Edito : le sursaut ?

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Après 3 ans de pouvoir qui aura vu les Maliens souffrir le martyr et à la veille de la 56e fête de l’indépendance, le président de la République, Ibrahim Boubacar Keita, a initié des rencontres avec l’ensemble des forces vives de la nation. A Koulouba, donc, on assiste depuis quelques jours à un ballet incessant d’hommes politiques (majorité, opposition), de leaders syndicaux etc. Les images de ces différentes rencontres, par l’entremise des communicants du palais, inondent la toile.

Des prémices des futures concertations nationales réclamées à cor et à cri par une frange importante de la société malienne dont  l’opposition? On l’espère bien et ce serait un espoir et un grand pas dans la bonne direction tant la situation du pays est chaotique. L’Etat malien, en effet, ne contrôle que le tiers de la région de Mopti et la moitié de la région de Ségou.

Kidal qui échappe depuis belle lurette au pouvoir central a encore renoué, le weekend dernier, avec la guerre sanglante et quasi-ininterrompue entre le Gatia, membre de la Plateforme, et la CMA, deux groupes armés signataires de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali.

Ledit accord, 16 mois après sa  signature, est dans une impasse. L’ensemble du pays est confronté aux attaques terroristes, aux conflits intercommunautaires et au grand banditisme. Pire, on assiste à un repli identitaire dû à l’absence de l’Etat dans certaines zones du pays et aux exactions commises contre des communautés par les Famas dans la lutte contre le terrorisme.

Le Parena, un parti d’opposition, dans son document- bilan des trois ans du pouvoir IBK, explique qu’il y a eu plus de morts au Mali du fait du conflit que pendant les 53 années précédentes, de 1960 à 2013. Selon le parti du bélier blanc, au moins 1311 civils, militaires maliens et étrangers ont perdu la vie dans notre pays depuis les débuts du mandat du président.

Cette gestion calamiteuse du pays a, d’ailleurs, poussé l’ADP Maliba, un membre de la coalition des partis qui défendent le pouvoir en place, à sortir du bois. Les cadres de ce parti reprochent les mêmes griefs formulés par l’opposition contre le pouvoir : trois ans de scandales, de tâtonnement, de manque de vision et de fuite en avant.

Alors que la fenêtre d’opportunités se ferme, nous croyons qu’il est encore temps d’influencer le cours des événements et  espérons que l’initiative présidentielle aboutisse à la voie qui permettra, à coup sûr, au Mali de remonter la pente: les concertations nationales.

Madiassa Kaba Diakité

Commentaires via Facebook :

83 COMMENTAIRES

  1. Bonjour,
    Frère Mossad, merci de votre contribution et du fait de reconnaître qu’on ne peut que me suivre dans mon schéma, que vous croyiez idyllique mais qui ne l’est pas.

    En effet, un appel pour la mise en œuvre diligente et franche de l’accord de paix n’est pas en soi idyllique mais est juste normal.

    Vous et certains internautes, vous dites que :

    1. l’application de l’accord de paix rencontre des difficultés au Mali car il a été conclu par les uns sans les autres, ce qui n’est pas vrai car l’accord de paix est issu des POURPARLERS INCLUSIFS INTER-MALIENS sous la supervision de la communauté internationale. Ces derniers se sont déroulés à travers des rounds à la suite desquels des recommandations des forces vives avaient été faites.

    J’étais, moi-même, Président du groupe Défense et Sécurité, qui a proposé des recommandations lors d’une des rencontres des forces vives (politiques, assemblée nationales, forces de défense et sécurité, société civile, religieux, …) organisé par le gouvernement.

    LES AUTRES PARTIES PRENANTES ONT FAIT DE MÈME.

    CERTAINES DE CES RECOMMANDATIONS ONT ÉTÉ PRISES EN COMPTE LORS DES ROUNDS SUIVANTS A ALGER.

    IL EST INDIQUÉ DANS L’ARTICLE 2 DE L’ACCORD DE PAIX QUE LES PARTIES PRENANTES S’ENGAGENT A METTRE EN ŒUVRE TOUTES SES DISPOSITIONS.

    Il faut, donc, que leur engagement soit réel et franc. D’où cet appel afin de diligenter la mise en œuvre de cet accord.

