Edito : Dioncounda comme le Pape Jean-Paul II

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Le mercredi 13 mai 1981, Mehmet Ali Ağca, membre de l’organisation nationaliste turque des «Loups gris», tenta d’assassiner le Pape Jean-Paul II sur la place Saint-Pierre à Rome. Le pape fut touché trois fois et perdit une grande partie de son sang, avant d’être hospitalisé. Mehmet Ali Ağca fut interpellé sur place et, plus tard, condamné à la prison à perpétuité. Selon les résultats de l’enquête menée par une commission parlementaire italienne, il s’agissait d’un complot ourdi par plusieurs États du bloc communiste. Bien que cette théorie soit la plus vraisemblable, d’autres pistes ont continué à être évoquées jusqu’à ce jour.

 

Dioncounda Traoré, président de la Transition

Après l’attentat, Jean-Paul II demanda aux fidèles de prier pour «son frère (Ağca), à qui j’ai sincèrement pardonné». En 1983, Jean-Paul II et Ağca se sont rencontrés dans la prison italienne où celui-ci était détenu et ont parlé en privé. Selon un article de presse, le pape a gardé le contact, jusqu’à sa mort, avec la famille d’Ağca. Il a même rencontré la mère et le frère de celui-ci une décennie plus tard.
En 2009, Ağca déclarera avoir abjuré depuis le 13 mai 2007 la foi musulmane, et être devenu un fidèle de l’Église catholique romaine, ajoutant qu’il espérait un jour pouvoir aller prier sur la tombe de Jean-Paul II. Il sortira finalement, après 29 ans d’enfermement, le 18 janvier 2010.
Le 21 mai 2012, des inconnus, membres d’organisations favorables aux putschistes de Kati, essayèrent d’assassiner le Président intérimaire du Mali, Dioncounda Traoré, dans son bureau à Koulouba. Il fut frappé, agressé, molesté, déshabillé même (excusez la précision) et dépouillé, avant d’être transporté au Point G, puis à l’Hôpital Mère – Enfant Le Luxemburg pour des examens et des soins. Il sera par la suite évacué sur l’hôpital du Val de grâce à Paris, où il sera opéré du front suite aux coups de marteau qu’il avait reçus.
Cet homme de 70 ans, qui fait apparemment moins que cet âge, a vraiment souffert, dans sa chair et dans son âme. Ses agresseurs ne sont toujours pas identifiés. Malgré tout, comme le Pape Jean-Paul II, il dit avoir pardonné à ses bourreaux et demande aux Maliens d’en faire autant. Il est allé encore plus loin, en usant d’une formule de la Bible, «ceux qui m’ont agressé ne savaient pas ce qu’ils faisaient».
En musulman pratiquant, lui qui fréquente dans la plus grande discrétion chaque vendredi la Grande mosquée, située à une centaine de mètres seulement de l’Hémicycle, Dioncounda Traoré dit accepter volontiers les souffrances qu’il a subies si c’est vraiment par là qu’il fallait passer pour que le peuple du Mali retrouve l’équilibre, la paix et la cohésion sociale.
Pour tout dire, Dioncounda Traoré s’est montré grand en cette occasion. Grand par la noblesse de ses propos. Grand par le cœur. Sans amertume, sans rancune, sans esprit de vengeance, il l’a prouvé à la face du monde. Dioncounda Traoré s’est aussi montré grand par le vœu qu’il a exprimé, du fond de son cœur, de voir son cadet, son cousin à plaisanterie, le Premier ministre Cheick Modibo Diarra, réussir la mission qui est la sienne aujourd’hui.
Comme Jean-Paul II, Dioncounda Traoré a montré qu’il était lui aussi capable, l’un de ces quatre jours, d’aller rendre visite à ses agresseurs en prison, si ceux-ci venaient à être arrêtés puis condamnés, puisque, comme l’a si bien dit le brillant avocat Me Konaté, le pardon de Dioncounda Traoré ne changera en rien la procédure judiciaire engagée.
Le cas Dioncounda Traoré nous rappelle également, sans bien sûr exagérer, le meilleur de nous tous, Nelson Mandela. Madiba, comme l’appellent affectueusement ses compatriotes sud africains, est le symbole vivant de la tolérance, du pardon, de la coexistence pacifique, sans discrimination aucune.
Les Maliens doivent aujourd’hui plus que jamais écouter la voix de Dioncounda Traoré. Celle-là même qui nous demande de nous donner la main pour transcender la situation actuelle et sortir de cette crise. Qui dit mieux!
Chahana Takiou

