Cela fait cinq ans que nous accordions une attention particulière aux propos et gestes d’IBK. Candidat aux présidentielles puis Président de la République, son parcours est riche d’enseignements à tirer. IBK est un président non flexible comme le réclame l’ordre normal des choses au gré des circonstances. Propos inappropriés, actions mal réfléchies aux conséquences fâcheuses…, les Maliens ne retiennent de lui que des choses négatives. Une malheureuse fin pour celui qui se rappelle de l’estime dont il bénéficiait.
IBK commence les bourdes lors des campagnes présidentielles en traitant ses prédécesseurs (Alpha et ATT), son adversaire (Soumaïla Cissé) responsables de la situation pénible que le peuple traverse. Renforcé suite à son élection, il fait la critique des deux anciens présidents son sport favori. Pis, il lance une poursuite judiciaire contre ATT pour haute trahison avant de le blanchir et s’agripper à sa cote de popularité pour motif : La réconciliation.
Le terme, nous avons tous intérêt à ce qu’il soit une réalité au Mali. Cela est possible si nous acceptions de se dire la vérité. L’exemple doit venir d’abord du président de la République. Cela manque dans ses habitudes. A chaque sortie, il dit se battre au nom du peuple. Mais de quel peuple s’agit-il ? La population est déçue ; son parti politique est le plus malheureux au monde pour la simple raison qu’il ne l’a jamais accordé de l’importance. Il est sorti mains vides de ce quinquennat; la CMP s’est effritée pour manque de considération. Des partis ont quitté le navire et d’autres sont sur le point ; l’opposition, IBK voit en elle une ennemie. Que c’est malheureux de voir un président se rabaisser aussi bas !
Quant aux groupes armés signataires de l’accord de paix, IBK grelotte devant eux. Pour preuve, la CMA est le maitre dans la résolution de la crise. Elle dicte ses lois en fonction de ses intérêts. Et voilà, IBK est sur le point de miser gros pour certains rebelles qu’il qualifie d’hommes aux paluches non ensanglantées de sang. Cette politique fâchera et qu’il ne soit pas surpris de la réaction des militaires détenus dans l’affaire dite bérets rouges.
Boubacar Yalkoué
Yalcoue est un aigri et il sera etonne de voir IBk pour un nouveau mandant.Petit dogon tu mordras la poussiere en 2018 ichalah
Un deuxième mandat pour IBK? L’effondrement du Mali est à portée de main en ce moment. Même si on offrait le 2 eme mandat à IBK, il n’oserait s’engager . Il est vraiment à ses limites. Il lui manque une chose chose à savoir le courage de dire qu’il est fini, demander aux maliens humblement d’élire un nouveau Président . Comme l’a dit le brave Gl Moussa Sinko, nos dirigeants sont vraiment fatigués.
Vous allez dire autre chose dans ce pays. Les mensonges et autres diffamations n’ont pas ternis l’image de ce cet grand homme d’Etat. Le slogan le Mali d’abord a tout son sens et c’est d’ailleurs dans son application que le président IBK s’est fait beaucoup d’ennemis. La gestion consensuelle est terminée et place au travail pour sortir le pays du gouffre dans lequel cette gestion consensuelle du pouvoir durant 20 ans l’a mis. Ce qui est certain c’est que le président IBK est là et cela jusqu’en 2023.
Sacré IBK. Il est fascinant ce président. Cela fait quatre ans qu’il est à la tête de ce pays. Et cela fait quatre ans que ces détracteurs veulent lui gâcher son pouvoir pour espérer monter à koulouba car 2018 il sera réélu sans problème. Ce qu’on a à leur dire c’est de prendre leur mal en patience car le président IBK est là pour encore 6 ans. Les jaloux quitteront ce pays. Parlez donc seulement.
On voit surtout ces jaloux que sont l’imposturoccidentale bien française (comme on les voit envie de revenir par la fenêtre)
IBK est loin d’être un grand homme. Il est un voleur , un brigand . Vous êtes un opportuniste, sinon un homme qui vit au Mali ne dira jamais qu’IBK est un grand homme. D’où tire t-il cette grandeur ? Dans le vol des biens de l’Etat . Dieu va vous maudir , vous irez dans l’enfer . Malheur aux opportunistes .
On voit très bien la manifestation de la haine dans ton écrit Avant d’être président IBK a été député et président de l’assemblée nationale du Mali. Il a été également ambassadeur et ministre des affaires étrangère de ce pays. Il a été premier ministre dans ce pays. S’il n’est pas un grand homme c’est que c’est le Mali qui est un piètre pays.
Vous allez dire autre chose dans ce pays. Les mensonges et autres diffamations n’ont pas ternis l’image de ce cet grand homme d’Etat. Le slogan le Mali d’abord a tout son sens et c’est d’ailleurs dans son application que le président IBK s’est fait beaucoup d’ennemis. La gestion consensuelle est terminée et place au travail pour sortir le pays du gouffre dans lequel cette gestion consensuelle du pouvoir durant 20 ans l’a mis. Ce qui est certain c’est que le président IBK est là et cela jusqu’en 2023.
Sacré IBK. Il est fascinant ce président. Cela fait quatre ans qu’il est à la tête de ce pays. Et cela fait quatre ans que ces détracteurs veulent lui gâcher son pouvoir pour espérer monter à koulouba car 2018 il sera réélu sans problème. Ce qu’on a à leur dire c’est de prendre leur mal en patience car le président IBK est là pour encore 6 ans. Les jaloux quitteront ce pays.
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