Edito : Ces faits qui démontrent que IBK est loin d’être l’homme de la situation en 2018

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Elu président de la République du Mali, le Kankélétigui Ibrahim Boubacar Kéïta par sa gestion chaotiquement chaotique du pays, a été une grande déception ; du coup sa cote de popularité a baissé. Son mandat arrive à terme au mois de septembre 2018. Les nouvelles élections présidentielles sont prévues pour le mois de juillet 2018. Dès maintenant, la précampagne a débuté et les candidats potentiels sont en train d’affûter leurs armes.

Certains partis sont en train de se préparer mais d’autres partis, comme l’Adema-Pasj, sont au bord de l’implosion faute de consensus sur la ligne à suivre pour le choix d’un candidat interne au parti ou le soutien au Président sortant. Quant au président IBK, après quatre années de mutisme et de réclusion, il est en train de devenir audible et très actif sur le terrain. De grandes manœuvres ont d’ores et déjà commencé pour sa réélection.  Le parti présidentiel- RPM- a déjà peaufiné une nouvelle stratégie de campagne pour le renouvellement de son mandat.  Mais la tâche ne sera pas facile par sa propre faute car le Kankélétigui est lui-même devenu Caméléon. Le tapis rouge que le peuple malien lui a déroulé en 2013, il n’a pas su bien gérer cet acquis pour se faire une nouvelle santé en 2018. Maintenant que le doute s’est installé, nous sommes en train d’assister à une forme nouvelle de manipulation des populations par le président IBK.

Ainsi après avoir instrumentalisé en 2013 les leaders religieux et les musulmans pour accéder au pouvoir, le président IBK essaye maintenant de se servir des notabilités, des chefs traditionnels, des autorités coutumières et des chefs religieux pour asseoir sa nouvelle stratégie de campagne pour son maintien au pouvoir. Mais cette fois-ci, son ‘’inchalla ‘’ ne passera pas, puisque le malien n’est pas dupe. Et on assiste à des faits qui démontrent que IBK est loin d’être l’homme de la situation en 2018. Premier fait, son voyage raté à Kayes. Très mécontents de sa gestion machiavélique instaurée, les Kaysiens lui (IBK) ont réservé un accueil très glacial. Des jeunes scandaient : ‘’ Abbas IBK’’, IBK à Abbas’’. Pis, certains jeunes sont allés très loin en jetant des pierres au cortège présidentiel.

Deuxième fait. On assiste à des démissions multiples du côté de la majorité. La dernière  à la date, c’est le départ de l’ex patron de la communication de la Présidence Racine Thiam, pour le principal parti de l’opposition en occurrence l’Union pour la République et la Démocratie(Urd).  Le Kankélétigui  IBK qui a déçu beaucoup de ses collaborateurs, aura sans doute à faire avec ses mécontents voire victimes en 2018. Il s’agit notamment des deux anciens PDG de la CMDT, Kalfa Sanogo et Modibo Koné, les deux anciens premiers ministres Moussa Mara et Oumar Tatam Ly, Racim Thiam, ancien chef de la cellule de communication de Koulouba, Paul Boro, ancien directeur général du CICB, Mohamed Salia Touré, président démissionnaire du CNJ, Etienne Fakaba Sissoko, ancien conseiller économique du président, l’homme d’affaire Aliou Boubacar Diallo de Wassou l’or, la liste est longue.

Les alliés de IBK ont sans nul doute compris qu’il ne peut rien pour le Mali. Raison pour laquelle, la plupart des formations politiques ont décidé de ne pas s’allier avec le parti présidentiel –RPM- pour les élections régionales et du District de Bamako prévues pour le 17 décembre prochain. Dans les trois grandes régions électorales du Mali (Kayes, Sikasso et Mopti), on remarque des alliances Adema-Urd-Codem. Aucune formation politique ne veut faire cavalier avec le RPM. A ces  signes qui sont loin d’être roses pour IBK, s’ajoute cette affaire de sa montre qui a fait beaucoup de bruit. De marque ‘’Patek Phillippe’’, le prix de la montre D’IBK qui coûte plus de 55 millions de FCFA, a dépassé tout entendement.  Avec cette révélation, les Maliens ont su que IBK est loin d’être le président qui se soucie de leur bien-être et leur survie. Sinon comment comprendre qu’un président d’un pays pauvre comme le Mali où les gens ont la peine de manger à leur faim, un président puisse s’offrir une telle montre et puis à une somme incroyable. Alors que nos soldats sont tués comme des lézards. Au Mali, au 21ème siècle il y’a des gens qui traversent des dizaines de Kilomètres, pour avoir juste de l’eau potable. Mais IBK et sa famille ne pensent qu’à eux et à leurs poches. Où est le bonheur des maliens ? Où est l’honneur du Mali ?