    2. j’occulte les forces invisibles or j’ai bien dit dans le texte de cet appel que des intérêts cachés ou des mains invisibles pourront empêcher l’accord de Bamako de démarrer et de se dérouler normalement. Dans ce cas, ils doivent être mis en évidence et les auteurs exhibés devant tous pour que cesse ce qui empêche que l’accord se déroule normalement.

    Si toutes les parties prenantes et la médiation s’engagent honnêtement, franchement et sans complaisance, pour une mise en œuvre et un suivi stricts de l’accord, ces intérêts cachés (ou ces mains invisibles) seront débusqués (es), ainsi que ceux qui sont derrière.

    C’est aux enquêteurs ou à la justice de mettre en évidence ces mains invisibles ou ces intérêts cachés. A NOUS, A VOUS D’Y CONTRIBUER.

    CHAQUE ACTEUR PEUT AVOIR L’ŒIL SUR LES AUTRES : LA CONFIANCE N’EXCLUT PAS LE CONTRÔLE.

    3. LES INTÉRÊTS ÉCONOMIQUES, GÉOSTRATÉGIQUES ET GÉOPOLITIQUES PEUVENT SUPPLANTER TOUT. En effet, ils peuvent faire partie de ces intérêts cachés ou mains invisibles dont je parlais au point précédent et dans le texte de l’appel.

    AVEC CES INTÉRÊTS CACHÉS ET CES MAINS INVISIBLES, ON POURRAIT FAIRE LE LIEN (avec le trafic de drogue et la possession d’armements sophistiqués et chers) APRÈS UNE SÉRIEUSE VÉRIFICATION POUR NE PAS ACCUSER POUR RIEN.

    4. VERS QUELLES POSTULATIONS SONT PORTÉES LES ACTEURS ?
    CELLES DES ACCUSATIONS MUTUELLES ET, DES FOIS, LA FUITE EN AVANT.

    Pour éviter cela, j’ai proposé dans cet appel : UNE MISE EN ŒUVRE DILIGENTE DE L’ACCORD POUR LA PAIX ET LA RÉCONCILIATION AU MALI ET UN ENGAGEMENT FRANC, HONNÊTE ET SANS COMPLAISANCE DES ACTEURS.

    Suite à la XI session du CSA, dans le communiqué, du 21 septembre 2016, de la médiation internationale, elle va dans ce sens.

    IL RESTE A SAVOIR SI LES INTÉRÊTS CACHÉS ET LES MAINS INVISIBLES SERONT DÉBUSQUÉS à travers les enquêtes qu’elle pourra diligentées et qui pourront aboutir à des sanctions individuelles ou collectives.

    Cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
    TEL 00223 95 58 48 97

  2. Moussa ag, vous regardez sur youtube ATT junior dans JELEKO DAN et Gaspi dans generation foutue.
    Yugo, vous irez sur youtube pour regarder Fraine Bana dans ABE’ GNEFO!!!
    CES MUSICIANS/comediens SONT 1000 FOIS MEILLEURS QUE LES FAUX POLITICIENS ANIME’S D’UN ESPRIT DE REVANCHE!!!!!!

  3. Nous avons encourage’ le General Sanogo a’ liberer Boubey, Tieble’ et bien d’autres qui etaient les hotes de l’hotel Kati! Nous l’avons egalement encourage’ a’ remettre le pouvoir a’ IBK!!! SOUMAILA CISSE’ A PU SE RENDRE EN FRANCE POUR SE SOIGNER GRACE AU GENERAL SANOGO!!! HORON YA KA GUELEN!!! JE SUIS TRES TETU SUR CERTAINS PLANS! Je n’ai de rancune contre personne mais je continuerai a’ evoquer le cas Sanogo partout ou’ l’occasion se presente jusqu’au jour ou’ il recouvre tous ses droits!!!
    ALLAH KA BE’ SARA A DINA ANI A GANIYA LA!!!!
    JE N’AIME ABSOLUMENT PAS L’ESPRIT DE REVANCHE!!!
    ceux qui ont egorge’ pres de 100 soldats maliens, ont la… principaute’ de Kidal , y font ce qu’ils veulent et sont recus a’ koulouba!
    ceux qui ont fait des milliers de morts silencieux par le canal des detournements massifs des biens de l’etat, reviennent en force et veulent nous faire croire qu’ils sont Allah!!!
    le General sanogo est victime de l’ethnocentrisme et du racisme!!! ON S’ACHARNE CONTRE SA PERSONNE PARCE QU’IL N’EST NI SONGHAI NI TARGUI NI ARABE!!!