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17 COMMENTAIRES

  1. Les politicichiens c’est comme le sorcier. Il t’envoute jusqu’à ce que tu lui donne ton ceour aujourd’hui pour qu’il en fasse son petit dejeuner le jour suivant.
    Attention maliens, ouvrons nous les yeux, mon <Dieu

    Que benisse le Mali, Amen

  2. Peuple du mali, dans ce tohu-bohu que vous vivez, dans cette obscurite qui vous tombe decu, ces tenebres qui vous effrayent, une lumiere consolante se leve pour vous: Jesus Christ le fils du vivant!
    Comprenez que le Christ Jesus vous aime d’un amour infinit et insondable. Il vous apporte la paix la securite,la prosperite, la sagesse. Vous n’avez pas besoin de vous convertir , reconaissez tout simplement que le christ jesus le fils du Dieu vivant vous aime.

    • #Selon l’évangile Jésus ne considere pas Dieu comme son pere a lui seul , mais comme le pere a tout les croyants :

      “20.17 Jésus lui dit: Ne me touche pas; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. (jean)
      5.45 afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. (Mathieu)
      6.1 Gardez-vous de pratiquer votre justice devant les hommes, pour en être vus; autrement, vous n’aurez point de récompense auprès de votre Père qui est dans les cieux. (Matthieu)
      632 Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. (Matthieu)
      6.36 Soyez donc miséricordieux, comme votre Père est miséricordieux. (Luc)”

      #Dans la bible , Jesus pbsl n’est pas le seul a appeler Dieu pere:

      “63.16 Tu es cependant notre père, Car Abraham ne nous connaît pas, Et Israël ignore qui nous sommes; C’est toi, Éternel, qui es notre père, Qui, dès l’éternité, t’appelles notre sauveur. ( Esai)
      64.8 (64:7) Cependant, ô Éternel, tu es notre père; Nous sommes l’argile, et c’est toi qui nous as formés, Nous sommes tous l’ouvrage de tes mains.(ésai) ”
      👿 👿 👿

  3. Mr TakioU quel est ce non sense de titre pour votre article. dioncounda n’est pas et ne sera jamais un saint. ce qui lui arrive? personne ne merite ca mais le comparer au pape? vous etes aller trop loin pleaseeeeeeee. je sais qu’au mali les journalistes sont payes pour ecrire les article mais de grasse. Au lieu de pardonner a ses agrsseurs il devait d’abord demander pardon a ceux qu’il a lui meme agresse LE PEUPLE MALIEN DANS SA GLOBALITE.depuis 20 ans ils ont mis ce pays a genou. le peuple attend son mea culpa

  4. C’est quand même grave de citer des exemples ainsi sans parler de Mohamed PSL qui a pardonné lui aussi alors que l’ange des montagnes attendait son autorisation pour châtier les mécréants qui l’ont fait couler du sang de la tête aux pieds. Et puis pour quelle raison Nelson Mandela serait le meilleur de nous tous alors qu’il y a des prophètes ? Mandela a été un grand et l’est encore mais lui mettre au dessus des prophètes serait très grave. Meilleure santé à DT.

  5. C’est quand même grave de citer des exemples ainsi sans parler de Mohamed PSL qui a pardonné lui aussi alors l’ange des montagnes attendait son autorisation pour châtier les mécréants qui l’ont fait couler su sang de la tête au pied. Et puis pour quelle raison Nelson Mandela serait le meilleur de nous alors qu’il y a des prophètes ? Mandela a été un grand et l’est encore mais lui mettre au dessus des prophètes serait très grave.

  6. Le pêché originel

    Sommes-nous encore capables d’apprendre de nos erreurs de gouvernance de ces 50 dernières années?

    Avons-nous les capacités intellectuelles et politiques nécessaires pour décoder la géopolitique qui nous tombe sur la figure avant qu’il nous fauche les pieds au milieu de nulle part?

    A regarder de près le film des opérations cauchemardesques depuis janvier 2012, de leurs gestions et de leurs analyses calamiteuses de Koulouba jusqu’au simple internaute sur un forum d’informations sur le Mali, en passant par Kati, Ouaga (pour la médiation) et New York (conseil de sécurité de l’ONU), rien n’est sûr!

    1. L’erreur d’appréciation du président ATT et de ses conseillers militaires.

    “L’armée de nos besoins plutôt que l’armée de nos habitudes”.

