Edito : Liberté de presse, Entre droits…et devoirs !

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Le 03 mai rappelle la journée internationale de la liberté de la Presse. Dans un monde de plus en plus secoué par les  conflits armés et autres formes d’insécurité, les hommes et femmes continuent de payer le lourd tribut de ces tragédies.

Pris  pour cibles, ces journalistes informent le peuple au prix de leur vie. Où est passé notre confrère Birama Touré, disparu, sans laisser de trace, il y a plus d’un an ? Pour une presse libre, formée, soutenue, responsable et respectueuse, nous devons nous engager à faire mieux tous les jours, poser des actes concrets profitables  à la presse au lieu d’applaudir, sans examen approfondi, des accusations infondées contre notre pays. Toutefois, faut-il comprendre que ne devient pas journaliste qui le veut.

La liberté de presse se repose sur des droits et le respect des exigences, autrement dit des devoirs. Considérés comme 4ème pouvoir, la presse ne saurait être au-dessus de la loi. Comprendre cet équilibre, évoque la problématique de la valorisation de la corporation, notamment la Haute Autorité de la Communication qui exerce pleinement ses difficiles et délicates missions. La loi sur la dépénalisation des délits de presse, devra renforcer les capacités des médias dans le respect de l’éthique et de la la déontologie.

Traoré Henriette Samaké

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4 COMMENTAIRES

  1. comrades we should thank press existence plus encourage plus support press which report news which promote a better community by way of development plus governance. We thank press that focus at corruption plus eradication of criminal acts by all. We thank press which focus at women reclamation of their role in developing, educating, maintaining plus promoting a better Africa having children plus adults whose conduct is worthy of best world have to offer plus we best we are able to deliver. We should thank press for promoting transparent government, a justice system possessing equity plus a community which with love plus honor obligate its citizens to be best they are able to be. That is press all of conduct in this world desires. Very much sincere, Henry Price aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan.

  2. “Toutefois, faut-il comprendre que ne devient pas journaliste qui le veut.”

    Dans tous les pays “sérieux”, où qu’ils soient situés sur planète, il est vrai que “ne devient pas journaliste qui le veut”, et Dieu Merci!

    Malheureusement, on peut constater quotidiennement qu’encore aujourd’hui chez nous au contraire, ABSOLUMENT N’IMPORTE QUI peut se prétendre journaliste et publier N’IMPORTE QUOI!!!

    Pour ceux qui auraient des doutes, il leur suffit de lire les inepties, à la fois mensongères et truffées de fautes, régulièrement publiées sur Maliweb et ailleurs!!!

    Si nos médias comptent effectivement un Adam Thiam, un Adama Drame, un Boukary Daou, ou un Saouti Haidara pour ce qui est est de la brillance et du professionnalisme, ils comptent hélas UN NOMBRE INCALCULABLE de Chahana Takiou, de Bokary Dicko, de La Redaction, de CH Sylla etc etc etc pour ce qui est de la nullité!

    Dommage…

    • Tu as oublié Abdoulaye DIARRA le Pape des nuls. 😀😀😀😀😀😀😀😀😀

      • Salut Yugu!

        Non non non, je ne l’ai pas oublié!
        C’est juste que depuis un bon moment il n’apparaît plus sous son nom, à force sans doute d’avoir été autant moqué sur Maliweb!

        De toi à moi, je suspecte que La Redaction ne soit autre que ce bouffon!

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