  4. Bonjour,
    L’accord de Bamako est favorable à l’unité nationale car dès son article 1, l’Unité nationale EST RETENUE COMME UN DES PRINCIPES FONDAMENTAUX, de même, à travers la régionalisation, des représentants de l’état se trouvent dans toutes les collectivités territoriales (régions et communes) assurant le respect de l’intérêt général et le lien avec le niveau national.

    La régionalisation permettra aux ressortissants d’une même région (ou commune) de se partager la gouvernance de cette dernière. Ainsi, la garantie et l’obligation du respect de l’accord ainsi que la régionalisation permettront de résoudre le problème de Kidal et de permettre à chaque citoyen d’assumer ses responsabilités (gouvernance participative et citoyenneté comme vous l’avez rappelé).

    DE CE FAIT, TOUS LES CITOYENS D’UNE RÉGION OU D’UNE COMMUNE SONT ÉGAUX, de même que toutes les ethnies.

    Dorénavant si on utilise la méthode que je propose, entre autres :

    – chaque acteur (partis prenantes, partenaires, médiation, CSA, bureau du haut représentant du président de la république et CNCA) prendra ses responsabilités et s’engagera de façon franche, honnête et sans complaisance pour garantir le respect de l’accord.

    – chaque acteur aura l’œil sur les autres acteurs, la confiance n’exclut pas le contrôle.

    – chaque citoyen pourra intervenir dans la gouvernance de la région ou dans des projets et services mis à sa disposition par la région.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
    TEL 00223 95 58 48 97

  5. IBK est têtu. Il se croyait le nombril du Mali et ne voulait pas dialoguer avec les autres acteurs politiques du pays. Il a fini par croire un moment qu’il était le bon Dieu, tellement il était gonflé. Avec les échecs successifs, il a compris qu’il ne valait rien du tout et s’est résolu à s’ouvrir au dialogue. L’opposition ne demandait pas sa place, mais simplement des concertations sur les affaires de la Nation. Le vieux bourricot ne voulait rien comprendre. Maintenant qu’il s’est trouvé coincé, personne ne l’a obligé à dialoguer. Qui est fou? Le Mali ne s’est jamais porté aussi mal qu’avec ce crétin. Même la transition avait plus de crédibilité que ce cancre élu. Il a foutu en l’air le peu de tranquillité et de sécurité qu’on avait. L’insécurité s’est propagée avec une telle rapidité, que tous ont finit par comprendre qu’il faut prendre les armes pour se faire entendre. Et ça, c’est très grave. Tout ça, à cause de l’entêtement de ce monsieur qui ne composait avec personne. Tous ceux avec qui il échangeait, étaient ses obligés, ses larbins et des bénni-oui-oui qui tenaient plus à leurs places plus qu’aux intérêts du Mali.

  6. 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁
    Non seulement le vieux est malhonnête … il est incapable et incompétent … !!!!!! 🙁 🙁 🙁 🙁

    C’est cela que le peuple malien n’a pas compris … et accepté …:-( 🙁 🙁 🙁

    Moussa Ag,… ZON BRIN EST UN MEDIOCRE … ET DE LA PIRE ESPÈCE … CAR IL NE SAIT PAS LUI MÊME QU’IL EST MEDIOCRE …. 🙁 🙁 🙁

    En tout cas apprêtez vous pour 10 …sinon 15 ans de médiocrité … parceque BILISSI KARIM aussi aura son tour et lui il est plus mediocre que son père … 🙁 🙁 🙁 🙁

