La mission de la Cedeao a quitté le Mali sous les imprécations de certains de nos compatriotes. Comme ce fut le cas en 2012, lors du coup d’Etat d’Amadou Haya Sanogo, lorsque l’organisation ouest-africaine a rappelé que son Protocole additionnel sur la démocratie et la bonne gouvernance bannit toute prise du pouvoir par des voies anticonstitutionnelles.
Ces respectables messieurs ne méritent pas nos quolibets. La bronca contre eux ne nous fait pas avancer d’un pouce. Bien au contraire. Si les voisins se précipitent pour essayer d’éteindre l’incendie qui couve sur les rives du Djoliba, ce n’est pas parce qu’il y a un risque de renversement d’un président élu, c’est bien parce que la situation du Mali inquiète profondément au-delà de nos frontières. Nous risquons de devenir le point de départ d’un incendie qui épargnerait peu de pays de la région ouest-africaine.
Le Mali est un Etat pivot à partir duquel, on peut atteindre n’importe point de l’Afrique de l’Ouest. Ce serait une injure de dire que les autres mesurent plus que nous-mêmes l’importance de notre pays sur le plan géostratégique. Quoique notre comportement incite à le croire. Tout à leur élan révolutionnaire, certains compatriotes réclament rien de moins que la démolition de la maison commune pour la reconstruire après. Quand le gros temps menace, ce n’est pas très prudent de démolir son abri.
Voilà pourquoi l’organisation intergouvernementale n’a pas l’intention de nous laisser courir à l’abîme. «La Cedeao mettra tout en œuvre pour la réalisation effective des mesures proposées et demeurera saisie de la question», préviennent ses émissaires dans leur communiqué final. La médiation de la Cedeao monte en gamme sur le dossier malien. Elle annonce l’arrivée, le 23 juillet prochain, pour une mission de médiation, des présidents Alassane Ouattara de la Côte d’Ivoire, Issoufou Mahamadou du Niger, Akufo-Ado du Ghana et Macky Sall du Sénégal.
“…Ces respectables messieurs ne méritent pas nos quolibets. La bronca contre eux ne nous fait pas avancer d’un pouce. ..” IDIOT! OUI IL FAUT ÊTRE IDIOT DE CROIRE QUE CES QUOLIBETS ET CETTE BRONCA ÉTAIENT PERSONNELS. NON ILS ÉTAIENT TOUT SIMPLEMENT DESTINÉS AU “SYSTÈME” QUI PERMET AUX PRÉSIDENTS AFRICAINS DE SE PROTÉGER ENTRE EUX. ILS ÉTAIENT AUSSI INDIRECTEMENT ADRESSÉS AU NOTRE -IBK.
“…Ce serait une injure de dire que les autres mesurent plus que nous-mêmes l’importance de notre pays sur le plan géostratégique. Quoique notre comportement incite à le croire. Tout à leur élan révolutionnaire, certains compatriotes réclament rien de moins que la démolition de la maison commune pour la reconstruire après. Quand le gros temps menace, ce n’est pas très prudent de démolir son abri….”
ENCORE UNE IDIOTIE! ET SI LA MAISON COMMUNE, EN BANCO, N’A PAS DE TOITURE? NE VAUDRAIT-IL PAS MIEUX ALORS DE LA “REFONDER” (LA DÉTRUIRE POUR LA REBÂTIR AVEC DU MATÉRIEL RÉSISTANT ET ADÉQUAT)? NOUS MALIENS, NOUS NOUS CROYONS “ARRIVÉS (l’importance de notre pays sur le plan géostratégique)” ALORS QUE LES AUTRES RIENT DU FOND DE NOTRE PANTALON TROUÉ
“…Avaliser un changement de pouvoir ne respectant pas ses principes, revient pour la Cedeao à encourager la possibilité d’un effet domino dans une région ouest-africaine déjà en proie au péril terroriste, dont notre pays est déjà l’un des foyers importants…”
B. TOURE, C’EST EFFECTIVEMENT VRAI QU’AVOIR ÉCRIT UN LIVRE NE FAIT PAS D’UN HOMME UN BRILLANT. ATT N’A-T’IL PAS DÉMISSIONNÉ POUR DONNER LA CHANCE AU PAYS DE SE RÉUNIR? POURQUOI IBK NE PEUT PAS FAIRE LA MÊME CHOSE, CAD DÉMISSIONNER?
“…À l’état actuel de la situation, difficile de nourrir un quelconque optimisme dans le sens d’un Mali apaisé et stable…” LE MALI N’A PLUS JAMAIS ÉTÉ STABLE DEPUIS L’ARRIVÉE D’IBK, PROUVEZ MOI LE CONTRAIRE.
“..Il est plus sage de prendre le temps de mener patiemment des réformes pour asseoir des institutions qui tolèrent moins d’écart de conduite de la part des dirigeants. La pratique « ôtes-toi de là que je m’y mette » est contre-productive. …” IL NE SERT A RIEN DE SEMER DANS L’HERBE OU DE BÂTIR UNE MAISON SI LE SOUBASSEMENT N’EST PAS SOLIDE. ALORS MENER DES REFORMES OU ASSEOIR DES INSTITUTIONS…? QUAND A LA PRATIQUE DONT TU PARLES « ôtes-toi de là que je m’y mette », PENSES-TU RÉELLEMENT QU’UN MARIKO ACCEPTERAIT QUE CHOGUEL SOIT PRÉSIDENT OU PM OU VICE-VERSA? C’EST PARCE QUE LE M-5 EST DISPARATE QU’IL A PLUS DE CHANCE DE SUCCÈS.
