En embuscade depuis fort longtemps, l’opposition malienne tente de récupérer les actions de “Non, Antè A Bana”. Des actions machiavéliques sont en projet.
Depuis l’avènement de la démocratie, l’opposition malienne n’a jamais pu séduire le peuple. Lorsqu’elle est arrivée souvent à faire sortir la foule, elle n’a jamais réussi à avoir le peuple avec elle.
Profitant des activités du mouvement de “Non, Antè A Bana”, les opposants au régime d’IBK tentent de semer le trouble et conduire le pays à une autre “révolution” ou insurrection populaire. Cela se comprend aisément, car elle n’a aucune chance aux élections générales de 2018 quoi que la grogne sociale existe et presse le régime.
Ainsi, à travers les actions de la société civile “Non, Antè A Bana” qui, du reste, s’essouffle, elle voudrait contraindre le gouvernement à ne pas organiser le référendum d’ici la date butoir de fin 2018, pour des raisons d’insécurité à travers le pays. De ce point de vue, ils avanceront le même argument pour empêcher les différentes élections de 2018. Des échéances qu’ils savent déjà perdues parce que n’ayant aucun projet pour le peuple.
Le peuple n’est pas dupe. C’est pourquoi, le mouvement “Non, Antè A Bana” s’emploie à extirper l’opposition dans son “combat” contre le oui au référendum.
En conséquence, ils brandiront l’hypothèse d’une unième transition pour un éternel recommencement. Les plus radicaux souhaitent renversement du régime pour s’emparer du pouvoir. Chimère ! Le fait même de caresser un tel projet est une aberration, une absurdité énorme.
Cette incohérence ne sert pas le Mali et les Maliens qui ont tant souffert de la crise depuis 2012. L’intelligence voudrait que tous les Maliens s’activent avec perspicacité et clairvoyance pour sortir le pays dans ce labyrinthe hanté par la rébellion.
Hélas ! L’opposition est trop pressée de prendre le pouvoir pour jouir du labeur du peuple. Le plan est décrypté. Ressaisissez-vous !
Source : Providentiel
Cher journaleux, personne n’est dupe. N’essayes pas de mettre dos à dos les associations et les partis politiques de l’opposition qui sont en phase pour nous débarrasser de ce projet de modification de notre constitution. Saches que l’union fait la force. Au lieu de jouer avec les mots, demandes à IBK et alliés d’être honnêtes avec le peuple malien et surtout de ne pas nous trahir. Rappelles leur que l’accord dont ils parlent tant pour justifier la révision constitutionnelle n’a jamais bénéficié de l’approbation de la majorité des maliens. Dis leur d’arrêter de mentir au peuple. A bon entendeur salut.
il faut que la jeunesse Malienne s’organise et qu ‘elle s’ache que le Mali de demain c est bien elle (les jeunes) et que si la jeunesse ne s’implique pas dans les décisions politiques du moments les inconscients leurs léguera un pays (un Mali ) invivable demain sauve qui peut.
Dans tous les pays du monde l’ opposition profite des incohérences du pouvoir.
C’est au pouvoir de se ressaisir pour empêcher l’ opposition de réussir.
Si une révolution arrive à faire partir le régime avant l’ échéance de son mandat,c’est le peuple qui s’exprime à travers une opposition démocratique.
Les révolutions sont le fruit d’une insuffisance démocratique de la Part du pouvoir en place.
Le régime d’Ibk n’est il pas entrain de verrouiller le processus démocratique par des prises de décision autoritaires engageant l’avenir des millions de maliens?
Des actions posées ne tenant pas compte de l’ avis de la grande majorité des maliens jalonnent le mandat finissant d’Ibk.
L’ ACCORD d’Alger qui tend à transformer la structure administrative et politique de la nation a été signé sans tenir compte des inquiétudes d’une grande majorité de la population.
Une constitution concoctée en catimini est d’être passée en force sans tenir compte aussi des inquiétudes légitimes d’une grande majorité de la population.
Les représentants du pouvoir disent avoir écouté tout le monde.
Écouter veut il dire prendre en compte la préoccupation d’une grande majorité de la population?
Pourquoi une majorité de la corporation sociale se trouve dans la structure dirigée par Mme SY KADIATOU SOW?
L’ opposition profite naturellement d’une situation créée par le pouvoir.
C’est dans son ADN d’accéder au pouvoir soit par voie électorale,soit par la voix révolutionnaire.
La révolution aussi est une forme de démocratie puisque une minorité ne fait pas la révolution.
Elle est l’émanation de la frustration d’une grande majorité de la population.
L’élection sous sa forme actuelle est antidémocratique puisque les procédures d’élection sont biaisées.
Des voies qui sont annulées par une simple décision d’un haut fonctionnaire à la solde du pouvoir .
Une court constitutionnelle chargée de valider les élections déjà discréditée.
L’ attitude d’Ibk nourrit la conviction d’une grande majorité de la population qu’ il ne peut quitter le pouvoir qu’ à travers une révolution.
Une élection est une formalité pour légitimer son pouvoir comme dans les pays despotiques .
Ils auront tord de se presser pour ce fauteuil.Ce qui est sûr et certain, les “An Tè Abana” est composé de jeunes de la “GENERATION CONSCIENTE” qui s’en fou des polititiens démagogues , égoïstes et égocentriques sans amour pour le pays.
hé oui ,la fin du carrière politique s’approche ils mènent pour la plupart leur dernier combat .
ce qui est sur le glas de la retraite politique à sonner .
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