Deux mois, jour pour jour, le Mali vit un autre syndrome autre que les faits habituels liés à l’accord d’Alger, la mauvaise gouvernance… Le Président de la République comme si les difficultés qui l’envahissent ne lui suffisent plus a allumé un autre feu beaucoup plus dangereux que les précédents qui consument tout doucement la paille de la case, il y 4 ans. La loi fondamentale, l’âme de la République, c’est bien elle qu’IBK a décidé de modifier. Dans sa lancée, il est confronté à l’opposition d’une bonne partie du peuple qui trouve l’initiative présidentielle inopportune. Le Mali a d’autres priorités pour le moment. Ensemble, nous devons faire face à celles-ci et une fois la stabilité requise, ramener le débat sur la modification de la constitution. L’inquiétude soulevée quant à la violation de l’article 188, IBK et ses partisans ne veulent pas du tout entendre parler de cela. Ils s’agrippent comme une tenaille à leur dessein de violer la constitution de 1992. Au début, nombreux sont les Maliens qui soutenaient la thèse, IBK n’en est pour rien. Il est pris au piège par son entourage. Pas plus tard qu’avant-hier la Chaine nationale, ORTM, a diffusé l’interview d’IBK. Le Chef de l’Etat est bien lucide. Il est au courant de tout ce qui se passe dans son pays car il n’ a pas manqué de s’attaquer à la position du camp du NON et le mouvement qui a manifesté devant l’ambassade de France.
Les propos incendiaires d’IBK prouvent à suffisance qu’il est prêt à tout, même s’il faut marcher sur des cadres, pour atteindre son objectif. Cela est une preuve de plus qu’IBK se soucie peu des Maliens. Je l’ai plusieurs fois évoqué dans mes prises de position depuis 2013 et la vérité qui se manifeste depuis bien longtemps commence à se faire voir par le grand public à travers le mépris d’IBK envers son peuple suite à cette interview lamentable.
Cette révision constitutionnelle cache un autre agenda qu’IBK refuse de dire aux Maliens. Mais lequel ? On ne saurait le dire pour le moment. Ce qui est quand même sûr, ce projet ne défend pas l’intérêt du Mali.
Je l’ai dit et je ne cesserais de le répéter, IBK n’est pas et ne sera jamais la solution pour le Mali. Depuis son arrivée au pouvoir, suite à sa stratégie de se faire passer en victime politique et gagner la confiance du peuple, les choses vont de mal en pis. IBK n’a pu rien faire, même les acquis qu’il a trouvés en place il les détruits.
Aujourd’hui avec le forcing qui se prépare pour tenir le référendum, il faut s’attendre à un affrontement entre Maliens. Et au cas où nous arriverons à un tel niveau, IBK sera tenu seul responsable.
Les prémices sont là et il revient au peuple de s’assumer devant l’histoire. Si IBK refuse de retirer le projet de révision constitutionnelle, il faut lui retirer le pouvoir. Un ultimatum, après la désobéissance civile : Seules alternatives pour sauver le Mali.
Boubacar Yalkoué
“ON NE PEUT PAS CONTINUER DE TROMPER TOUT LE PEUPLE TOUT LE TEMPS” AVAIT DIT IBK EN 1994. RATTRAPAGE DONC!!!!
sangare tu as touché du doigt le mal qui est entrain de ronger le Mali. C’est à dire quand tu dis la réalité ou conteste une décision inappropriée d’une autorité on te taxe d’opposant. Et on ne cherche plus à comprendre ou se situe la vérité. Les Maliens aiment dire qu’il faut que la vérité jaillisse mais personne ne veut être contredis. En général, face à une autorité il y a peu de personnes qui disent la vérité.
Si IBK refuse de retirer son machin, boulevard pour une vraie révolution au Mali. Le peuple saisira cette occasion pour nettoyer le pays jusqu’au simple agent de police corrompu.
”Si IBK refuse de retirer le projet de revision constitution, il faut lui retirer le pouvoir”. Mr Yalcoue, un peu de raison. Seul le dialogue peut venir à bout de cette autre crise. On ne fait pas la guerre pour se débarrasser de la guerre. C’est vrai que plus que jamais nous avons peur pour l’avenir du Mali, c’est le moment où chacun de nous doit s’impliquer pour la paix. Mais là, vous rappelez les propos dignes des bagarreurs de rue au sommet de l’État comme : ” Nous ne montrons pas nos muscles sinon c’est nous qui avons le pouvoir”, ou ”Ils ne veulent pas voir IBK, mais ils vont le voir” ou même ” Il faut marcher sur nos cadavres pour toucher à un seul cheveu de IBK”. Vos propos ne sont pas constructifs, à mon avis. Un peu d’eau dans votre vin, c’est mieux.
Koe
Peut-être qu’un civilisé et sage comme vous pourrez nous dire comment dialoguer avec quelqu’un qui n’écoute pas, même quand il y a péril en la demeure !
Koe
C’est des gens comme vous qui ont permis à ATT de détruire ce pays.
Quand ATT a commencé à libérer les otages,ensuite dire que ces criminels sont ces amis,on est resté cloîtrer chez nous parce que ATT avait le mandat du peuple
On aurait mobilisé le peuple contre cet agissement d’ AMADOU TOUMANI TOURÉ ,le MALI serait sauvé,on aurait pas à parler aujourd’hui des agissements actuels d’Ibk.
Ibrahim BOUBACAR KEITA a trahi tous les engagements pris,il est entrain de diviser le pays par son référendum.
Tu continues à dire qu’ il faut rester sage.
La sagesse s’adresse au patriote.
Ibk est un apatride au service de la France.
1- IL FAUT UN ULTIMATUM Á Ibrahim Bőoh Kassa dit IBK.
Ibrahim Bőoh Kassa dit IBK NE VA PAS PRENDRE LE PEUPLE EN OTAGE, NOUS AVONS NOMBRE
D’AUTRES PROBLEMES Á RÉSOUDRE.
2- ” Seul le dialogue peut venir à bout de cette autre crise. ”
NOUS SOMMES DANS LE DIALOGUE, CET ULTIMATUM EN EST UN ÉLÉMENT FRANC.
QUE Ibrahim Bőoh Kassa dit IBK N’ ATTENDE PAS Á ETRE DÉLOGÉ DE FORCE, TOUTE PATIENCE A
UNE LIMITE.
AUCUN MALIEN, SUR TERRE, N’ A FORCÉ IBK Á SE PRÉSENTER AUX ÉLECTIONS EN 2013.
MEME APRES AVOIR GAGNÉ LE SCRUTIN, IL POUVAIT ENCORE SE RETIRER, SACHANT BIEN NE PAS POUVOIR SERVIR LA NATION.
EN CE TEMPS-LÁ NOUS ÉCRIVIONS :
” IBK DOIT, ET VA MOURRIR POUR LE MALI , SOIT EN HÉRO DE LA NATION OU SOIT EN TRAITRE Á CETTE NATION ”
HÉLAS , IBK A CHOISI LA DERNIERE OPTION ! MAIS, QUE Ibrahim Bőoh Kassa dit IBK SACHE QUE PERSONNE SOUS CES CIEUX NE POURRA LE SAUVER DE GRIFFES, OH COMBIEN MÉRITÉES , DU PEUPLE MALIEN.
PAUVRE Ibrahim Bőoh Kassa dit IBK, , TRAITRE GÉNÉTIQUEMENT, LA BALLE EST DANS TON CAMP .
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