Il faut arrêter avec les injures, les faux débats, les polémiques insensées au nom de la conscience et des vertus républicaines. La guerre au Mali soutenue par la France et la Communauté internationale n’est dirigée ni contre la religion musulmane qui est, et restera une religion de paix, de tolérance, de pardon et de mesure, encore moins contre la communauté Arabo-touarègue qui, contribue dans sa grande majorité au développement socio-économique et au rayonnement culturel du Mali.
En revanche, aucune circonstance atténuante ne saurait être accordée aux hordes de criminels et à tous leurs complices quels qu’ils soient (rouges ou jaunes, noirs ou blancs). Ceux qui ont pris la lourde responsabilité devant Dieu et les hommes d’être acteurs ou complices de ce projet criminel rendront compte incha allah de leurs forfaits.
A ceux qui continuent de parler de négociations, à tous ceux-là, pour qui, rien de grave ne s’est passé au Mali, qui feignent d’oublier ou qui sont frappés d’amnésie que l’heure n’est ni à la négociation, ni au pardon mais simplement à la guerre. La guerre qui libère.
Voudrions-nous leur rappeler ici et maintenant, que des soldats maliens ont été lâchement égorgés à Aguelhoc, que des mains et des pieds ont été amputés, que les sœurs et les mères d’autrui ont été violées, que des familles entières ont été jetées sur la route du désespoir, que des infrastructures socio-économiques ont été détruites, que le patrimoine culturel de tout un peuple a été démoli et leurs lieux de cultes profanés.
Aussi, souhaiterions-nous faire remarquer à toutes les personnes éprises de paix, de justice et de liberté que la France, pays des droits de l’homme, n’est pas en guerre contre l’islam au Mali. Mais bien contre le terrorisme.
La plus belle illustration de cette thèse est, celle du Président du Haut Conseil islamique du Mali, El hadj Mahmoud Dicko qui est sorti de son silence au cours d’une conférence de presse ce mardi 21 janvier. Fort de son érudition et de sa maturité, il est parvenu, sans coup férir, à fixer sur leur sort, ceux qui attendaient de lui, une position hostile face à l’intervention française au Mali. Jamais et du grand jamais de cheviller avec ses hommes sans foi ni loi.
Faisant sauter le verrou du silence, le Président du HCIM a martelé que c’est la France qui a volé rapidement au secours d’un pays en détresse, qui a été abandonné à son triste sort par des pays musulmans. C’était toute la profession de foi à l’adresse de tous ceux qui jurent avec l’éthique républicaine.
Il faut mettre fin aux injures. Ceux qui insultent la France à cause de son intervention savent-ils que l’islam est la deuxième religion de la France et que les musulmans se comptent par millions ?
Enfin, le Mali saura faire preuve de reconnaissance à l’endroit de tous ses amis qui ont décidé d’être à ses côtés dans ses moments les plus durs de son histoire pour sauver son peuple. Particulièrement à l’endroit de Monsieur François Hollande MAIGA, pardon, Guindo, Traoré, Diarra, Diallo, le Président normal de la République française que les Maliens n’oublieront jamais pour son acte salutaire.
Idrissa I. MAIGA
le mali… nous évoluerons jamais jusqu’à la fin des temps, nous resterons esclaves de quelqu’un jusqu’à la fin des temps. Nous sommes destinés à l’échec.
Edito : une guerre contre l’islam qui n’est pas la croyance de nos ancetres,
qui nous nous rend esclave des pays arabes,
qui nous plonge dans l’ignorance absolue observée dans la plupart des pays arabes (arabie saudite, quatar, etc..),
qui bloque toute émmencipation sociale et économique en forcant tout esprit laisser les solutions des problemes les plus élémentaires en dieu,
qui cultive la paresse mentale et physique.
BACK TO THE ROOTS TO BE FREE!!
la france restera, le temps qu’il faut, 100 ans, si besoin est, le temps que les colons noirs apprennent que la gestion d’un pays repose sur des fondamentaux non sur la tri bue, la famille, ses amis, etc.
le mali est là parce qu’il n’a jamais été bien géré.
aucune guerre n’est gratuite, et la france doit rentrer dans son effort de guerre au centime, n’en déplaise au va-t-en nationalisme.
quel nationalisme, j’en doute s’il en reste, lorsque on est incapable de nous gouverner nous même, de disposer d’une armée pour nous défendre, d’avoir le minimum de bonne gestion. un pays naïf, le mali. allons-nous accepter le départ de la france de sitôt pour la voir revenir dans 2, 3 voir 10 ans pour tout reprendre. sanogo et sa bande sont toujours là et le risque de voir la mauvaise gestion du pouvoir public malien, lit de toutes les dérives, nous revenir. oui blaise la mauvaise gouvernance est à la base de tous les maux. pourquoi chaque travailleur refuse de se contenter de son salaire et avantages
Quand on a pas les moyens de la guerre, on ne la décrete pas. Le Mali a quemandé la guerre, en lieu et place de son armée, après que ses présidents tout ausi normaux quer FH, onty failli pendant 20 ans à assoir les bases politiques, militaires, sociales à même de nous éviter ce qui s’est passé. dans ces conditions, pourriez vous réfuser la négociation ? Même si Dieu (pardon)…la france la demandait ? Nous ne sommes plus à même de demander quoi que ce soit, dès lors que nous avons mis notre pays en faillite, usurpé l’avenir de nos enfants, compromis la retraite de nos agents, scellé le sort de nos femmes.
Que faisait notre armée, nos 60 généraux, nos centaines de colonels, pendant que les soldaient mourraient à Aguelhoc, que les petites filles se faisaient violer, que les voleurs – ils le restent – se faisaient emputer ? Ils nous écraseraient sous les pneus de leurs voitures rutillantes, sorties d’où tu sais, et aucune justice ne viendra à noter sécours.
LE PROBLEME EST BIEN LA.
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