contre son gré. Parole de diplomates et ministres français dont celui de la Défense qui en voudrait désormais à mort à Koulouba.

 

DAK

Commentaires via Facebook :

28 COMMENTAIRES

  1. IL YA DES BASES AMERICAINES EN ALLEMAGNE EN EUROPE DE L’EST ; POURQUOI PAS AU MALI…………….

    SEULEMENT LE TEXTE DOIT ETRE BIEN LU POUR EVITER DES PIEGES……… 💡

    L ESPACE EST TROP GRANDE POUR NOTRE SURVEILLANCE………

    💡

  2. Franchement, les Maliens ont vraiment changé ! Penser que l’on défendrait un jour un accord de défense avec la France, Modibo Kéita doit bien se demander quel genre de concitoyens il a après 50 ans d’indépendance ! La France n’est au Mali que pour prendre sa revanche sur nous lorsque nous l’avons obligée à quitter ce pays en 1962. Vous parlez de Konna avec frayeur. Non, nous n’avons pas tous eu autant peur que vous. Il est vrai que de vaillants hommes, le Mali n’en a pratiquement plus. La lâcheté est l’ordre du jour. D’ailleurs, qui vous dit que la France n’est pas derrière l’affaire de Konna pour mieux justifier l’intervention qu’elle préparait depuis un certain temps ! Les relations internationales sont pleines de surprises qui ne se racontent que bien des années plus tard. En tout cas, Maliens n’ayez confiance ni à la France, ni à la plupart de vos gouvernants actuels, à la langue fourchue, et prêts à vendre ce pays tant qu’ils peuvent se remplir les poches ! A bon entendeur, salut!

  3. mloo

    Si les accords de défense ont été arrachés au forceps, ton post kilométrique,lui, tu l’as pondu (au moins) par CESARIENNE! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

    Quand tu fais dans le registre 10 lignes, c’est déjà lourd, mais si tu te mets maintenant à faire dans le registre 8683 lignes, c’est Ibk LUI-MEME qui va te supplier d’arrêter de peur que tu ne fasses fuir ses derniers supporters! :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    Ton post ci-dessous, c’est une arme de DISSUASION MASSIVE, Wallaye! 😀 😀

  4. IBK : LES GRANDS AXES DU PROGRAMME PRÉSIDENTIEL

    « Notre pays a connu en 2012 un cataclysme majeur, une crise multidimensionnelle effroyable, un coup d’Etat militaire, qui ont ébranlé les fondements mêmes de notre République.
    Notre Peuple a subi un traumatisme profond. Notre Peuple s’est senti humilié devant l’effondrement de l’État, le délitement de notre système démocratique, la débâcle militaire, l’absence de perspectives robustes de solution de sortie de crise… Les institutions du Mali se sont effondrées. Notre nation a subi l’humiliation la plus grave de son histoire. Nous avons connu par le passé des chocs existentiels importants, mais jamais notre socle national, notre vivre-ensemble, n’ont été autant ébranlés. »
    C’est pourquoi la restauration de « l’Honneur du Mali » et la redistribution du « Bonheur aux maliens » constituent le socle du programme présidentiel. La réconciliation nationale et la sécurité, inscrites parmi les priorités absolues de même que la reconstitution de notre capacité de défense et de surveillance du territoire, la jeunesse, l’emploi, la promotion des femmes et la protection des maliens de l’extérieur.
    La pierre angulaire du programme du président Ibrahim Boubacar Keïta qui prône une Tolérance zéro en matière de lutte contre la corruption peut ainsi se résumer : Construire une République exemplaire et intègre dans laquelle l’exemple viendra d’en haut, dans laquelle la justice sera implacable et Reconstruire un Etat fort au service de l’efficacité, et dont l’un des socles devra être la justice et la bonne gouvernance, un Etat responsable et protecteur, qui garantisse à chaque citoyen un égal accès aux soins, à l’éducation, et à l’ensemble des services publics, sur tout le territoire, un Etat stratège, qui mette en place les conditions du décollage économique du Mali à travers l’émergence d’un secteur privé solide et responsable…
    Pour réussir ce programme amitieux, le président IBK préconise une méthode nouvelle, propose des compétences et des expertises nouvelles, un projet nouveau pour un Mali nouveau, un nouveau contrat de gouvernance POUR UN VERITABLE CHANGEMENT, POUR L’HONNEUR DU MALI ET POUR LE BONHEUR DES MALIENS.
    « Le Mali d’abord ! Le Mali avant tout !
    Le Mali comme seul objectif, comme seule urgence, comme seule priorité !
    Le Mali d’abord, tel que nous l’aimons, tel que nous le rêvons : un pays en paix et en sécurité, un pays rassemblé, réconcilié.
    Un pays dirigé par des hommes responsables. Un pays géré par d’honnêtes serviteurs de l’Etat. Un pays protégé par de vrais patriotes. Un pays guidé par un homme qui connaît son peuple, qui écoute son peuple, qui aime son peuple.
    C’est tout cela le Mali d’abord !
    C’est ma promesse et c’est mon engagement. »
    Résumé ici en quelques points :

    CHAITRE I : POUR L’HONNEUR DU MALI
    A. Reconstruire durablement la souveraineté du Mali
    1. Apporter une solution définitive aux problèmes du Nord
    2. Instaurer une culture de la prévention des crises et conflits
    3. Réinstaller durablement les réfugiés
    4. Stabiliser les populations nomades
    5. Epauler l’action de la MINUSMA dans l’intérêt exclusif du peuple malien
    Mettre en place une stratégie et un plan opérationnel de la gestion militaire du Mali après le départ de la MINUSMA

