Notre éditorial du lundi passé a suscité d’abondantes réactions qui, toutes, constituent un bon baromètre pour mesurer l’attachement viscéral de l’écrasante majorité des Maliens aux autorités de la Transition, singulièrement au colonel Assimi Goïta. Ce qui a conduit les uns à exprimer des inquiétudes, après constat que nous avons eu les yeux d’Argus en observant qu’il y a sur la liste des membres qui composent le Comité de pilotage du dialogue inter-malien aux fins de parvenir à la paix et à la réconciliation un mélange incroyable d’ivraie et de bonne graine, cocktail qu’un pays en refondation doit absolument éviter car il vicie toute bonne mission. En effet, des repris de justice et d’autres mis en cause, poursuivis mais en liberté conditionnelle, y côtoient des personnalités louables, dignes de confiance, jamais prises à défaut dans l’accomplissement des devoirs qui leur ont incombé au service de la nation et de la patrie. Quelques crapules de haut vol, transhumants notoires qui, en bons rats ont mangé à tous les râteliers, s’y sont glissés, trichant sur leurs identités, délinquance confirmative de leurs bassesses d’hier ; parmi eux il y en a dont on a tu l’appartenance à des faitières, pour des raisons malsaines inavouables. Le pot-aux-roses découvert, les indélicats auraient dû eux-mêmes prendre l’initiative de se retirer de la liste avant l’installation du respectable Comité dont la nation attend beaucoup. Mais non, les mauvaises habitudes se parent de l’innocence, du moins tant que c’est possible de faire bénéficier indûment des subsides publics à des alliés, alors même que tout le monde exprime l’avis qu’il est décevant de mettre les relations interpersonnelles au-dessus du Mali. Mais on a choisi sans vergogne de faire signer à la première institution du Mali, le Chef de l’État, ce que d’aucuns ont qualifié de plus mauvais document de la Transition, et encore, qui met au coude à coude le policier professionnel et le voleur, et à l’unisson le terroriste financier et l’inspecteur des finances le plus consciencieux.
Dans les réactions que nous avons enregistrées, il nous paraît impératif de porter deux à l’attention des plus hautes autorités. La première nous est venue de plusieurs citoyens avertis de Bankass qui estiment faire un plaidoyer pour leur cercle, épicentre de l’insécurité au centre du Mali, donc de la fracture sociale, dont pourtant aucun représentant ne siège au Comité de pilotage du dialogue inter-malien. Cette absence de ceux de Bankass provoque, pour d’évidentes raisons, des questionnements et des amertumes dans le bled. La deuxième réaction lovée dans la perplexité et l’incompréhension, est la préoccupation qui étreint le Conseil des Ordres Professionnels du Mali (NOPM) qui ressent quelque désintéressement à son égard pour des missions du genre dialogue inter-malien. Or, estime-t-on, qui mieux que le CNOPM, faitière regroupant 14 corporations (auxquelles il convient d’ajouter l’Ordre des Avocats et celui des Experts judiciaires) peut atteindre les populations dans leur ensemble : les Ordres des médecins des pharmaciens des infirmiers des sages-femmes des Vétérinaires des chirurgiens-dentistes , Géomètres experts, des architectes des ingénieurs conseils des Urbanistes, des conseils fiscaux des comptables et experts comptables, des Notaire, des Huissiers-commissaires de justice ?
Amadou N’Fa Diallo
sangare l’écervelé tu restes aigri miserable et un prophète de malheur qui hait sa nation parce que tu ne parviens plus a voler du trésor public comme ton patron Alpha Omar Konare et sa famille et son parti politique l’ADEMA-PSJ
Pendant que l’insécurité gagne tout le territoire national, des opportunistes courent après le peu de ressources de l’Etat.
LE DIALOGUE INTER MALIEN EST UNE ESCROQUERIE INQUALIFIABLE.
Il n’aboutira à aucun résultat car on dialogue avec ceux qui empêchent la stabilité sécuritaire depuis 2012 favorisant le départ de deux présidents élus AMADOU TOUMANI TOURE et IBRAHIM BOUBACAR KEITA.
Cette insécurité aura aussi raison d’ASSIMI GOITA et ses camarades COLONELS PUSCHISTES associés à CHOGUEL MAIGA.
SEUL ATT ÉTAIT SUR LE BON CHEMIN À RAMÈNER LA SÉCURITÉ.
C’est connu, sauf à s’entêter, le ré-armement de l’ARMÉE MALIENNE est loin de favoriser la sécurité du territoire.
ON S’ACHEMINE PLUTÔT À UNE NOUVELLE CONFRONTATION ENTRE LES SÉPARATISTES SOUTENUS PAR LES OCCIDENTAUX APPUYÉS PAR L’ALGÉRIE ET L’ARMÉE DES COLONELS SOUTENUS PAR POUTINE.
Personne ne peut prédire l’issue des confrontations forcément meurtrières.
Ce qu’on peut prévoir, c’est le prolongement de l’insécurité pour un temps indéterminé.
Les COLONELS PUSCHISTES et CHOGUEL MAIGA sont entrain d’installer le Mali dans une insécurité comparable à celle en cours en Afghanistan et en Somalie.
La France a été accusée, à raison,d’entretenir l’insécurité afin de pousser IBK à appliquer rapidement l’accord d’Alger.
IL A ÉTÉ DIT CLAIREMENT QUE LA SÉCURITÉ EST LIÉE À L’APPLICATION INTÉGRALE DE L’ACCORD D’ALGER.
Ça a provoqué le désamour de l’armée française.
On peut dire aussi, sans se tromper, que les COLONELS PUCHISTES optent pour l’insécurité afin de prolonger leurs présences au sommet de l’Etat.
C’est pourquoi,ils n’ont jamais voulu la négociation avec les JIHADISTES MALIENS c’est à dire IYAD AG GHALLI et AMADOU KOUFA.
Malgré le départ de l’armée française,une des conditions d’IYAD AG GHALLI pour négocier,les COLONELS PUSCHISTES ont nié l’ancien patron du GENERAL GAMOU.
Ils ont préféré ré-armer l’armée malienne,faire appel à WAGNER que de négocier.
L’armée de KADDAFFI était faible?
La destruction de son pays suivie de son assassinat crapuleux sont consécutifs à la faiblesse de l’armée de KADDAFFI?
L’armée des COLONELS PUSCHISTES peut avoir plus d’armements que la syrie des bachar al assad?
L’armée des COLONELS PUSCHISTES peut elle imaginer avoir les dotations de l’Arabie saoudite qui a échoué au Yémen malgré des mercenaires qu’elle payait très chèrement?
Armer un pays n’a jamais été une solution pour ramener la sécurité.
ALPHA OUMAR KONARE et AMADOU TOUMANI TOURE l’ont compris!!!
On finira par leurs donner raison au prix malheureusement des dizaines de milliers de morts.
Les américains ont perdu plus de 5000 hommes avant de comprendre que la solution n’est pas au bout des armements les plus modernes notamment les drones les plus sophistiquées.