Il y a quelques semaines, je m’aventurais à sonder des citoyens maliens. La plupart de mes cibles étaient des hommes et femmes qui avaient donné corps et âme pour la victoire d’IBK en 2013. La seule question :’’ que pensez-vous de la gestion d’IBK ?’’ Sur 100, seuls 10 croient toujours en la capacité d’IBK mais pensent qu’il est mal entouré ; cela soutenu par la mauvaise volonté des partenaires du Mali. 30 se sont abstenus pour la simple raison, tellement déçus, qu’ils ne veulent pas du tout entendre le nom d’IBK. Les autres, ils voient en IBK un messie, au départ, qui a finalement dans ses œuvres trahi tout un peuple.
Ces hommes et femmes, ils viennent grossir le lot de ceux-là qui depuis les campagnes présidentielles avaient juré que si IBK venait à être élu président de la République du Mali, qu’il n’allait rien apporter de bien à ce pays. Au contraire, la situation allait davantage se détériorer. Car IBK n’est pas un homme capable de faire face à hauteur de souhait à la demande sociale ; IBK ne peut pas tenir tête à la menace des rebelles du nord ; IBK ne peut pas résister face à la pression de la communauté internationale. Et partant de ces trois constats, son bilan sera pire que celui de ses prédécesseurs. Les autres ont eu le dos au mur, il ne fera pas exception.
Sous son règne, quatre années passées à Koulouba, les faits sont durs à commenter. Les prévisions en termes d’échec annoncées depuis 2013 sont même dépassées. Le Mali a perdu la face. Sous IBK, l’on aura tout vu. Et d’humiliation en humiliation, les maliens au-dedans comme au dehors ont souvent honte de leur identité et pour redorer le blason, tout le monde, disons, la majorité n’a qu’une seule vocation : ‘’Tout sauf IBK en 2018.’’
Aujourd’hui, au regard du degré de consternation du peuple malien, IBK est conscient qu’il n’a plus d’aura. Il a perdu l’estime de tous les côtés. Les Maliens voient en lui un imposteur qui s’était déguisé en sauveur afin de mieux abattre sa cible ; les partenaires du Mali voient en lui un homme sans constance qui bouge au gré des circonstances et les rebelles conscients de son état d’âme très faible, veulent profiter de l’occasion pour tout avoir ; l’autonomie ou l’indépendance à défaut, ils réclament le statut politique de l’AZAWAD, toute chose qui les conduira un jour à l’idéal et IBK leur a donné la possibilité d’y accéder à travers son discours de clôture lors de la conférence d’entente nationale.
Ecœurant, révoltant, parfois donnant envie à faire de la désobéissance civile le quotidien, le régime IBK n’est comparable qu’à l’enfer terrestre.
Tous les moyens sont réunis pour sanctionner les tenants du pouvoir. Et le constat sur le terrain laisse croire, sans doute, que le changement s’imposera quel qu’en soit le prix à payer.
Boubacar Yalkoué
IBK même, s’il est un vrai patriote, n’osera pas se présenter en 2018. Si vraiment il veut le bonheur des maliens, il laissera la place à un autre.
wallai un veut un Obama a la malienne pour prendre la direction du Mali. Un jeune moins de 50 ans dynamique integre, tres intelligent avec un casier judiciere propre avec un tres bon programme de developpement economique et social fera l’ affaire des maliens .Wallai tout sauf ses memes racailles de politiciens tous corrompus. Nous sommes fatigues des ses sangsues on veut un SANG NEUF.
Vive ibk en 2018 tout celui qui n’est pas d’accord qu’il se divise en morceau .Mais dites vraiment ce qu vous voulez personne ne peut vous empêcher d’écrire des bêtises ce qui est sur 2018 c pour ibk ou c fini pour le mali que chacun se cherche, puisque ces gens de l’opposition que vous voyez sont tous des assoiffes de pouvoir si non ils peuvent quoi que ibk n’a fait.elire ces personnes nous mettra en retard chers maliens .Comme ibk lui sait deja la voie pour une sortie definitive de crise ,ceux qui savent comment ça marche n’elirons jamais personne que Ibk .
Eh allah maliens ,mais ce journaliste là vient d’ou meme .
Il ne sait mm pas ce qu’il ecrit,nous te croyons pas aujourd’hui moins demain va ailleurs avec tes ecritures ok.