    B. Refonder le dispositif de défense et de sécurité du Mali
    1. Assurer efficacement la défense du territoire national et de la population
    2. Réussir les missions de sécurité publique
    3. Performer dans les opérations militaires spéciales
    4. Faire honneur au Mali lors des opérations militaires à l’étranger
    5. Garantir l’intégrité des institutions publiques et la sécurité des personnes et des biens
    Protéger la population contre les risques ou fléaux de toute nature et contre les conséquences d’un conflit éventuel

    C. Retrouver enfin le leadership historique d’une diplomatie Malienne au service des intérêts du Mali
    1. Restaurer l’image du Mali sur la scène internationale
    2. Le renforcement de la politique de bon voisinage et des relations bilatérales avec les autres pays d’Afrique non frontaliers du Mali et la promotion de la paix dans le monde.
    3. Promouvoir l’intégration économique de la sous-région, l’unité et le développement de l’Afrique
    4. Contribuer au développement économique et social du Mali
    5. Assurer une gestion plus efficace et mieux coordonnée des fonctionnaires internationaux maliens
    6. Poursuivre la rationalisation des structures et des procédures
    7. Coordonner l’action extérieure de l’Etat.
    8. Optimiser les moyens budgétaires

    CHIPTRE II : Pour le bonheur des Maliens
    A. Refonder l’école malienne pour reconstruire des compétences nationales
    1. La revalorisation de la fonction enseignante
    2. La rationalisation de la gestion administrative du personnel enseignant
    3. La modernisation des programmes d’enseignement
    4. Le renforcement des infrastructures du réseau scolaire
    5. Le développement de l’enseignement des sciences et techniques
    6. Le développement de l’utilisation des TICE (technologies de l’information et de la communication dans l’enseignement)
    7. Le renforcement du partenariat avec le Secteur privé en vue de l’élargissement de l’Offre Scolaire
    8. Améliorer la gestion administrative de l’enseignement fondamental
    9. Le développement d’une formation professionnelle de qualité
    10. L’autonomisation et efficience éducative de l’enseignement supérieur ; mise en œuvre de contrats de performance.
    11. La généralisation de l’alphabétisation des adultes

    B. Les mesures pour soutenir la création d’emploi
    1. Création de 200 000 emplois directs durables et de milliers emplois indirects
    2. Promotion du mécénat par l’intermédiaire de « Pépinières d’entreprises » avec des mesures incitatives
    3. Assurer l’équité dans l’accès à l’emploi public au Mali
    4. Un soutien d’exception à l’éducation pour qu’elle corresponde aux besoins professionnels
    Des actions fortes pour Repenser la formation professionnelle pour qu’elle soit créatrice d’emploi.

    C. Vers le développement d’une agriculture durable, moderne et compétitive accompagnée d’une sécurité alimentaire
    1. Assurer la sécurité alimentaire d’une population de plus en plus croissante dans un espace économique ouvert et concurrentiel. Les perspectives de croissance démographique, d’urbanisation rapide et les modifications des habitudes de consommation entraîneront une forte demande alimentaire avec une plus grande exigence de diversification et de qualité des produits agricoles et de meilleure accessibilité ;
    2. Assurer la gestion durable des ressources naturelles dans un contexte de changements climatiques profonds. Il s’agira de développer des stratégies visant la réduction des effets du changement climatique et faire en sorte que l’intensification et la modernisation de l’Agriculture soient compatibles avec la préservation de l’environnement et des ressources naturelles pour les générations futures ;
    3. Améliorer la productivité et la compétitivité agricoles avec l’ambition de diversifier, d’intensifier et moderniser les systèmes de production agricole ;
    4. Développer et renforcer les synergies intersectorielles (transport, industrie, énergie, commerce, etc.) en vue de valoriser et de positionner les produits agricoles maliens sur les marchés nationaux, sous-régionaux et internationaux.
    5. Rehausser le niveau de financement du secteur agricole en lui affectant annuellement 15% du budget national ;
    6. Développer le partenariat public-privé en vue d’amplifier et de diversifier les investissements dans le secteur.

    D. Assurons la promotion de l’élevage
    1. Renforcer la dynamique des filières en prenant en compte les aspects lies à la production, la transformation, la commercialisation, le stockage, la distribution et la consommation
    2. Améliorer la productivité et la qualité des produits animaux grâce aux apports de la science, la technologie et la recherché
    Favoriser un partenariat public privé dynamique et incitatif pour améliorer a production, la transformation et la commercialisation, le financement, les services de santé animale et la santé publique vétérinaire.

    E. Développons l’aquaculture intensive
    1. l’augmentation des performances économiques de la filière poisson par un accroissement de la valeur ajoutée qu’elle crée;
    2. l’amélioration des conditions socio – sanitaires et éducationnelles des communautés de pêche;
    3. l’augmentation de la production de l’aquaculture et des pêcheries (fleuves, lacs, mares);
    4. la préservation des écosystèmes halieutiques et l’aménagement en partenariat des pêcheries;
    la mise en place d’un système efficace de suivi et d’évaluation de la mise en œuvre du Schéma Directeur de la Pêche et de l’Aquaculture.