En tout cas, tout porte à croire que IBK est loin d’être l’homme de la situation en 2018.  Comme le disait Mahatma Gandhi : « Il n’est pas nécessaire d’éteindre la lumière de  l’autre pour que la vôtre brille ». Et les Maliens ont compris qu’il ne faut jamais un deuxième mandat pour ce pouvoir mediocre bâti sur le socle du mensonge, du pillage des ressources limitées du pays et du mépris.

Aliou Touré

 

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  1. Le plus grand enjeu politique du Mali depuis son independance est sans aucun doute la sauvegarde de l’integrite territoriale, l’etablissement de la souverainete totale et le maitien de la securite et de la paix de facon stable et permanente.Ce qui est arrive ne doit plus se produire.Le President actuel ,par son manqué de fermete,par son incapacite a prendre des decisions claires allant dans le sens du respect des interets superieurs du Mali et des Maliens,son manqué manifeste d’independence dans la gouvernance du pays ,ses relations ambigues avec les ennemis ,et les comploteurs contre la Nation Malienne,le manqué d’integrite en ce qui concerne la gestion du pays,(l’achat de l’avion de commandement,l’achat des armements militaires,le financement de sa propriete personnelle par les fonds du tresor,)la prevalence de la corruption dans le pays ,du nepotisme,du clientelisme, du paternalisme,etc,l’abandon de l’armee en temps de guerre,ne merite pas d’etre maintenu a la tete du pays.Il a montre son incapacite a conduire le pays et a retablir l’independance du Mali.Meme si une solution etait trouvee,elle serait mise en cause dans quelques annees sinon dans quelques mois.Au Mali ,les elections sont faites sur cette base:que gagnerais-je?Que gagnerait ma famille?Devant les urnes,je supplie les electeurs de voter pour une fois pour le Mali,le Mali de nos ancetres,le Mali de nos posterites.La mort des milliers de soldats,de citoyens innocents ne doit pas etre en vain.La situation est difficile.Mais,aujourd’hui,nous savons qui est notre ami, qui est notre ennemi.Nous devons choisir de nouvelles relations internationales,sures et durables.Les partis politiques doivent chercher l’Homme providentiel ,non seulement au sein de leur parti ,mais aussi en dehors de leur parti.L’objectif central est de reconquerir la Souverainete nationale,pleine et entiere et placer l’economie Malienne ,partant l’economie Ouest-Africaine, sur la voie de la croissance acceleree.

  2. Au royaume des aveugles, le borgne est roi, a-t-on l’habitude de dire. Il n’y a qu’au Mali où des gens comme Aliou Touré ou Yalcoué se font appeler éditorialistes. La preuve de leur médiocrité, aucun de leurs éditoriaux n’est lu sur les grands média comme rfi qui a l’habitude de diffuser sur ses ondes, certains éditoriaux publiés dans certains journaux. Bref, des éditorialistes peu férus de grammaire et de conjugaison et qui plus est, ne racontent que du bidon.

  3. Kirane. Je ne comprends rien dans vos soutiens à IBK. Je sais bien mêmes ceux qui disent du bon sur le bilan de IBK savent pertinemment de le Mali est en danger. Si on ne se dit pas la vérité une réélection de IBK en 2018 sera fatal pour le Mali. Je n’ai aucune partie prise mais nous savons tous et toutes qu’il faut dépose IBK une bonne fois pour toute. Un individu n’est rien par rapport au Mali.

  4. Aliou Touré journalier qui cherche son prix de condiment qui ce dit journaliste .vous me fêtent pitié. mieux vaux d’aller cherché un autre boulot ce mieux pour toi et les autres journaliers comme Yalkouyé etc. etc.tu sais à cause de vous et de vos mensonges les gens n’est croient plus aux journalistes Maliens. vous êtes des menteurs. des aigris.des égoïstes.vous passez toute la journée à dénigré .à calomnié pour survivre. si quelqu’un vous donne un petit billet de 10 000F pour écrire des fausses informations sur quelqu’un ou sur un groupe de personne vous êtes prêt à faire le sale boulot pour avoir le prix de condiments. honte à vous tchiiiiiiiiiiiiiiiim!!!!

  5. Aliou TOURE, je lance un pari.Tu vas voir si IBK ne sera pas élu. Vos torchons de contres vérité ne sont lu que par quelque centaine de personne à Bamako. Vos analyse ne sont pas exacte. En face il y a des gens qui critiquent et qui ne proposent rien. A huit mois des élections, aucun candidat en face. Une présidentielle se prépare durant des années, pas en quelques mois. Vous allez voir ce qui va se passer. inchallah, Bamako n’est pas le Mali.

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