Il n’est pas exagéré de reconnaître et de dire que le Mali traverse une crise qui le menace dans ses fondements et dans son vivre ensemble. C’est même une lapalissade de le dire. Le phénomène tend à devenir banal, vu qu’il devient cyclique et que, finalement, chaque 10 ans, il nous faut refuser nos institutions, vouloir les chasser autrement que par les voies démocratiques.
Ce qui est à interroger, à questionner avec l’actuelle crise, ce sont nos intellectuels, nos sages, nos ressorts habituels.
Tout se passe comme si chacun doit se déterminer en pour ou en contre, jamais en arbitre. Peu osent appeler à la retenue, peu osent signaler les garde-fous, les limites à ne pas franchir. Les rares qui s’y osent sont traités de tous les noms d’oiseaux, chargés de tous les péchés d’Israël.
Il est de bon ton de dénoncer les “dérives” datant bientôt de 10 ans du régime d’IBK. D’ailleurs, ceux qui sont à la tête de la contestation reconnaissent que ces dérives ont commencé depuis le premier jour de son élection. Et pourtant, ils ont aidé les populations à signer un nouveau bail de 5 ans avec lui ?
Que s’est-il passé entre la poire et le fromage ? Finalement, faut-il, ayant tout perdu d’un côté, exciter et flatter pour se remettre en selle ? Car, une bonne partie des interrogations, aujourd’hui, se trouve à ce niveau. Que faire pour donner au vote sa place ? La question ne doit pas être unidirectionnelle. Autant il faut redonner sa légitimité au vote, autant, il faut que les désavoués des urnes soient relégués, que la classe politique se mue et se renouvelle, que nos religieux soient objecteurs de consciences, que nos universitaires soient courageux et contestataires, que nos jeunes soient studieux et exigeants.
Il n’y a rien à dire : le Mali a mal. La solution ne serait ni dans les médiations, ni dans les concessions, mais bien, dans la quête personnelle de chacun d’être un meilleur Malien, d’être vecteur des ambitions de grandeurs.
A ce jour, nous sommes englués dans un cycle permanent et perpétuel de recommencement, de “ôtes toi que je m’y mette”, du fait que les acteurs, dans leur grande majorité ne sont pas nouveaux, que le peuple, dans son désarroi, pourrait prendre des vessies pour ce qu’elles ne sont pas.
Le Mali a de grands défis d’existence même. Des quatre côtés de nos frontières, arrivent des menaces qui ne feront pas de différences entre adversaires et partisans. Des menaces primaires, que nous négligeons, sublimons, dans des égaux, des questions réglées.
Voyons le Mali, voyons l’avenir, le lègue de nos enfants.
Alexis Kalambry
Le seul et principal fautif est le Président.
C est pas parce qu’on a été membre du Gouvernement ou membre de parti au gouvernement au Mali qu’ on est disqualifié pour s indigner.Mme Sy Mountaga Tall Bathily choguel kokala Maïga n ont rien à se reprocher .Ils ne traînent aucune casserole.
Alors soyons sérieux et ayons du respect pour ceux qui ont servi avec dignité
Alexis Kalambary homme de main et homme de paille des fossoyeurs du Mali.
Jamais un président n a été aussi indigne.
Les frasques du Président et de sa famille ne t ont jamais indigné.
L’incurie du régime ne t a jamais indigné.
L insécurité ne t a jamais indigné.
La raison est simple Alexis tu es juste indigne d être un journaliste.
Boubou a été et est ton principal bailleur.Tout le Mali le sait.
Tu as juste intérêt à te taire.
Le peuple Malien ne pardonnera jamais les soutiens et laudateurs de ce régime.
Ils seront jugés au même titre que les dirigeants coupables
MON CHER ALEXIS, PERMETS MOI DE CITER MON AUTRE CHER- SANGARE- CI-DESSOUS: “LE M5-RFP N’EST PAS UN PARTI POLITIQUE, NI UN GROUPE DE PARTIS POLITIQUES, MAIS UN MOUVEMENT POPULAIRE DESTINÉ À PERMETTRE UNE TRANSITION POLITIQUE AU CONSTAT DE L’INCAPACITÉ DE L’ÉQUIPE AU SOMMET DE L’ÉTAT À RAMENER LA STABILITÉ..”
J’Y AJOUTERAIS AUSSI LE MIEN: QU’EST CE QUI PEUT METTRE ENSEMBLE UN MARIKO, UN CHOGUEL ET UN DICKO?