    F. Réussir un nouveau programme quinquennal de développement socio-sanitaire
    1. Amélioration de la qualité des services de santé dans les établissements hospitaliers et autres Etablissements de Recherche
    2. Renforcement des capacités institutionnelles et décentralisation
    3. Accessibilité financière, soutien à la demande et à la participation
    4. Rendre les services de santé de proximité disponibles et accessibles dans les structures publiques, communautaires et privées avec un accent pour les zones pauvres, les zones déshéritées, et/ou d’accès difficile.
    5. Assurer la disponibilité des soins de référence dans tous les cercles
    6. Réduire la mortalité néonatale, infantile, infanto juvénile et maternelle, la fécondité et la malnutrition.
    7. Amélioration de la disponibilité des ressources humaines qualifiées
    8. Assurer la disponibilité des médicaments essentiels, des vaccins et des consommables médicaux
    9. Redéfinir les missions clés du département
    Rôle du Secrétaire général dont le choix doit se faire sur des critères de compétences techniques et de connaissance du département et non administratifs ou politiques
    – assurer la coordination technique du département,
    – être un connaisseur du département et de sa politique pour mieux conseiller le ministre de la santé.

    G. Accroissons la contribution des femmes au développement économique et social
    1. Associons d’avantage les associations féminines aux prises de décisions politiques, économiques et sociales. Par exemple, la présence des associations féminines aux conseils d’administration des entreprises ayant l’état comme actionnaire sera favorisée.
    2. Garantissons des cours de soutien gratuit pour les jeunes filles jusqu’à la fin du 1er cycle
    3. Facilitons l’accès au microcrédit des femmes
    4. Favorisons l’accès des femmes à l’outil de production et à la propriété de la terre
    5. Protégeons les femmes par une application constante des règles de droit qui préservent leurs intérêts et densifions le réseau des cliniques juridiques, qui leur permettent d’accéder à la connaissance de leurs droits et les accompagnent dans les contentieux judiciaires auxquelles elles peuvent se trouver contraintes.
    6. Des campagnes de sensibilisation seront menées auprès des parents ainsi que des consultations sur les rythmes scolaires et les facteurs de la scolarisation des filles afin que les mesures appropriées soient prises à cet effet.
    « Apprendre pour se prendre en charge », un programme d’alphabétisation fonctionnelle, articulé autour de l’apprentissage de la lecture, de l’écriture et du calcul, ainsi que de l’acquisition de connaissances de base pour une meilleure gestion de leur environnement: planning familial, hygiène, éducation civique et à la vie associative, bonnes pratiques pour l’éducation des enfants (alimentation, santé, etc.).

    H. Soutenons les femmes rurales
    1. Impliquons les femmes rurales dans les instances de décisions concernant le milieu rural ;
    2. Appliquons les dispositions de la Loi d’Orientation Agricole relatives aux femmes rurales ;
    3. Aménageons des points de retenues d’eau pour la promotion des activités Agricoles ;
    4. Assurerons la formation des femmes rurales sur les techniques de production ;
    5. Favorisons l’accès des femmes aux semences améliorées adaptées au cycle de l’hivernage ;
    6. Facilitons l’accès aux crédits à des taux raisonnables et adaptés aux activités des femmes rurales ;
    7. Assurerons l’accès et la sécurisation des terres octroyées aux femmes rurales ;
    8. Mettons les équipements de production, de conservation, de transformation et de commercialisation à la disposition des femmes rurales.

    I. La promotion d’une Diaspora respectée, et acteur du développement de la Nation
    1. La défense des droits et intérêts des Maliens de l’extérieur;
    2. L’implication effective des compétences maliennes à l’étranger dans les programmes de développement au Mali;
    3. La mobilisation de leur épargne dans le financement des investissements productifs;
    4. Le renforcement des capacités des associations opérant dans les pays d’accueil;
    5. La représentation démocratique des expatriés maliens dans les institutions représentatives nationales (Conseil économique et social, Haut Conseil des Collectivités);
    6. Le Renforcement des liens des Maliens de l’extérieur avec le Mali;
    7. L’élaboration de programmes sociaux;
    8. La renégociation de certaines conventions signées avec les pays d’accueil,

    J. Conjuguer l’enracinement et l’ouverture culturelle
    Une Nouvelle politique culturelle centrée sur le développement intégral de l’homme :
    1. La dynamisation du rôle de la culture dans le développement global de la Nation;
    2. La modernisation de la culture nationale et l’exploitation de la diversité culturelle dans toutes ses expressions;
    3. La protection de toutes les catégories du patrimoine culturel pour la sauvegarde de l’identité nationale;
    4. Le développement de la production et de la consommation du livre;
    5. La promotion du marché artistique et culturel et l’appui aux entreprises et initiatives culturelles dans le cadre de l’encouragement de l’investissement privé et de la promotion culturelle et de la recherche dans le domaine culturel;
    6. Le renforcement de la présence culturelle du Mali à l’étranger.

    CHAPITRE III : Pour l’avenir du Mali
    A. Développons les infrastructures de transports et de télécommunications
    Des actions décisives, intégrées dans des plans à moyen terme, seront mises en œuvre dans les domaines suivants :
    1. Démarrer un projet pour Faire de Bamako un Hub ferroviaire d’Afrique de l’Ouest en le reliant aux 7 capitales des pays voisins (Réaliser le chemin de fer reliant Bamako – Kita- Conakry, Réhabiliter le chemin de fer Dakar- Bamako, etc.)
    2. l’accès à l’Internet (accroissement des débits, ajustement de la tarification),
    3. le développement des Télécommunications (amélioration des infrastructures, distribution, tarification),
    4. l’extension du réseau routier (désenclavement intérieur, accès aux ports, gestion des entrepôts portuaires),
    5. le développement des ressources humaines (formation professionnelle, formation continue, programme «cadres», packages financement/garanties/formation),
    6. des programmes de mise à niveau des entreprises et renforcement de leurs fonctions critiques
    7. développer les infrastructures routières parmis lesquelles

