Pour renouer avec le FMI, l’Etat malien annonce l’annulation de plusieurs contrats dans cette affaire et est en train de faire un grand ménage. Le directeur des finances du ministère de la Défense a été, ainsi, limogé. Et, selon des sources concordantes, la ministre des finances, Mme Bouaré Fily Sissoko et beaucoup de cadres sont sur le point d’être relevé. L’Etat malien acculé n’a, apparemment, d’autres solutions que de nettoyer les écuries d’Augias. Des mesures sine qua non pour la reprise de la coopération entre le Mali et le FMI. Mais tel aurait-il été le cas si le FMI n’était pas passé dans nos murs ? Pas sûr. Car tout porte à croire que cette surfacturation s’apparente à un pillage en règle des ressources de l’Etat. Au Mali, en effet, voler les ressources publiques relève plutôt d’un acte de bravoure, la fraude et la corruption étant érigées en système de gouvernance.Piller les ressources publiques et narguer le peuple est chose courante chez nous. Combien sont-ils de ministres, de présidents d’institutions, de directeurs de sociétés d’Etat ou de simples agents dont les noms sont cités dans des rapports du Vegal ?Pourtant l’argent public a été mal géré et même dilapidé sans la moindre poursuite contre ces auteurs. Cette nouvelle surfacturation renvoie à celle de la qualité de la dépense publique dans un environnement fortement marqué par la corruption dans tous les rouages de l’Etat. Devant cet état de fait, difficile de rester de marbre lorsque l’on entend le président de la République décrétée l’année 2014 comme l’année de la lutte contre la corruption. En ces temps de marasme économique où des centaines de milliers de familles ont du mal à joindre les deux bouts au Mali, où les pauvres voire les “nouveaux pauvres”, ceux-là mêmes qui on fait faillite suite à la crise, tirent le diable par la queue pour survivre. Cette situation anéantit les espoirs de tout un peuple. Paul Lafargue disait que notre époque est, dit-on, le siècle du travail, il est en effet, le siècle de la douleur, de la misère et de la corruption. Triste, très triste époque, donc, pour le Mali.
Madiassa Kaba Diakité
Le ridicule ne tue pas au Mali, le malien ne sait pas démissionner et certains, d’entre nous qui le faisons, sont critiqués et sont même méprisés! Alors qu’il faut simplement partir/quitter pour permettre d’éclaircir les choses et continuer de garder sa dignité et respect plus tard! Mais non on préfère s’accrocher au privilège mal acquis et ce qui me rend malade: on demande à des “marabouts” de faire des miracles! Comme si ALLAH/Dieu est une seule fois devenu injuste!
” Je suis un homme, rien de ce qui est humain ne m’est etranger.”
Terence
Naivété des maliens, il lui a suffit de prononcer le mot INCHALLA dans ses discours,et il se fait élire à 78%.
AU SECOURS ZOU.
Au Mali pour les intouchable,les plus puissants et leurs associés ou alliés,la règle pour eux est qu’il n’y a pas de règle.Ou plutôt si les règles existent, elles sont nombreuses,inéfficaces,mouvantes et faciles à manipuler pour leur permettre de s’en affranchir. C’est le seul moyen de réussir dans leurs “businesses”.
IBK,c’est vraiment la grande déception. IBK au coeur de tels scandales financiers qui l’aurait cru? IBK,supposé un homme d’État experimenté,aura prouvé qu’il n’a pas l’étoffe d’un bon dirigeant.Son bluff a vraiment marché pour accéder au pouvoir,mais pour la suite maintenant c’est l’incertitude totale,car les Maliens ne peuvent plus accepter ces pratiques malsaines qui ont conduit notre Pays dans cette situation lamentable.
LES MALIENS ONT APPAREMMENT ÉLU … ZON BRIN ET SON ZON GUERIN … 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥
C’EST CAS MÊME DIFFICILE À CROIRE … QUE CERTAINS VOIENT DANS LA TRAGÉDIE DES PAUVRES POPULATIONS DU NORD … ET DES SOLDATS TOMBÉS AU FRONT … UNE OPPORTUNITÉ DE S’ENRICHIR DE FAÇON ILLICITE … 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿
POUR ÇA … IL FAUT VRAIMENT ÊTRE LA PIRE DES RACAILLES DE CE MONDE … 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿
C’EST POUR CELA QUAND D’AUTRES IMBE-CILES INDIGNES SOLDATS RATÉS … VOUS CASSENT LA FIGURE AU NOM D’UN REDRESSEMENT IMAGINAIRE DE L’ÉTAT … LE PEUPLE NAÏF TEND À LES APPLAUDIR … 👿 👿 👿 👿 👿
LES MÊMES IMBÉ-CILES CHANTAIENT PARTOUT … HASSIDIS … ENNEMIS DU MALI … ESPIONS DE LA FRANCE … APATRIDES … CHERCHEURS DE PLACE … AIGRIS … JALOUX … 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
BANDE MAUDITS VOLEURS …!!! 👿 👿 👿 👿 👿 👿
Moussa Ag,… PAUVRE MALI .. 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥
Le Mali est devenue la trainee de l’Afrique avec nos dirigeants.
Ladji machin est venu avec sa gu-eule du nouveau balla faceke national. C’est lui qui Nous disait qu’il sera le champoin de la lutte contre la corruption, la tranparence, rien ne sera plus pareil, les choses seront diferrentes et j’en passe. Le kankeletigui, mer- de oui le magouilleur de 1ere classe ce mec qui devient ppire que ces predecesseurs. On verra si cette gu-eule etait manipulatrice juste pour aveugler le peuple comme d’habitutde par nos presidents et politicards es-crots. Eux ils se mettent plein en poches avec leurs complices de l’argent du contribuable et des dons et financements faitent par les bailleurs de fonds.
J’aimerai bien voir la suite de cette affaire, comme ladji a dit que nul ne sera au dessus de la loi en commencant par lui meme et sa click, on verra bien si sa bouche lui donnera raison.
Et bien j’espere que le FMI et la BM iront jusqu’au bout cette fois ci et informeront le peuple des resultats
Moussa ag, nous avons les grands commanditaires qui ont decide’ de confier les victimes (notre peuple) aux petits voleurs, aux executants et aux seconds couteaux. Il suffit de comprendre l’exces de zele de ces derniers pour avoir une excellente ide’e de la m.er.de dans laquelle nous nous trouvons!
Voici ce que Fily Bouaré disait il y a quelques mois dans le quotidien Essor à propos de ce dossier. Une vraie prostitution intellectuelle !
Q : “Justement, la revue conjointe Mali-FMI a été reportée à une date ultérieure. Quelles en sont les raisons ?”
Mme Bouaré Fily Sissoko : “Le fond du problème est que le FMI nous reproche d’avoir mené deux transactions sans l’en informer. Il s’agit de l’achat d’un avion à 20 milliards de Fcfa et de la transaction concernant l’équipement de l’Armée à hauteur de 69 milliards de Fcfa. Le Fonds reproche à l’Etat d’avoir donné une garantie de 100 milliards de Fcfa pour ce marché en cours de 69 milliards. A propos de ces transactions, chacun mène actuellement la réflexion de son côté. En réalité, on peut dire que le débat se situe plutôt à un niveau intellectuel et chacun essaie d’affûter ses arguments.”
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