  7. Comrades as you have acknowledged Mali have paid a most terrible price in the loss of lives over the past three years. However, the loss is due to decades of neglect. If we do not make the necessary security corrections while we develop Mali the losses will be multiplied. The former government in Mali was aloof with power, riches plus the forced obedience of unarmed plus oppressed people. IBK is guilty of none of the inhumane or corrupt actions of the parties who controlled the government during the period of 1960-2013 however, as president IBK took on the duty of to immediately eliminate improprieties lingering from the past while not allowing corruption or injustice to find place in his government. The duties were to be performed under a condition of no excuses success only obligation. Thus despite possessing glimmers of hope his first three years the period should be characterized at best as mediocre with good reasons to expect the next two years to be much better at the least. Let us not make excuses for IBK for he chose the job duly aware it had many difficulties but all difficulties having immediate resolution if his government timely applied the correct solution. In short did IBK make enough of the right choices to have us conclude he represented the Malian people best interest? I am not referring to the politicians or his relatives he bought with the riches of Mali I am referring to the common Malian. Did he give them due cause to believe upgrade in their lifestyle is near plus the upgrade will be maintained? His family on numerous level have become filthy rich to point they are unable to hide it. They have no cause for further corruption except excessive greed. In addition, no cocaine user should be leader of African country especially Mali. It is a recipe for disaster to have drug addicts as leaders. Keep it real. Let us do the right thing now. Very sincere, Henry Author Price Jr. aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan.

  8. Rencontrer les ennemis politiques qui ne l’aiment pas et qui ne l’aimeront jamais et ne pas rencontrer ceux qui lui ont donne’ le pouvoir?????????????????
    QUE PENSEZ-VOUS????????
    EST-CE QUE LE PRESIDENT PENSE QUE LES ENNEMIS POLITIQUES LE RESPECTERONT????? IL SE TROMPE LOURDEMENT!!!!
    TANT QU’IBK NE RENCONTRE PAS LE GENERAL SANOGO ET LES MEMBRES DE LA JUNTE, PERSONNE NE LE PRENDRA AU SERIEUX!!!!! LES RECONCILIATIONS ET LES CONCERTATIONS NE SERONT JAMAIS SERIEUSES SANS SANOGO ET LA JUNTE!!!!
    IBK FERAIT MIEUX DE S’ELOIGNER L’ESPRIT DE REVANCHE QUI ANIME CERTAINS DE SES PROCHES!!!

  9. Sur cette histoire de concertations nationales exigées par les uns et les autres comme si c’est cela qui va permettre de ramener la paix dans ce pays; ce que je pense est que ces derniers se mettent en tête qu’un président élu pour répondre aux attentes d’un peuple ne peut pas travailler contre ce peuple. Cette sécurisation du pays dont vous parlez passe par la mise en application des accords pour la paix. La seule option c’est de sensibiliser les populations à accepter cet accord sur lequel beaucoup spécule mais n’en connaisse pas le contenu et d’accompagner les autorités dans la mise en application. La situation politique et autres que certains juges chaotique même si ce n’est vraiment pas le chaos ne peut être amélioré que par la critique positive.
    C’est en cela que le pays gagnera sinon votre tohubohu n’a absolument rien de fondé.

  10. Si nous reconnaissons ” qu’à chaque fois que les Maliens se sont retrouvés; le succès à été total”; qu’est ce qui nous empêchent bien de se retrouver. Le président IBK a maintes fois appelé à mettre le Mali au dessus des considérations politiciennes mais combien ont eu le courage de le faire.
    On ne peut pas prétendre aimer son pays et ne pas entreprendre des actions qui peuvent le sortir de l’impasse?
    Ce n’est pas une question d’IBK, d’ATT mais une question de Mali. Le président IBK lors de son investiture à bien dit qu’il était de passage et que le Mali restera, je pense que c’est une parole forte pour nous dire qu’est l’essentiel c’est le Mali et c’est ensemble que nous ferons du Mali une terre où il fait bon vivre.

  11. Ce que je pense est que le président IBK n’a jamais abandonné l’honneur des Maliens pour quoi ou qui que ce soit mais je voudrais bien savoir si ce sont les concertations nationales qui feront venir les investisseurs au Mali; si ce sont les concertations nationales qui montreront comment armer nos forces et les rendre compétitive sur le terrain; si ce sont les concertations nationales qui diront comment construire des infrastructures de bases dans notre pays, comment améliorer le pouvoir d’achats des populations???
    C’est de ça qu’il s’agit et c’est ce qui est la priorité à laquelle le gouvernement s’attelle; passons à autre chose!