    B. Promouvoir l’accès au logement
    1. Fournir des terrains constructibles, autant que possible viabilisés, en quantité nécessaire;
    2. Combler les lacunes du marché de l’immobilier social, notamment, en répondant aux demandes solvables non satisfaites par le dispositif actuel, en particulier dans les capitales régionales et les villes moyennes;
    3. Réglementer les professions qui concourent à la production des logements sociaux, dont celle de promoteur immobilier;
    4. Définir des normes constructives cohérentes avec une extension viable du parc immobilier;
    5. Développer les capacités techniques dont le secteur du logement social a besoin pour se développer;
    6. Suivre et gérer les risques associés au développement du secteur du logement social;
    Planifier le développement urbain, notamment, les affectations foncières et les infrastructures de façon à assurer à chacun un cadre de vie sain, sécurisé et agréable…

    C. Une nouvelle politique énergétique
    Augmenter la capacité énergétique du Mali et renforcer le réseau pour le transport
    Redéfinir l’environnement institutionnel (rôles et responsabilité des acteurs) pour mieux assurer les besoins en électricité des maliens à des coûts optimums.

    D. Optimisation des ressources minières
    – intensification et diversification de l’exploitation
    – valorisation industrielle des produits utilisables localement (phosphates, chaux, etc.),
    – une promotion de la participation des nationaux à l’activité minière,
    – affectation principale des revenus publics tirés de l’activité minière au financement d’investissements porteurs de croissance
    – Traçabilité des ressources
    Valoriser les minerais dits stratégiques comme le Fer, la Bauxite, le Charbon, la Houilles, le Lithium, et les Terres rares.

    E. Une croissance forte, durable et inclusive
    – Diversifier la production et des exportations. Nous privilégierons les secteurs dont le dynamisme influence significativement l’emploi et la réduction de la pauvreté, notamment l’agriculture, les industries à forte intensité de main d’œuvre et les services.
    – Favoriser l’émergence d’un secteur privé fort, susceptible d’impulser une dynamique de croissance forte et durable.
    Améliorer durablement la situation des finances publiques de manière à dégager la marge financière nécessaire à l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement et la réalisation de notre ambitieux programme d’investissement dans les infrastructures.
    F. Adaptons l’agence de soutiens aux collectivités et menons des projets économiques dans les régions
    1. Régionaliser l’agence nationale des collectivités territoriales en créant des agences régionales de développement régional plus proches des préoccupations locales
    2. Faire de l’espace régions de Sikasso/Ségou un grand pôle intégré agro-industriel
    3. Un grand port fluvial pour Koulikoro
    4. Développer une région industrielle de la pêche dans la région de Mopti
    5. Tombouctou: centre culturel islamique.
    6. 10 milliards pour le développement de l’agriculture dans le désert Malien
    7. Porter la création d’entreprises sous-traitantes et de centres de formation du secteur minier dans la région de Kayes
    8. Gao-Kidal: faire aboutir les projets de recherche pétrolière

    G. Investir dans la jeunesse malienne
    Nos actions pour la jeunesse seront concentrées autour de 10 axes prioritaires :
    1. L’Éducation, facteur décisif de la socialisation de la Jeunesse
    2. L’emploi des jeunes et leur insertion sociale et professionnelle
    3. L’encouragement à la maîtrise accélérée des Technologies de l’Information et de la Communication afin de faciliter l’insertion dans le processus de la Mondialisation
    4. Le développement de l’éducation à la Santé
    5. La promotion de l’esprit de citoyenneté en vue de favoriser la participation efficace à la vie sociale et à la prise de décision
    6. Le développement des relations et de la solidarité intergénérationnelle
    7. L’organisation de loisirs comme facteur de socialisation et d’intégration des jeunes dans leur environnement culturel, social et économique
    8. La compréhension des enjeux fondamentaux liés à l’environnement
    9. La mise en œuvre de politiques spécifiques en faveur des filles et jeunes femmes
    10. Le développement d’une politique spécifique en faveur de la Jeunesse rurale.

    CHAPITRE IV : Pour réussir notre nouveau Mali
    A. Relecture de la constitution et renforcement du rôle des élus
    1. Trouver un meilleur équilibre entre les pouvoirs constitutionnels qui, sans entamer l’efficacité de l’action gouvernementale, garantisse l’exercice de tous les contrôles démocratiques nécessaires,
    2. Consolider et moraliser le fonctionnement du pouvoir judiciaire, à travers notamment une réforme du Conseil Supérieur de la Magistrature, afin d’asseoir les institutions d’un véritable état de droit,
    3. rationaliser les institutions constitutionnelles,
    4. constitutionnaliser le Vérificateur général dans sa double mission de contrôle de la régularité des dépenses publiques et de contrôle des performances des administrations publiques.
    5. Renforcement du rôle législatif et de contrôle de l’action gouvernementale de l’Assemblée Nationale
    Réhabilitation du rôle du député à travers notamment une information en temps réel sur les grands dossiers de la vie nationale, la mise en œuvre d’un programme d’échanges réguliers avec les électeurs de la circonscription ainsi que le déploiement d’une politique de communication en direction des citoyens (communication et information des citoyens, restitution du travail parlementaire, séances publiques télévisées,…)