Nous sommes derriere Ibk mm en 2050 ok.Et nous sommes satisfait de sa gestion puisque nous sommes patriote et conscient de l’etat ou il a truové le pays.Mais il faut etre croyant pour comprendre façon dont le pays est géré
bonsoir M le conard tu es bête comme ton père tu es bête comme le mot bête la manière dont tu es vilain ton coeur est aussi vilain que ça que tu veux ou non nous les maliennes et maliens patriotes convaincu vont élire IBK en 2018 dès le 1er tour s’il plait à dieu que dieu nous montre long vie tu n’es pas un patriote sincère convaincu si le mali n’avance pas ce n’est pas dans l’intérêt des patriotes convaincu et sincère nous nous sommes des maliennes et maliens optimiste pour un mali émergent avec le régime IBK grand merci papa IBK sans lui il sera difficile
comrades it is not a complicated condition unless our judgment becomes perverted. No matter how much power or riches a man or group of men possess where that man or men are capable but fail to consistently extend to women equal right that man or those men have low self-esteem plus often prove to be oppressive. That is a fact. Take as possible in depth look at men around you of power or/plus riches having withal to provide equal rights to women but do not do it. They all have low self-esteem plus tend to upstage their manliness by oppressing others. Very much sincere, Henry Price aka Obediah Buntu Il-Khan aka Kankan.
le peuple ne peut s’en prendre qu’a lui meme
quand un peuple n’est pas mur pour choisir en démocratie alors vaut mieux laisser tomber la démocratie car ce n’est pas le model qu’il faut aux africains
quand on vous dit de choisir avec la tête vous choisissez en regardant avec votre cœur
croyez moi lequel des politiciens aujourd’hui puisse faire l ‘affaire du mali?
les religieux eux même n’en reviennent pas car ils ont été dupé par le système démocratique
C’est aussi la naïveté qui a conduit beaucoup de Maliens à voter la Monarchie. Avec la malhonnêteté des Religieux qui, chaque fois encaissent et se taisent, et poussant les pauvres bougres dans les bras de leurs bienfaiteurs. Si tel est que les Maliens ont souffert du pouvoir I.B.K, 2018 leur offre une occasion de se tourner vers un autre candidat. I.B.K n’a pas déçu que son électorat, mêmes les partenaires étrangers sont estomaqués devant le désastre. Personne jusqu’à ce jour ne sait ce qui a poussé les Maliens à voter massivement pour cet crétin. A y regarder de plus près, ce sont les mêmes Ademistes qui composent et le pouvoir et l’opposition. La classe politique n’a pas changé. Seuls les formations politiques ont changé d’appellation. Il faudra du sang neuf aux prochaines élections pour dégager toute cette racaille.
le pouvoir IBK est réellement comparable à l’enfer terrestre.
La loi de la physique veut qu’une chute s’arrête au fond. On y reste ou on remonte mais au Mali la chute va au delà du fond parce qu’avec IBK on a creusé le fond. On avait atteint le fond avec le putsch et la racaille du CNDERRIÈRE et depuis 2013 on ne cesse de creuser…..
Ces soi-disant déçus de IBK n’ont qu’à d’abord nous dire ce qui les avait fait voir un un corrompu ivrogne le Messie du peuple Malien sinon ils doivent aller se faire voir ailleurs, IBK vaut mieux qu’eux. En 2013 sur les 29 candidats, IBK était celui qui avait exercé le plus de fonctions au sommet de l’État (donc pas un inconnu), qu’est-ce qui y avait dans son parcours pour que l’on suive bêtement des religieux malhonnêtes et vendus qui appelaient à voter pour lui ? Ces mêmes religieux qui s’étaient constitués soutiens de Sanogo, puis de Cheikh Modibo avant de se tourner vers IBK qui était devenu le poulain de la junte. ….
Les déçus peuvent attendre un an et voter encore IBK car les mêmes religieux prendront des fortes sommes pour renouveler leur appel au vote-suicide.
Quant à dire que le changement s’imposera à tout prix, on ne peut mieux dire car le prix à payer pour dégager IBK sera lourd en sang. Que l’on vote pour lui ou pas, il sera déclaré vainqueur mais lui et les siens risquent de laisser leurs peaux. 💡💡
N’oublions pas que c’est lui l’auteur des toutes premières fraudes massives de l’ère démocratique. Èlections qui furent annulées par la cour constitutionnelle en 1997, tout indiquait que l’ADEMA allait les remporter mais le Premier Ministre IBK ne pouvait s’empêcher d’organiser une fraude massive.
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