Le passage à un nouvel an, publiquement appelé la fête du « 31 décembre », est un moment de joie et d’allégresse. Une année se termine ; une nouvelle commence. Ceux qui ont la joie et la chance de vivre ce moment unique, remercie Dieu. Mais, le 31 décembre n’est pas le 1
er janvier, début de la nouvelle année. Par imprudence, il arrive que certaines personnes ne voient le 1
er janvier. C’est pourquoi, il est important de rappeler certaines règles surtout en matière de circulation routière dont la violation a toujours occasionné des cas de décès le jour du réveillon. Il est primordial, de limiter la vitesse quand on se déplace en engin ; le port du casque doit être obligatoire quand on est sur moto ; mettre la ceinture de sécurité ; respecter le code de la route de façon générale ; ne pas conduire en état d’ébriété.
Certaines personnes, dans l’euphorie, se laissent aller et finissent soit à la morgue, soit sur une civière à l’hôpital. Alors que le plus facile serait d’observer le minimum de prudence afin d’être sur pied pour dire « bonjour 2020 ».
Chaque année, les statistiques d’accidents de la circulation en cette fin de l’année et au passage à l’an nouvel, sont assez alarmant pour laisser indifférents ceux qui s’en soucient. Prudence est toujours mère de sureté, dit-on.
El Hadj Tiémoko Traoré