    B. Refondation des administrations publiques
    1. Traiter la crise de confiance et recomposer le socle partenarial entre autorité et population
    2. Réformer les modes de recrutement, la formation et les plans de carrière des fonctionnaires
    3. Développer une culture orientée vers les résultats, en renforçant le contrôle, restaurant la discipline et la rigueur.
    4. En lieu et place du Commissariat au Développement Institutionnel, le Gouvernement mettra en place une Agence du Management Public qui aura pour mission la prestation de services aux départements ministériels, en matière de diagnostic organisationnel, de re-engineering des processus, de promotion de la qualité et de gestion des ressources humaines. Rattachée au Premier Ministre, l’Agence du Management Public, rendra compte de son action à une Commission du Développement Institutionnel et du Management Public (de 4 à 5 membres), chargée de conseiller le Premier Ministre sur ces questions. Elle assistera les départements ministériels dans l’élaboration et la mise en œuvre d’une politique de formation continue, la formulation des principes des politiques sectorielles d’affectation et de mobilité des agents de l’administration, l’identification et le suivi d’indicateurs de performance des services publics servant de base à une évaluation participative des services publics ainsi que des principes de la politique de rémunération des ressources humaines.
    5. Dans le but de faire respecter l’exigence fondamentale du service public et d’assurer l’égalité d’accès des citoyens, le Gouvernement créera des Maisons des Services Publics (Justice et Droit, Services Financiers, Solidarité [services sociaux], etc…) qui seront des Plateformes de services publics assumant une mission d’accueil, d’information et de conduite de formalités, sur la base d’un partenariat entre les organismes représentés.
    6. Sur le plan de l’organisation et des méthodes, il sera mis en œuvre un programme général d’allègement et de simplification des formalités et des procédures administratives.
    7. Chaque ministère élaborera, avec l’appui de l’Institut National de la Statistique, un plan général de développement et de diffusion des statistiques et un cadre de suivi-évaluation des politiques du département.
    8. Au titre de l’Audit et du Contrôle, les structures chargées de ces fonctions déterminantes feront l’objet d’un renforcement en ressources humaines et matérielles, afin de les doter des moyens nécessaires à leur action. Chaque ministre aura l’obligation de rendre compte chaque semestre au Président de la République de la mise en œuvre des recommandations des structures de contrôle, concernant son département. Le contrôle des collectivités territoriales décentralisées sera renforcé.
    C. Améliorer la gestion des finances publiques et augmenter les recettes
    – Moderniser les finances publiques
    – Gérer l’argent des bailleurs et autres donateurs conformément à leurs principes de gestion
    – Transparence dans la gestion des fonds publics
    – Amélioration de la gestion des fonds publics
    – Augmentation durable des recettes de l’état
    – Permettre aux citoyens d’accéder à l’information pour pouvoir tenir les gouvernements comptables de la gestion des fonds publics et de l’exécution des politiques
    – Vers la responsabilité et l’obligation de rendre compte aux citoyens de l’utilisation des fonds publics
    – La légalité de la politique et l’administration financière publique
    – L’efficacité de l’administration des fonds publics et l’efficience des dépenses publiques
    – Le contrôle systématique des dépenses publiques.

    D. La réhabilitation de la justice
    Elle s’articulera autour des axes stratégiques suivants:
    1. Le renforcement des capacités en dotant le pays de magistrats intègres et à travers la mise en œuvre d’un programme de formation continue approprié,
    2. La modernisation du fonctionnement de l’appareil judiciaire en y introduisant les Technologies de l’Information et de la Communication en vue de faciliter l’accès à la Justice pour tous les citoyens et d’assurer un traitement transparent des dossiers ;
    3. le renforcement des Organisations de la Société Civile (OSC) afin qu’elles contribuent à la formation des citoyens à la connaissance et à la défense de leurs droits ;
    4. l’établissement de critères de performance dans la gestion administrative et la distribution de la justice sur toute l’étendue du territoire (élaboration d’une nouvelle carte judiciaire, réduction des délais pour les procès, délivrance des jugements…);
    5. La mise en place systématique de collèges de magistrats, afin d’éviter l’arbitraire d’un seul ;
    6. Le renforcement des corps de contrôle de façon à assurer qu’un pourcentage significatif des affaires jugées soit examiné ex post ;
    7. L’accroissement du nombre des tribunaux de commerce et des tribunaux de travail de façon à assurer un meilleur traitement de toutes les affaires de ces natures ;
    8. le développement de l’arbitrage, par des personnalités civiles consensuelles désignées selon une procédure élective, pour toutes les questions de « basse justice ». Ces personnalités seront saisies selon la nature du conflit ou par un choix concerté des parties au conflit, leur décision s’imposant à celles-ci. Les tribunaux seront déchargés des affaires mineures, dont le traitement sera accéléré.
    9. la promotion de la médiation et de la conciliation, sous la supervision d’un juge, pour tous les litiges de la vie quotidienne, les litiges fonciers, les difficultés d’exécution des contrats de services et pour les délits, constituant des infractions susceptibles de déboucher sur des amendes ou des peines de prison légères (petits vols, violences légères, escroqueries mineures, dégradations, contentieux de voisinage, etc.). Dans les matières ci-dessus, le juge ne sera saisi d’un conflit qu’après échec de la médiation.