  12. Cette action du président de la république a tous son sens dans la mesure où le Mali a besoin de l’apport de tout un chacun afin de toujours continuer d’aller de l’avant.
    C’est un geste d’humilité de la part du président IBK. Cette inclusion dont il fait la promotion se traduit à travers les personnes qui travaillent avec lui qui n’ont forcement pas le même bord politique que lui. Des personnes qui ont travaillé avec presque tous les pouvoirs qui se sont succédé à la tête de ce pays. Le Mali gagne avec tous ces fils.

  13. Le président IBK a toujours montré qu’il est un démocrate et un homme de paix. Ces actions d’ouverture aux autres depuis sa prise de fonction et aussi les actions dans le sens de plus de démocratie en témoignent.
    Cependant, des personnes veulent que le président IBK agisse comme si nous sommes en situation de transition politique ou de partage de pouvoir. Bien sûr que non. Nous avons placé notre confiance au président IBK et il gère ce pays tant bien que mal.
    Laissons-le donc aller au bout de ces actions.

  14. C’est justement parce que les accords pour la paix recommandent la tenue des concertations nationales qu’on ne doit pas prendre cette question pour acculer le président IBK. On ne peut pas tenir des concertations nationales quand le pays n’est pas réunifié. On ne peut pas tenir des concertations nationales quand le dialogue n’est pas garanti d’être franc parce que les uns et les autres craignent pour leur sécurité.
    Il y a des conditions qui doivent être remplis pour assurer à ces concertations toutes leur valeurs.

  15. Vue la situation du pays ce n’est pas tout facile de gérer un pays en plein crise comme le mali c’est les détracteurs de ce pays qui voie le mal partout dans la gestion du pays comme si le président IBK a hérité d’un pays qui était stable, tout le savait comment était le mali avant arrivée d’IBK au pouvoir.

  16. Au lieu de passée tout le temps a critiquée le président dans la gestion du pays il faut plutôt lui soutenir et apporté des contributions pour le développement du pays sinon les critiques ne va rien apporté comme changement.

  17. Le président IBK est venu trouvé que ces précédents ont mis le pays a genoux lui il est là pour résoudre le problème alors ce n’est pas du jour au lendemain que le président va résoudre cette crise qui date depuis l’indépendance de notre pays.

  18. Si on doit travailler avec tout ce que les gens disent ce pays n’évoluera jamais, il faut laisser parler les gens de tout ce qu’ils veulent tout en essayant de travailler, de suivre son programme comme il le faut.
    Car quand les résultats seront là ceux qui seront les premiers encore à te féliciter.

  19. La gestion d’un pays comme le nôtre qui vient une crise, ne se fait pas la hâte comme certains le pensent. Il faut du temps pour mettre des bases solide en place afin de mieux évoluer sans pourtant régresser encore.

  20. Malgré tout cela les détracteurs du régime sont entrain de crier sur tous les toits soit disant que gouvernement en place ne fous rien cela nous nous surprend guère parce qu’ils n’aiment pas que les choses évolutions dans ce pays.

  21. Il faut reconnaitre qu’il y a eu des améliorations dans les conditions des vies des maliens. Seulement certaines personnes refusent de les admettre il faut mieux le dire sinon les grandes actions de président IBK ne sont plus à rechercher.

  22. Nous ne pourrons jamais dire l’effort que le président de la république a fourni pendant ces trois années de pouvoirs même si tout n’est pas parfait à nos jours de mais nous ne pouvons pas dire que ces grandes actions sont invisibles.

  23. Harcèlement sexuel, déguerpissement des agents des bureaux pour les transformer en magasin, les mutations insensées sous prétexte qu’il dispose du pouvoir discrétionnaire, voilà M. le journaliste le comportement du Directeur Régional du Commerce et de la Concurrence du district de Bamako (DRCC). Les femmes mariées sont en longueur de journée harcelées sexuellement par le Directeur dans son bureau et elles sont prêtes à témoigner, donc M. le journaliste vous pouvez vérifier l’information et chercher à rencontrer ces femmes victimes et très en colères pour témoignage. Affaire à suivre

  24. Les détracteurs du président sont pressés de faire le bilan de son quinquennat même qu’ils sachent que le bilan du président de la république ne pas négatif et ne saura être négatif à la fin de ce premier mandat. Car nous voyons déjà les changements qui à déjà porté pendant ces trois ans de pouvoir.

