Ce qui se passe actuellement à Kidal est tout simplement inadmissible. Nos frontières nationales n’ont été, en aucun moment, de 2012 à ce jour, remises en question. Au contraire, les différents accords et ententes signés, de Ouagadougou à New-York en passant par Alger, ont toujours eu, comme préambule, leur confirmation. Il existe donc un territoire malien. Mais, tout se passe comme si Kidal se situe hors de ce territoire. Depuis le 12 juillet dernier, Ifoghas et Imrads s’y livrent une bataille rangée, avec des armes lourdes. Le bilan des affrontements ne peut être évalué avec exactitude, mais, il est question de dizaines de morts. Des communiqués nous parviennent : La MINUSMA et la force Barkane patrouillent dans la ville pour assurer, dit-on, la sécurité des personnes et de leurs biens. Mais, à y regarder de près, elles y assurent une toute autre mission : la défense des intérêts de la « Communauté Internationale », avec, en premier, la défense des intérêts de la France. Pour la France, Kidal est le spectre qu’il faut maintenir brandi à la face de la République du Mali comme pour lui dire : « Attention ! Je te tiens. »
L’inadmissible est que, sur une partie du territoire national, ce soient des forces étrangères qui assurent la sécurité des personnes et des biens alors que nous disposons de nos propres forces de défense et de sécurité, lesquelles sont prêtes à assumer leur mission.
Face à la situation, l’État se manifeste totalement impuissant. Il faut quand même réagir, car la situation ne saurait laisser indifférent. L’État a réagi par deux communiqués, le premier émanant de la majorité présidentielle, le second, du gouvernement. Les deux communiqués se ressemblent à s’y méprendre. Trois points y retiennent l’attention : « l’État déplore… », « L’État présente ses condoléances… », « l’État demande à la Minusma et à la force Barkane … » Sommes-nous loin, à la lecture de ces communiqués, du proverbe relatif au chat déclarant que la souris l’a mordu à la bouche ?
Notre réaction doit être plus « robuste ». « Terre de brillants empires et de vaillants guerriers ; pays de culture et de partage » ne mobilise plus. Ce qu’il faut, c’est nous assumer, en cessant d’être humiliés. Il nous incombe de traduire en acte cette phrase de l’Almamy Samory Touré, l’illustre résistant : « Quand un homme refuse, il dit « non ! »
LA RÉDACTION
Source :Le Sursaut
Mes chers, les militaires maliens sont des maliens, ce n’est pas une race à part et à ce titre n’en demandez pas plus que vous ne demandez à vous même. A FOU GOTO, disent les peuls. L’armée est le reflet du pays, dites-moi ou ça marche dans ce …. pays? à la Présidence? au gouvernement? à l’Assemblée? la Société civile? Que neni. Donc arrêtons de dire des conneries et vivons plutôt notre destin : la honte, le déshonneur, et que sais-je encore?
L’épilogue de Aguel-hoc ?
Mr c’est facile de raconter des discours de faut patriote sans la France les barbus seraient déjà a Bamako tout le monde allaient être en pantalon court
A quand nous maliens ont va être honnête avec nous meme ont n’a pas des soldats pour faire la guerre rien que les bruits des ak47nos prennent la fuite car ils jamais eux a faire a l’entraînement avec des vrais fusil je parle en connaissance de cause
C’est très simple, toutes ces troupes étrangères qui se trouvent sur le sol Malien (Barkhane et Minusma) ont été sollicitées pour qu’elles viennent chez. Si nous avons une armée qui peut nous défendre, disons leur de plier bagages et elles seront contentes de se redéployer ailleurs dans le monde. C’est très simple, il suffit de leur dire de quitter et nous verrons si IBK ne sera pas réduit à porter un pantalon sauté aux chevilles, laisser pousser la barbe et appris à bien prononcer les versets coraniques qu’il ne cesse de réciter. 😀 😀 😀 😀 😀 😀
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