    E. La lutte effective contre la corruption
    La lutte contre la corruption sera organisée sur la base d’un principe, la Tolérance zéro et s’articulera autour des dix mesures suivantes :
    1. L’adoption des mesures législatives et règlementaires visant à renforcer la culture de la transparence, durcir les sanctions contre les personnes attentant aux intérêts de la Nation et mobiliser les différents segments de la société civile pour contribuer à l’éradication du fléau de la corruption ;
    2. L’élaboration et l’application d’un Plan d’action pour lutter vigoureusement contre le fléau de la corruption (intégrant les conclusions pertinentes des Etats généraux sur la corruption) ;
    3. La création d’un Organe central de coordination de la lutte contre la corruption qui veillera à ce que la Justice prenne en charge les conclusions des rapports des différentes structures de contrôle.
    4. L’adoption d’une loi sur l’accès à l’information et la transparence dans la gestion publique en vue de promouvoir un environnement de transparence dans les relations entre l’administration et les citoyens et rendre obligatoire la publication des rapports annuels et bilans financiers de tous les organismes publics et toutes autres institutions bénéficiant de financements de l’Etat (partis politiques, associations, syndicats etc.) ;
    5. La tenue obligatoire de la comptabilité matière dans toutes les administrations publiques et parapubliques;
    6. Le développement du Gouvernement numérique, à travers la mise à la disposition du public de toutes les informations relatives aux procédures administratives afin de faciliter la transparence des actions de l’Etat et de ses démembrements. L’informatisation des processus administratifs garantira l’uniformité et la traçabilité des traitements aussi bien dans la gestion interne que dans les prestations rendues.
    7. L’Encouragement des actions visant à la dénonciation des cas de corruption à travers la mise en place de mécanismes efficaces d’écoute et de traitement des informations fournies par les citoyens.
    8. L’Instauration d’une politique de nomination aux postes de responsabilité publique, basée sur le mérite et l’intégrité morale et prohibant le favoritisme et le clientélisme.
    9. La Mise en œuvre d’une campagne d’éducation, de sensibilisation et d’information basée sur la moralisation de la vie publique et l’encouragement des acteurs de la société civile dans leur démarche visant à combattre les manifestations de la corruption.
    10. L’Adoption d’une charte d’éthique et de déontologie dans les administrations publiques, déterminant les valeurs et les règles de comportement et précisant les responsabilités et les devoirs des fonctionnaires à l’égard des citoyens.

  5. Pour la première fois, je suis d’accord avec ce monsieur DAK. Il faut tout simplement être réaliste.

  6. MENTION SPECIALE AU POSTEUR “MLOO” (qui nous noie depuis peu de posts ronflants et pompeux de littérature à 2 balles!) POUR CETTE PENSEE PHILOSOPHIQUE PROFONDE:

    “La meilleure façon de résoudre le chômage, c’est de travailler” 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
    (J’en pleure! 😛 😛 😛 )

    Par aider notre nouveau PENSEUR dans ses futures méditations, je vais lui en souffler quelques autres qui pourront lui être utiles:

    La meilleure façon de rester en bonne santé, c’est de ne pas tomber malade!
    La meilleure façon d’échapper à la pauvreté, c’est de s’enrichir!
    La meilleure façon de lutter contre la faim, c’est de manger !
    Franchement mloo, tu es trop fort ! Wallaye !…:lol: 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

      • Kassin

        Il est tellement grotesque avec ses grandes envolées qui se voudraient lyriques, qu’il en deviendrait presque “intéressant” comme un cas de laboratoire! 😆 😆 😆

    • Il faut monter un peu plus haut pour voir ce qu’il a laisse comme commentaire. C’est vraiment a pleurer de desespoir 😥 🙁 🙁
      Quelle honte!!!

      • Bougo

        “Il faut monter un peu plus haut pour voir ce qu’il a laisse comme commentaire”

        Non, ce post-là, j’ai pas eu le courage de le lire! 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄

        En comparaison, le style dame Koumba serait presque laconique en matière de longueur! 😆 😆 😆 Et en matière de connerie, Sambpu, Barbabapa, et Dibi, passeraient presque pour des intellectuels cultivés! 😆 😆 😆

        Le pire, c’est que ce saltimbanque comme dit très justement Kassin, est super-fier de ces nullissimes élucubrations au point de les copier-coller partout plusieurs jours d’affilée! 🙄 🙄 🙄 🙄

        J’avoue que quand j’ai lu sa technique pour RESOUDRE la question de l’emploi 😛 , j’ai failli me pisser dessus tellement j’ai rigolé! 😛 😛 😛

        • mloo n’a jamais militer dans aucun parti politique. Je suis déjà dans plusieurs cercles de réflexions. Mon rôle est d’éclairer ceux qui pensent être dans la lumière. Je ne suis pas un fou d’IBK mais je suis fou du Mali, le Mali est mon diarabi, ma seul passion. Je ne laisserais personne mentir sur mon pays, personne salir mon pays.
          Certes le Mali a acheté un avion parce qu’il n’avait pas un et l’avion appartient bel et bien au maliens. Cela n’a pas plu à certains, mais il ne faut pas que ces gens pensent qu’ils ont complètement raison. Mais pour moi ils n’ont pas tort aussi de critiquer. Mais mes amis, on critique pour arriver à un résultat. Malheureusement je ne vois pas ce que vous voulez dans cette affaire d’avion. Que des critiques infécondes. Que des mots méchants, barbares, grossiers dans les critiques. Vraiment je ne pense pas que cela honore ce pays. Je vous rappelle que personne ne fera le Mali à notre place. Nous ne devons jamais nous laisser distraire. Nous devons rester mobiliser autour du Président pas pour lui mais pour la survie de la nation. Nous ne devons pas surtout le laisser faire. Notre rôle doit être de le guider, de créer, de proposer ; car il existe plusieurs canaux comme MW pour le faire. Notre malheur ne fait que le bonheur des autres…
          Est-ce que le Mali a besoin d’avion ? Je pense que oui. Le monde actuel est celui de la communication. Notre président ne doit pas prendre le risque de se faire enregistrer en louant les avions par ci par là. Actuellement le téléphone n’est pas sûr, nous avons vu le scandale d’Edouard Snoden. Tous les grands dirigeants du MONDE étaient et sont toujours sur écoute. Et le Mali est en guerre le renseignement sur l’ennemi est déterminant.
          Est-ce qu’il faut annuler l’achat ? Est-ce qu’il faut traduire le Président devant une institution compétente pour le condamner ? Est-ce qu’il faut faire un coup d’état ? Est-ce que, est-ce que…
          Mes chers compatriotes l’heure n’est pas au consensus. je suis d’accord mais elle n’est pas aussi à la sauvagerie. Le temps est venu de passer à autres choses. Le temps est venu d’arrêter vos fanfaronnades, oui vos charlatanismes car les ignorants ne doutent jamais d’eux-mêmes..