  25. Vu la situation dans laquelle se trouvait notre pays, le Mali avait besoin d’un président comme Ibrahim Boubacar Keita pour mettre les choses sur place même si cela ne semblable pas être aussi que nous l’imaginons, certes nous verrons ces résultats dans l’avenir.

  26. Qui va lentement, va surement c’est la gamme de notre président de la république et de son gouvernement dans leur gestion. L’importance c’est d’aboutir à des résultats convaincants qui est source de changement, de développement, de progrès.

  27. Nous avons élus le président IBK avec un pourcentage de 77% lors de l’élection présidentielle de 2013.Parce que nous avions une entière confiance à ses capacités de redresser ce pays. Comme nous le souhaitons mais il faut du temps pour la réalisation de certaines choses.

  28. Cela ne surprend pas les gens qui connaissent le président IBK,seulement ce sont ces détracteurs qui sont entrain de faire pour camoufler ces progrès dans beaucoup de secteur.Il faut que ces gens comprennent que toute chose a un temps.Le moment venu cette concertation aura lieu comme prévu dans l’accord de paix.

  29. Pour un avenir meilleur, on doit tous se battre pour construire notre pays car une personne quelques soit sa puissance ne peut construire un pays. IBK SEUL NE PEUT PAS CONSTRUIRE LE MALI !

  30. IBK a hérité d’un mali complètement détruit sur tous les plans et les changements qu’il a apportés sont invisibles pour vous les opposants et vous n’allez jamais les voir. Tout ce que vous savez faire c’est de créer le désordre et faire de la manipulation.

    • 😀😀😀😀😀😀😀😀😀 Les progrès sont visibles par tous sauf par les Pintades de Koulouba 🦃🦃🦃🦃 sinon elles allaient nous les montrer.

    • Pendant qu’on détruisait ce pays, où était-il ? Six ans Premier ministre et Président du Parti Adéma, cinq ans Président de l’Assemblée Nationale, ne se reproche t-il rien dans la gestion de ce pays ? Bravo !
      Je reconnais aussi qu’il a vraiment apporté beaucoup de changements CAR le fossé entre les riches et les pauvres s’est agrandi, la corruption se fait à ciel ouvert et à grande échelle, le favoritisme , le clientélisme, l’impunité sont devenus le mode de gouvernement favori de son régime. Comme promis, il n’a jamais accepté d’être trimballé, mais à quand même signé aussi un accord (qu’il a dénoncé sous son prédécesseur) en acceptant de négocier avec des rebelles et Kidal est revenu dans le giron du Mali. Qui dit mieux !

  31. Bonsoir,
    Merci à tous et à toutes pour vos contributions pour une sortie durable de la crise au Mali.

    Nous sommes dans une insécurité totale et tout progresse lentement du fait de la non application de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali.

    Une minorité ne doit pas prendre tout un peuple en otage.

    Comme certains le disent, nous avons des solutions idoines de sortie de crise, elles sont refusées ou ignorées par tous et toutes.

    En effet, j’ai fait des propositions pour résoudre le problème de Kidal ET pour la garantie du respect de l’accord et de l’engagement des acteurs pour la mise en œuvre et le suivi de l’accord de Bamako, pourquoi les acteurs ne les testent pas ?

    Ceux qui supportent l’accord de Bamako et ceux qui ne le supportent pas devront prendre de la hauteur en mettant en avant le Mali et en se rapprochant sur la base des intérêts des Maliens et de leur bien-être.

    Des intérêts cachés ou des mains invisibles pourront empêcher l’accord de Bamako de démarrer et de se dérouler normalement. Dans ce cas, ils doivent être mis en évidence et les auteurs exhibés devant tous pour que cesse ce qui empêche que l’accord se déroule normalement.

    Si toutes les parties prenantes et la médiation s’engagent honnêtement, franchement et sans complaisance, pour une mise en œuvre et un suivi stricts de l’accord, ces intérêts cachés (ou ces mains invisibles) seront débusqués (es), ainsi que ceux qui sont derrière.

