Inculpés pour « crime d’atteinte aux biens publics, délits de favoritisme et fractionnements de marchés » dans le sulfureux dossier de l’APEJ, Issa Tiéman Diarra, Modibo Kadjoké et Mme Maïga Sina Damba, tous ex- DG de cette structure, rejettent les accusations.
Il semble que l’instruction du dossier avance à grand pas, même si au sein de l’opinion publique, l’on ne comprend pas le traitement de « faveur » accordé à Modibo Kadjoké qui est « sous contrôle judiciaire » tandis que les deux autres sont privés de liberté.
Seulement voilà : ils partagent les mêmes chefs d’inculpation et sont censés jouir des mêmes garanties. Le juge, dans son intime conviction, a préféré ce mode opératoire. Pour quelle raison ?
Mais le vrai problème dans le cadre de la lutte contre la corruption, c’est vraiment l’absence de communication, de transparence dans le traitement des différents dossiers. C’est vraiment l’injustice de la Justice qui étudie, examine et instruit les dossiers de façon complaisante. Personne ne connait la méthodologie de la justice en la matière. Sinon, comment comprendre qu’il y ait plus de 200 dossiers avant celui de l’APEJ, que le Pôle économique les oublie dans les tiroirs pour s’attaquer à des dossiers très récents. Autant l’actualité oblige que des dossiers frais ou de flagrants délits soient immédiatement instruits, autant les anciens ne devront pas être mis au compte des pertes et profits. Comment instruit-on donc les dossiers ? Par ordre d’enregistrement ? Par importance, selon que l’on soit gros poisson ou menu fretin ? Ou encore selon la volonté du pouvoir ? Que la Justice sorte de son silence au nom du droit à l’information pour communiquer parce que les plus hautes autorités répètent, à qui veut l’entendre, qu’elles ne torpillent pas le cours de la justice et qu’aucun magistrat ne sera entrepris pour une quelconque instruction.
La balle est dans le camp de la Justice qui doit donner sa part de vérité, en évitant la langue de bois. Sinon, tout laisse croire que la lutte contre la corruption ne profite qu’aux magistrats au détriment du peuple. Les rapports de contrôle constituent une véritable source d’enrichissement pour la Justice, encore une fois, au préjudice du peuple.
L’injustice, c’est bien quand certains citoyens sont sanctionnés par la Justice et d’autres pas du tout, alors qu’on leur reproche les mêmes délits et les mêmes crimes. Sous d’autres cieux, on appelle cela deux poids deux mesures. C’est de l’injustice pure et dure. Le vrai juge ne dort pas et sait tout. Son verdict ou son arrêt est impitoyable. Pensez-à lui, Dieu le Tout-puissant !
Pour crédibiliser la lutte contre la corruption, la Justice se doit de faire le point périodiquement à l’instar du Vérificateur Général. L’opinion a le droit de savoir quels dossiers sont classés sans suite et pour quelles raisons. Ceux bénéficiant de non lieu et autres qualificatifs juridiques permettant de les oublier pour du bon.
La Justice est vivement interpellée pour rendre publique sa méthodologie de travail concernant la lutte contre la corruption et même les autres dossiers, parce que souvent, il suffit de la mutation d’un juge pour que des dossiers disparaissent ou soient abandonnés pour des raisons peu convaincantes.
Chahana Takiou
Ce journaliste Chakana n’est pas bon. Il analyse comme l’homme de la rue. Ces argumentations n’ont aucune base. Il navigue à vue. Il est trop subjectif. Ces propos sont denués d’analyses profondes.
Exemple : lors d’un débat de dimanche, il a traité que le Gatia de provocateurs, des handicaps pour la paix et doit quitter Anefis. Lors du débat dernier quand on l’a demandé, il dit encore que c’est parce que le Gouvernement a été piégé que la CMA est revenu à Anefis. Ce type ne sait vraiment ce qu’il dit. Que Dieu le pardonne ! Il doit revoir sa copie car il fait parti des journalistes qui sont prêts à allumer le feu à notre patrie a cause de ses seuls intérêts.
Bien fait de soulevez la question, il faudra toujours commencer par un. Mais c’est notre devoir de suivre afin qu’une suite soit relevée à tous les dossiers.
“Mais le vrai problème dans le cadre de la lutte contre la corruption, c’est vraiment l’absence de communication, de transparence dans le traitement des différents dossiers. ”
Faux!
Pas chez nous!
Pas au Mali!
Au Mali, le VRAI PROBLEME (et le seul!) dans la lutte contre la corruption, c’est l’absence………de lutte contre la corruption justement!
Right on, en plein dedans nfp ,
Les yeux de ceux dans haut et ceux d’en bas se ferment sur la realité et la verité a chaque. Donc comment Nous allons nous en sortir.
ATT, le mafieux et racaille, a qui que lui il ne veut pas et ne pas humilier des chiens de familles 😆 , AOK lui il a tout simplement tous ces yeux, oreilles et gueule dessus. Bon maintenant avec ladji bourama woloni kabakoh alias IBK, lautre mafieux vampire et sa racaille 🙄 🙄 🙄 j’en ai aucune idée.
Comme le peuple malien lui même est sterile face a toutes ces choses alors…. 🙄 ❓ ❓ ❓ .
Pauvres Nous 😥 😥 😥 .
Chahana, un dossier a la justice peut être plus facile a gérer qu’un autre antérieur !. Il n’a pas fallu de bcp pour savoir ce que ces gens faisaient. Alors suivez le rythme de la justice…..
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