    Voilà le concept mal fécond du dernier 20 janvier que le général président ATT défendait encore après  3 jours du début des hostilités, sans commune mesure, au nord de notre pays.

    A elle seule, cette expression explique tout le comportement d’ATT dans le système de défense du Mali en général et dans la gestion de la crise du nord en particulier.

    En effet, il montre, une sous-estimation grave des menaces qui planaient sur la sécurité du pays et explique pourquoi lui et son gouvernement ont facilement accepté de démilitariser le nord à la faveur des accords d’Alger de 2006
    (à l’époque la guerre n’avait pas éclaté en Libye et l’alibi de “combattants revenus dans leur pays avec armes et bagages” ne pouvait pas tenir la route). 

    Et pourtant c’est là le point de départ de l’ouverture de la boite de Pandore au nord du Mali. 

    Paradoxalement là dessus les maliens ont plébiscité ATT sur le sujet en 2006 et 2007 ( plus de 70% au premier tour des éléctions présidentielles de 2007) au détriment d’IBK qui s’était farouchement oposé aux accords d’Alger de 2006  (moins de 20% dans les mêmes éléctions).

    Pour qui connait le septentrion malien, c’était avant, une zone garnisons, soigneusement mise en place par le président Modibo Keita, pour parer à toute éventualité, car lui au moins savait ce qu’il faisait quand bien même qu’il n’a pas fait “les plus grandes académies militaires du monde”.

    Le lieutenant Moussa Traoré et sa bande à Kissima Doucara n’avaient pas beaucoup de notions de l’administration et des finances publiques à l’époque du CMLN, mais au moins ils ont eu le mérite de comprendre la stratégie militaire du Président Modibo et de le maintenir voire même de le renforcer.

    Après les accords de Tamanrasset et le Pacte National en 1992, les présidents Alpha et ATT ont cru, à tort, que le dispositif militaire des années 60 qui a perduré jusqu’au début des années 90 était désuet et ne pouvait plus durement et efficacement servir le Mali dans sa politique de sécurité et de défense nationale.

    La flamme de la paix à Tombouctou et le dialogue mal placé (permettant d’intégrer sauvagement des anciens combattants rebelles dans l’armée et dans l’administration, et à quel poste?) valaient (à leur yeux) mieux qu’une garnison bien équipée à Kidal où à Aguelhoc avec une discipline militaire stricte.

    Conséquence, il y a eu stratification de l’armée avec retrait du commandement sudiste au profit d’unités spéciales sur fond d’autonomie issue des accords dont les commandements furent allègrement laissés au ressortissants du Nord, principalement des Touareg et des arabes quand bien même qu’ils ne sont pas majoritaires au Nord.

    Après tout, quand on ne doit faire, désormais, que 10 ans maximum à Koulouba, mieux vaut laisser pour la postérité plus de puits, de systèmes d’addiction d’eau potable, et de centres de santé, plutôt que des garnisons imprenables au nord puis que nos frères du nord nous ont juré une loyauté sans faille.
    C’est promis et c’est juré!

    Voilà mes chers amis, la matrice mère de la pensée ALPHA/ATT, qui est à la base du concept étourdissant de “l’armée de nos besoins plutôt que l’armée de nos habitudes” matérialisé par ATT dans ses accords et compromis “inadmissibles” pour tout autre malien non initié.
    Mais aussi, plus grave encore, dans l’orientation suicidaire de nos dépenses militaires vers le fonctionnement plutôt que vers l’investissement.
    C’est pour cela que nous avons plus de généraux et de colonels que quiconque, et je vous laisse volontiers deviner leurs charges d’entretien annuelles et le rapprocher au prix des orgues de Staline (l’un des points forts des groupes armés de tout genre qui ont défait l’armée malienne au nord). 

    Alors en 20 ans, Alpha et ATT ont misé sur la bonne fois et les bonnes volontés de groupes tribaux touareg et arabes très disparates dans leurs comportements et dans leurs états d’âmes sans chercher à savoir l’alchimie, les codes et les lois qui régissent l’équilibre sinon les équilibres des rapports de forces de ces peuples si proches de nous par la nationalité mais, en même temps si lointains de part leurs cultures, je dis bien leurs cultures puisqu’il y a plusieurs, et de part leur milieu naturel.