    Nous devons urgemment mettre en place les autorités intérimaires, le DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion), le MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination) via les patrouilles mixtes et, graduellement, les forces de défense et sécurité Maliennes reconstituées et lancer la conférence d’entente nationale prévue dans l’accord au lieu des concertations nationales à cause de la complexité et de l’issue incertaine, à court terme, de ces dernières.

    ENGAGEONS-NOUS (tous les acteurs), honnêtement, franchement et sans complaisance, acceptons le partage de responsabilités (en particulier à Kidal) ET METTONS, TOUS/TOUTES, RAPIDEMENT, EN ŒUVRE, indépendamment des bords politiques, L’ACCORD DE BAMAKO, pour la paix et la réconciliation au Mali, pour l’intérêt général, pour le bonheur de TOUS/TOUTES, pour résoudre définitivement le problème de Kidal et pour éviter l’embrasement généralisé (sur lequel j’ai alerté les acteurs depuis plus d’un an).

    Pour ce faire, je lance un appel à tous les acteurs (parties prenantes Maliennes, la médiation internationale (MINUSMA/ONU, UA,UE, CEDEAO, …) et les partenaires (France/Barkhane, les États Unis, l’OIF, les PTF, …).

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
    E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
    TEL 00223 95 58 48 97

    • ADP/Maliba a quitté la mouvance en disant officiellement que c’est la faute de la mauvaise gouvernance qu’ils ont quitté la mouvance alors que officieusement il voulait une place dans le nouveau gouvernement, le président lui a dit que le pouvoir ne sera pas un partage de gâteau.

  32. Bonjour,
    Une méthodologie inclusive pour la mise en œuvre de l’accord de Bamako doit être utilisée.

    Naturellement, tout le processus de mise en œuvre doit se passer dans toutes les régions du Mali et doit être inclusif c’est-à-dire INTÉGRER dans chaque région, les représentants de TOUTES les communautés de la région.

    Comme je l’avais déjà proposé (voir ma lettre ouverte en ligne, publiée le 21 JUIN 2016 sur Maliweb, sur s’entendre sur les autorités intérimaires, le DDR et plus pour la mise en œuvre et le suivi stricts de l’accord de Bamako), afin que la mise en œuvre de l’accord soit inclusive et profite à tous les Maliens, il est nécessaire de choisir une méthodologie inclusive consensuelle et d’échanger sur cette dernière et sur la mise en œuvre de l’accord à travers un dialogue intra et intercommunautaire.

    Devant la complexité des concertations nationales proposées par l’opposition, la conférence d’entente nationale, prévue dans l’accord de Bamako pourrait servir, entre autres, pour échanger sur ces éléments. Elle pourrait aussi avoir des ramifications régionales et communales.

    Processus inclusif de mise en œuvre

    Des ramifications régionales et communales du processus inclusif de mise en œuvre de l’accord doivent être créées.

    Vu que l’accord de Bamako doit être mis en œuvre aux niveaux national, régional et communal, la parallélisation doit être utilisée.

    Une organisation stricte dans chaque région doit être mise en œuvre avec des synchronisations régulières avec les autres niveaux.

    Pour les Maliens de la diaspora, des antennes pourront être créées dans des pays judicieusement choisis.

    Tous les Maliens doivent s’impliquer et participer à ce dialogue et à cette mise en œuvre

    Compte-tenu du problème de représentativité et d’inclusivité qui se posent sérieusement pour la composition des membres des autorités intérimaires aux niveaux régional et communal, il convient lors de la future conférence d’entente nationale, prévue dans l’accord, de désigner quelques représentants (exemple, deux pour une région et un pour une commune) pour compléter les autorités intérimaires de chaque collectivité territoriale du Mali.

    Pour améliorer la représentativité et l’inclusivité, cette conférence d’entente nationale doit avoir des ramifications dans TOUTES les régions du Mali.

    Il faut aussi penser à la représentation des Maliens de la diaspora.

    Lors de cette conférence d’entente nationale des représentants des forces vives (partis politiques, société civile, députés, …), du gouvernement, des collectivités territoriales, des communautés de base seront choisis pour intégrer les autorités intérimaires des collectivités territoriales.