ET SI VRAIMENT TU T’INQUIÈTE POUR CE QUE TU LÉGUERAIS A TES ENFANTS, (Voyons le Mali, voyons l’avenir, le lègue de nos enfants), REJOINTS LE MOUVEMENT DU 5 JUIN. SINON AVEC IBK AU POUVOIR JUSQU’EN 2023, TU N’AURAIS PLUS RIEN A OFFRIR A TES ENFANTS : RIEN, ZERO, POUTRAI FOYI…..
Alexis calamity John, c’est ton édito insipide, inodore et sans saveur qui est en réalité une lapalissade……
Journaliste missionnaire à la toute devotion de Boubou et compagnie……
Décidément, nos hommes de média ne résistent aux véhicules /4X4 ET AUTRE V8….
Tout de même un petit conseil : bouffe tes miettes et épargne nous de tes sornettes et devinettes à la petite semaine….
La légitimité politique de s’exprimer pour défendre les intérêts supérieurs de la nation n’est pas seulement électoral, mais historique.
On est légitime à conduire les destinées du peuple, quand on est élu.
On est légitime à S’EXPRIMER, à pousser à S’INDIGNER quand on a valablement servi son pays à un moment donné.
IL S’AGIT LÀ DE S’INDIGNER, PAS DE CONDUIRE LES DESTINÉES DE LA NATION.
Peut on denier à l’immense CHEICK OUMAR SISSOKO la légitimité de pousser à S’INDIGNER dans un contexte de gestion catastrophique du pays?
IBK, qui est actuellement président de la république, est il plus légitime qu’un CHEICK OUMAR SISSOKO en terme de l’épanouissement de l’image du Mali?
L’est il plus que le ROSSIGNOL DE LA MUSIQUE MALIENNE SALIF KEITA qui a appelé à manifester contre sa gouvernance?
Ne ramenons pas tout à l’élection pour cacher un soutien tacite au tenant du régime.
Quand on veut devenir président de la république, on fait de la politique,participer aux compétions électorales.
Quand on veux aider son pays, il n’est pas nécessaire de faire de la politique.
LES ACTIONS DU M5-RFP CONSISTENT À AIDER LE MALI À SORTIR DE CETTE SITUATION.
Les hommes qui l’animent ne sont pas tous des hommes politiques pour qu’on ose “ôte toi que je m’y mette”
LE M5-RFP N’EST PAS UN PARTI POLITIQUE, NI UN GROUPE DE PARTIS POLITIQUES, MAIS UN MOUVEMENT POPULAIRE DESTINÉ À PERMETTRE UNE TRANSITION POLITIQUE AU CONSTAT DE L’INCAPACITÉ DE L’ÉQUIPE AU SOMMET DE L’ÉTAT À RAMENER LA STABILITÉ.
Ceux qui ont “aidé les populations à signer un nouveau bail de 5 ans avec lui”ne sont pas les seuls à animer le M5-RFP.
Il y a aussi ceux qui ont contesté son élection, ceux qui sont neutres.
Il n’est pas “à s’interroger,à questionner, avec l’actuelle crise,nos sages, nos resorts habituels”,mais à REFONDER NOTRE ÉTAT.
Le M5-RFP est adhéré massivement car c’est le Mali qui est privilégié.
La crise politique qui oblige à contester régulièrement les autorités politiques en place est systémique liée à LOI FONDAMENTALE du 25 février 1992 inadaptée.
Elle n’est pas sociale pour qu’on fasse appelle à nos “ressorts habituels” qui seront inefficaces tant que le système en cours demeure.
Il y a une stratégie du pouvoir à refuser de reconnaître la légitimité du M5-RFP par l’indexation des hommes politiques qui ont déjà exercé le pouvoir.
Par cette stratégie, on refuse d’aider le Mali.
Pourquoi parler de “prendre des vessies pour ce qu’elles ne sont pas”,si l’ambition du M5-RFP est de passer par une transition par laquelle, après des réformes majeures nécessaires, une compétion électorale va permettre au peuple d’élire les hommes politiques qu’il pense compétent?
On refuse de voir la réalité pour permettre à notre scène politique de “redonner sa légitimité au vote, autant, il faut que les désavoués des urnes soient relégués, que la classe politique se mue et se renouvelle…….”
On refuse de reconnaître que le pouvoir en place, au lieu d’aider le Mali, l’enfonce.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
Mon ami Alex pour lA premiere fois tu a tout dit. Ne prenons pas des vessies pour des lanternes. Mountaga Choguel Bokela Maiga Mohamed Bathily Kadiatou Sow virulent detruire le Mali pour se remettre en selle. Pourtant ils sont tous responsables…
Mon ami Alex pour lA premiere fois tu a tout dit. Ne prenons pas des vessies pour des lanternes. Mountaga Choguel Bokela Maiga Mohamed Bathily Kadiatou Sow virulent detruire le Mali pour se remettre en selle. Pourtant ils sont tous responsables…
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