“…nous les regrettons parce que les promesses du changement sont rarement à la hauteur des espérances. A cause certainement de l’impréparation, de l’impatience à s’installer au pouvoir. Il serait salutaire de rompre avec ce cycle…” OUI EFFECTIVEMENT VU “LA STATURE”, LA DURÉE D’IBK DANS LA HAUTE SPHÈRE DE L’ADMINISTRATION ( HOMME D’ÉTAT, HOMME A POIGNE, PATRIOTE?) ET LE MOMENT DE SON ARRIVÉE, ON PENSAIT QU’IL ALLAIT ROMPRE CE CYCLE “de l’impréparation, de l’impatience à s’installer au pouvoir”.
“…Nous serions mieux inspirés d’éviter de créer une situation incontrôlable…” TU ME FAIS VRAIMENT RIRE B TOURE. SORTS TU VRAIMENT DE BAMAKO. ET MÊME DANS CETTE VILLE, QUI CONTRÔLE QUOI? A TITRE D’EXEMPLE, PEUX-TU ME DIRE AVEC EXACTITUDE QUI A DONNE L’ORDRE A LA FORSAT DE SORTIR ET QUI LEUR A FOURNIT DES ARMES AVEC BALLES RÉELLES?
POUR CONCLURE, JE DIRAIS QUE LA FACE DU QUOTIDIEN NATIONAL A CHANGÉE, MAIS PAS LE FOND
“…Ce serait une injure de dire que les autres mesurent plus que nous-mêmes l’importance de notre pays sur le plan géostratégique. Quoique notre comportement incite à le croire. Tout à leur élan révolutionnaire, certains compatriotes réclament rien de moins que la démolition de la maison commune pour la reconstruire après. Quand le gros temps menace, ce n’est pas très prudent de démolir son abri….”
ENCORE UNE IDIOTIE! ET SI LA MAISON COMMUNE, EN BANCO, N’A PAS DE TOITURE? NE VAUDRAIT-IL PAS MIEUX ALORS DE LA “REFONDER” (LA DÉTRUIRE POUR LA REBÂTIR AVEC DU MATÉRIEL RÉSISTANT ET ADÉQUAT)? NOUS MALIENS, NOUS NOUS CROYONS “ARRIVÉS (l’importance de notre pays sur le plan géostratégique)” ALORS QUE LES AUTRES RIENT DU FOND DE NOTRE PANTALON TROUÉ
“…Ces respectables messieurs ne méritent pas nos quolibets. La bronca contre eux ne nous fait pas avancer d’un pouce. ..” IDIOT! OUI IL FAUT ÊTRE IDIOT DE CROIRE QUE CES QUOLIBETS ET CETTE BRONCA ÉTAIENT PERSONNELS. NON ILS ÉTAIENT TOUT SIMPLEMENT DESTINÉS AU “SYSTÈME” QUI PERMET AUX PRÉSIDENTS AFRICAINS DE SE PROTÉGER ENTRE EUX. ILS ÉTAIENT AUSSI INDIRECTEMENT ADRESSÉS AU NOTRE -IBK.
Dans un pays dirigé par un clan formé autour du président de la république,détournant les ressources publiques, manoeurvrant pour céder le pouvoir à un des membres,marqué par une absence totale de soucis à sauvegarder les intérêts de la nation est-il RESPONSABLE d’accepter de se soumettre à l’autorité de ce président?
Est il RESPONSABLE de laisser s’accomplir jusqu’à 2023 ce qu’on a connu les sept années passées c’est-à-dire la manifestation de la PRIMAUTÉ de l’intérêt INDIVIDUEL au détriment de l’intérêt GÉNÉRAL?
Les peuples dignes se décident à dégager un président qui a trahi son serment de se mettre à la disposition du peuple.
Le fonctionnement démocratique en panne ne peut permettre de sanctionner électoralement un dirigeant défaillant.
Il ne reste que la solution d’affrontement de la rue.
NOTRE CONSTITUTION PERMET LES MANIFESTATIONS ET LA DÉSOBÉISSANCE CIVILE.
C’est ce qui est en vigueur depuis le 5 juin.
Où se situe l’irresponsabilité dans les agissements des animateurs du M5-RFP?
D’avoir privilégié la rue que d’accepter un gouvernement d’union nationale?
D’avoir refusé les propositions de la CEDEAO?
Le président IBK est il responsable quand il se fait entourer par les membres de la famille au lieu que ça soit la majorité présidentielle?
N’est-ce pas ces faucons du clan qui privilégient la méthode de la violence?
Le M5-RFP n’est pas un parti politique pour qu’on parle de “ôte toi que je m’y mette”.
IL EST UN MOUVEMENT POPULAIRE DE REFONDATION DE L’ÉTAT DU MALI.
Il ne s’agit pas là d’une opposition politique,mais d’une organisation patriotique.
Aucun responsable du M5-RFP n’est destiné à prendre la place d’IBK puisque c’est une transition qui sera mise en place
À l’issue de celle-ci des élections sont organisées pour élire les responsables des différentes institutions de l’État.
“Les démons de la violence tapis dans l’ombre”sont plutôt du côté de ce clan présidentiel motivé à puiser dans les caisses de l’État.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue
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