    Ainsi, les autorités intérimaires mettront tous les Maliens d’accord, indépendamment des bords politiques, et renforceront l’inclusivité en intégrant des représentants, choisis par la conférence d’entente nationale, de la société civile, des anciens élus, de toutes les régions du Mali et ceux des mouvements armés.

    S’unir autour de la mise en œuvre et du suivi de l’accord de Bamako

    Comme le disent, certains internautes et les Maliens qui supportent l’accord de Bamako, nous sommes TOUS/TOUTES condamnés à mettre en œuvre l’accord de Bamako pour le bien-être des TOUS les Maliens.

    Engageons-nous (tous les acteurs), franchement, honnêtement et sans complaisance.

    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
    Mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
    TEL (223) 95 58 48 97

    • Annasser tu dois bien connaitre les ifoghas. Les accords d’Alger ne signifient rien à leurs yeux tant qu’ils ont le soutien de la France. Tes messages devront s’adresser à la France qui est le principal problème du Mali. Quant aux gens de la CMA ils ne connaissent que le rapport de force. Comment peut-on vivre en paix avec des gens pour qui tous ceux qui n’appartiennent pas à leur communauté sont des esclaves. Pour moi la paix doit passer une vraie citoyenneté des Kidalois en mettant l’intérêt de la région et du Mali au-dessus des intérêts de leurs ethnies. Il faut qu’ils soient retiré aux ifoghas les privilèges qui leurs ont été accordés au détriment de la majorité de la population. Ces gens de la CMA ont un mépris de la vie humaines ils n’ont aucun souci pour les populations qu’ils affament par leur trouble.
      Quant à l’ONU elle doit faire preuve de neutralité dans le traitement de dossier. Je crois ferment une maitrise total et parfaite de Kidal par le GATIA pourrait mettre fin à l’arrogance de la CMA. Les notables ifogas sont en partie responsable du sous-développement de Kidal. Ces gens n’ont aucun sens de l’intérêt commun. En fait cette situation tant qu’elle perdure leur permet d’assujettir les autres. Le seul point positif de la crise au Mali est l’avènement d’une nouvelle ère, celle qui voit le pouvoir Ifoghas s’effriter au profit de la justice. Dieu est bon et juste et il est toujours du côté de l’opprimé. C’est pourquoi malgré le complot de la France le Mali et Kidal sortiront grandi de cette crise. Honte aux dirigeants français et à ceux de la CMA. Les victoires successive du GATIA est une malédiction divine sur la CMA et ses dirigeants. Il vont payer pour les victimes des vols des viols et des déportations ( de Kidal à Gao).

      • Bonjour,
        Merci Gatam de votre message.

        L’accord de Bamako est favorable à l’unité nationale car dès son article 1, l’Unité nationale EST RETENUE COMME UN DES PRINCIPES FONDAMENTAUX, de même, à travers la régionalisation, des représentants de l’état se trouvent dans toutes les collectivités territoriales (régions et communes) assurant le respect de l’intérêt général et le lien avec le niveau national.

        La régionalisation permettra aux ressortissants d’une même région (ou commune) de se partager la gouvernance de cette dernière. Ainsi, la garantie et l’obligation du respect de l’accord ainsi que la régionalisation permettront de résoudre le problème de Kidal et de permettre à chaque citoyen d’assumer ses responsabilités (gouvernance participative et citoyenneté comme vous l’avez rappelé).

        DE CE FAIT, TOUS LES CITOYENS D’UNE RÉGION OU D’UNE COMMUNE SONT ÉGAUX, de même que toutes les ethnies.

        Dorénavant si on utilise la méthode que je propose, entre autres :

        – chaque acteur (partis prenantes, partenaires, médiation, CSA, bureau du haut représentant du président de la république et CNCA) prendra sa responsabilité et s’engagera de façon franche, honnête et sans complaisance pour garantir le respect de l’accord.

        – chaque acteur aura l’œil sur les autres acteurs, la confiance n’exclut pas le contrôle.

        – chaque citoyen pourra intervenir dans la gouvernance de la région ou dans des projets et services mis à sa disposition par la région.

        Bien cordialement
        Dr ANASSER AG RHISSA
        Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
        TEL 00223 95 58 48 97

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