Le concept est synonyme d’existence sur terre. Toutes les espèces vivantes sont engagées dans un processus constitué il y a plusieurs milliards d’années .En dehors de l’homme plus de 1 ,75 millions d’espèces ont été identifiées et qui peuplent actuellement la faune et la flore. Depuis des hominidés, l’homme a côtoyé la nature qui lui a donné la faculté de vivre et de se multiplier. La nourriture, le soin, l’habitat, ou tout autre forme de besoin relève, à n’en pas douter, de cette biodiversité. Faisons en sorte qu’elle ne s’amenuise point .Si pour l’union internationale pour la conservation de la nature, l’Afrique (UICN) est le deuxième continent en biodiversité après l’Amérique avec 20364 espèces d’animaux et de plantes dont 15643 animales, 19% de sa faune restent menacés. Au Mali, c’est surtout le changement climatique, l’agriculture, l’urbanisation, la perte d’habitat naturels les feux de brousse, l’exploitation abusive du foret, le braconnage qui portent atteinte à notre biodiversité .Ici, au moins 3000 espèces animales et 16000 espèces végétales son sérieusement menacées d’extinction .C’est un devoir de génération, de renverser cette tendance actuelle qui risquerait d’être préjudiciable à la survie de l’humanité. Une alternative, le développement durable. Son but est d’offrir à tous, une meilleure qualité de vie sans dégrader l’environnement, ni transiger sur les besoins en ressources des générations futures. Nous pourrons y arriver, si nous changeons nos modes de consommations, pour privilégier des biens plus économes en énergie, en eau ou autres formes de ressources naturelles .Yes we can
BABA DIARRA
Source : Vert Info