  7. Si cet accord ne spécifie de façon claire que la France s’engage à aider le Mali à combattre tout groupe armé, extérieur aussi bien qu’interrieur alors il n’y aura aucune raison de le signer. La France soutient le MNLA qui est la principale menace à la stabilité du Mali, si nous signons un accord avec la France uniquement contre les groupes djihadises la menace va demeurer et il ne serait pas supprenant que la France aide militairement le MNLA à partir de ses bases installées au Mali.

  8. si on reconnait qu on a pas les moyens humains et materiels pour securiser le nord?…donc il faut signer…..

  9. Si c’est contre sont gré, donc ya rien de bon la dans…non ?

    De toute façon on attend de voir le contenu….

  10. DAK vous l’avez bien dis rien a faire il y aura un Accord de defense!
    Mais Un Accord de defense ce n’est pas la fin du monde pour un Pays.
    Un ACCORD de Defense n’est pas une perte de souveraineté encore moins une sous-traitance de la securité du Pays.
    Voyons si le MALI ne signe pas cet ACCORD, c’est surement KIDAL qui va le signerais car la “Base” dont la France rêve d’avoir (Tessalit) n’est pas à Gao ni à Tombouctou mais bien dans la Region de KIDAL!
    IL ne reste plus aux Maliens que de bien travailler sur les clauses de l’accord: statut du personnel-durée-sanctions-mobilité-espace alloué delimité et cartographié-poursuite en cas de manquement-port d’armes hors missions,hors zones, hors exercices-etc! Revisiter les clauses tous les X années pour correction!

  11. Ces préoccupations réellement des maliens sont bien pris en charge. Mais malheureusement l’aveugle ne peut pas voir surtout quand il est idiot et que son seul objectif est de nuire au Mali

  12. Ces préoccupations réellement des maliens sont bien pris en charge. Mais malheureusement l’aveugle ne peut pas voir surtout quand il est idiot et que son seul objectif est de nuire au Mali:
    -éducation :
    Les jeunes doivent se prendre en main et s’assurer qu’ils reçoivent le meilleur enseignement possible, afin de pouvoir bien nous représenter à l’avenir.
    Le premier enseignement pour nous jeune du Mali est le courage. Mon ami Kassin, tu effaceras ce que tu as écris jusqu’à présent sur le cahier de ta vie : inquiétude, manque d’assurance, mensonge. A la place, tu écriras le mot courage. En commençant le voyage avec ce mot ; et en le poursuivant avec la foi de Dieu, tu arriveras là où tu dois arriver.
    -santé :
    Le gouvernement a initié une politique unifiée de santé publique et d’assurance maladie. Les caractéristiques mêmes du secteur de la santé font de l’exercice de définition d’une politique un véritable pari. Le secteur de la santé est historiquement placé sous la responsabilité des municipalités puis des partenaires sociaux, diversité des acteurs publics et privés aux gouvernances incertaines, multiplicité des objectifs sanitaires et sociaux… mais je te rassure l’état est en train de mettre de l’ordre dans tout ça parole de connaisseur . Mon ami ton problème c’est que tu n’es pas bien informer. Il faut éviter les tintamarres.
    -emploi :
    La meilleure façon de résoudre le chômage, c’est de travailler. Les salariés sont les êtres les plus vulnérables, ce sont des chômeurs en puissance. Mon ami ces jeunes que tu traites de chômeur sont qui ? Qui sont les propriétaires des restaurants de Bamako ? Qui sont les enseignants actuellement au Mali ? Qui sont les maçons actuellement ? … alors jeunes du mali acceptons le sacrifice, arrêtons les sorties intempestives pendant l’année scolaires. Prenons des initiatives. Jouons d’abord notre rôle avant réclamer quoique ce soit. Jeunes du Mali, ne vous souciez pas d’être sans emploi ; souciez-vous plutôt d’être digne d’un emploi. Merci
    -pouvoir d’achat :
    Pour un ménage, le pouvoir d’achat est la capacité d’achat que lui permet l’intégralité de ses revenus. Le pouvoir d’achat dépend donc du niveau des revenus et des prix. Les évolutions du pouvoir d’achat correspondent aux variations des revenus en valeur réelle (c’est-à-dire après correction des effets de l’inflation). « La question du pouvoir d’achat ne s’est pas imposée par hasard dans le débat public. Ce mot-poison empêche de remettre en cause la consommation et enferme les luttes sociales dans la revendication d’un toujours plus ». Le gouvernement vient de prendre des mesures à l’avant dernier conseil des ministres pour régulariser les prix. Maintenant la balle est dans notre camp. Il est temps que nous manifestons notre patriotisme par des actes et non par des mots non-sens.
    – foncier, routes et transport, sécurité, eau potable, électricité, etc) :
    Le développement économique désigne les évolutions positives dans les changements structurels d’une zone géographique ou d’une population : démographiques, techniques, industriels, sanitaires, culturels, sociaux… De tels changements engendrent l’enrichissement de la population et l’amélioration des conditions de vie. C’est la raison pour laquelle le développement économique est associé au progrès. Les route Bko- Segou, Fana – Dioila et bien d’autres sont presque finies mon ami. L’interconnexion avec la RCI est une réalité. La multiplication des forages vient d’être votée par l’AN. DE NOUVELLES lois concernant le foncier viennent d’être élaborées. Mon ami est-ce que tu es réellement malien mais tu n’es au courant de rien dans ce pays.
    “Beaucoup considère le chef comme un homme à abattre, ou une vache à traire. Peu le voit comme le cheval tirant la charrue” Winston CHURCHILL

  13. La conclusion est lucide: Quelle contrepartie avec les accords de défense? Mines? Uranium, Pétrole? Marchés passés de gré à gré? Les sites géostratégiques de Tessalit?
    Sinon, personne (même les putschistes) ne s’est opposée à SERVAL à Konna. Bien que nous constatons tous maintenant que c’est la France de Sarkozy qui a monté le MNLA allié à des djihadistes pour attaquer le Mali de ATT. Car même les aveugles ont vu le MNLA ressuscité par SERVAL à KIDAL quand leurs anciens amis terroristes les avaient boutés hors du territoire malien…
    Mais ALPHA avec IBK comme Premier Ministre, ATT avec IBK comme Président de l’Assemblée Nationale, un peu Dioncounda avec IBK comme simple député, enfin IBK qui a réussi le miracle de blanchir des criminels en les faisant élire sur sa liste, ONT TOUS SANS EXCEPTION RECOMPENSE LES REBELLES ET TERRORISTES. Le MNLA, malgré le soutien de la France, qui n’a apparemment rien ‘’gagné’’ jusqu’à présent, va se taire pourquoi ? Pas de postes juteux au Nations Unies, pas de députation, pas de sacs d’argent? C’est la différence majeure du traitement de la rébellion par le Niger et le Mali. Si j’avais un peu de courage et d’inconscience, j’aurai personnellement créé mon ZZWAD pour avoir droit à ma part du gâteau présidentiel. Puisque ni la société civile malienne, ni l’armée malienne, n’ont ni les moyens financiers ni les équipements pour combattre quelques rebelles/terroristes, DANS LA DUREE. Mais le gouvernement a les moyens de payer un deuxième avion présidentiel. Comprenne qui pourra…

  14. Grace a ces nationalstes vs pouvez insulter aujoud hui si non c est les appatrides etla france et iyad qui ont fait konna et la destruction de nos missiles .mais detrompez vous jamais le Mali ne vous reviendra a vous les journaleux et vos mentors politiques arrivistes

  15. Je ne suis pas toujours d’accord avec DAK, mais là, son papier est un modèle de LUCIDITE et d’ANALYSE des faits!

    Chapeau! (Pour cette fois! 😉 )

  16. 2 Menteurs talentueux et piètres voyageurs.

    “Je vais à Kidal, Tombouctou et Gao pour m’assurer que l’administration fonctionne”

    Et Hop, Moussa Mara le nouveau VRP de l’achat de L’Air Mandé One, l’avion d’IBK acheté dans la douleur sur les dos fatigués des maliens à 20 milliards de FCFA, inaugure son propre premier voyage inutile au Nigeria.

    C’est à dire loin de Kidal, Tombouctou et Gao.

    Le premier menteur, présenté au peuple malien comme premier ministre en remplacement d’Oumar Tatam Ly, reprend le flambeu du voyageur inutile et menteur invétéré.

    Son patron “bourgeois”, IBK, qui a remporté la coupe du monde des voyages inutiles en 2014 bien avant la coupe monde de football au Brésil , n’avait-il pas dit le “Mali d’abord” avant que les maliens ne découvrent successivement “sa famille d’abord”, “le Mnla d’abord”, et les “voyages inutiles après”?

    Les deux matamores de la politique malienne ont juré de se goinfrer à satiété sur nos deniers publics et sans retenue.

    Et pour réussir cela ils ont carrément tourné le dos aux préoccupations réellement des maliens:
    -éducation,
    -santé,
    -emploi,
    -pouvoir d’achat,
    – foncier,
    -routes et transport,
    -sécurité,
    -eau potable,
    -électricité, etc).

    Le dernier conseil des 31+1 ministres ne fait état que des affectations de terrains à des ministères et des nominations bidons loin des vrais problèmes du Mali et des maliens.

    Les deux menteurs attitrés continuent d’embobiner le peuple malien alors qu’ils ne sont pas fichus de foutre le pied à Kidal qui nous échappe en faveur d’une racaille de la pire espèce nommée Mnla.

    Nos champions du monde des voyages inutiles n’ont par ailleurs aucun respect ni pour l’argent public du Mali ni pour les maliens et continuent à coup de déclarations mensongères à faire semblant de gouverner un pays en crise profonde de société et de leadership.

    “Aw ta niè bè aw yèrè kônô”!

    Wa salam!

    • Ces préoccupations réellement des maliens sont bien pris en charge. Mais malheureusement l’aveugle ne peut pas voir surtout quand il est idiot et que son seul objectif est de nuire au Mali

Comments are closed.