    C’est ainsi qu’Alpha a ignoré, à tort, les arabes au profit d’autres groupes tribaux, alors qu’ATT les a chérit, à tort également, au détriment de d’autres groupes tribaux dont celui d’Iyad Ag Ghali, les Ifoghas dont le nom nous est tous familier à travers nos cours de géographie “l’ardrar des Iforas”, comprenez par là, montagnes des Ifoghas.
    En référence aux chaines montagneuses qui font du camp d’amachach de Tessalit un lieu unique et objet de toutes les convoitises au Sahel.

    La première chose qu’il faut noter c’est que, du président Modibo à ATT, la gestion du nord à tantôt pris en compte la dimension militaire, soit au maximum (guerres et représsions sans concession) soit au minimum (négociations laxistes et mal ficelées) sans jamais vraiment intégrer au maximum la dimension sociale et tribale qui constitue pourtant la cheville ouvrière des cultures des peuples de cette région du Mali.

    S’agissait-il d’un mauvais calcul politique ou politicien, pour perpétrer les rivalités intercommunautaires, et asseoir facilement au nord les bases de la république ou serait-il le fait d’une mauvaise lecture sociale du Mali? 

    J’attends les mémoires de nos trois désormais ex-président encore en vie pour vous répondre.

    Une chose est certaine, c’est cette dimension sociale et tribale qui est à la base des rivalités entre le Colonel Major El Hadj Gamou (Tribu Imghas) et d’Iyad Ag Ghali (tribu Ifoghas) d’une part et entre les arabes du nord et certains tribus touareg d’autre part.

    Je ne parle même pas des Sonraïs, l’ethnie majorité par excellence au nord, des peuls et des bellahs, sinon nous allons rentrer dans un autre système solaire et je ne suis pas sûr que notre navette spatiale va tenir les années-lumières de parcours à faire même avec un astrophysicien à bord.

    Donc restons dans la galaxie Touareg/arabes.

    Et c’est cette rivalité qui plombe plus, aujourd’hui, le Mnla plutôt que qu’une hypothétique absence de reconnaissance de la communauté internationale de son “Azawad”. 
    Et paradoxalement il en profite d’ailleurs pour s’assurer la primauté dans les négociations avec le gouvernement malien et les médiateurs de la CEDEAO malgré le fait qu’il n’a pas la supérioté militaire sur le terrain contrairement à l’Ansar Dine d’Iyad Ag Ghali.
    Et si le Mali et sa république étaient en réalité victime des contrecoups des rivalités millénaires entre communautés et peuples du nord? Une sorte de terre fragile incapable de supporter les bouillonnements des magmas venant de ses propres entrailles.

    A y regarder de près le tableau des jeux complexes de rivalités souvent à couteau tiré, nous sommes en réalité dans 50 années d’erreurs de gestion du septentrion Malien.

    Même si nous mettons de coté les erreurs militaires (de 1963, 1990, 1994…) et les erreurs de déficit de développement dans ces zones (malgré l’agence du développement du nord, ADN et le récent programme de développement PSPSDN d’ATT), il nous reste toujours une erreur résiduelle: 

    C’est celle de ne jamais su réconcilier les cœurs et les esprits dans une logique de construction nationale plutôt que tribale et de canaliser les chefferies traditionnelles dans un idéal patriotique en transcendant les clivages tribaux des différents peuples qui vivent au nord du Mali.

    Au sud, on est d’abord malien avant d’être Bambara, Malinké, Bobo, etc. Mais, au nord, on est d’abord arabe, ifoghas, imghas avant d’être malien.

    Cherchez l’erreur!!!

    2. Après l’erreur d’appréciation, le péché originel?

    Alors avec la mauvaise lecture des putschistes du 22 mars de la situation du Mali, le défilé de la honte de la classe politique et de la société civile à Ouagadougou pour une lutte de pouvoir transitoire, et les divisions politiques aigues à Bamako, tout porte à croire que le Mali n’a pas encore les moyens de corriger l’erreur résiduelle.

    Et avec un président par intérim (tabassé et convalescent à Paris) dont beauoup, pour l’instant, préfèrent ignorer volontiers, le vrai pouvoir, en tout cas si on s’en tient à ce qu’on voit et entend, les hésitations et les ratées à l’ONU sur le dossier de la crise malienne, et les pressions internationales pour négocier et pour sortir de la crise au mépris souvent des réalités du terrain en terme de composition ethnique, de positions militaires acquises, des fardeaux et des sacrifices endurées dans le passé pour le Mali, des efforts de construction nationale des uns et des autres, des réelles intentions des uns et des autres envers le Mali, de la loyauté des uns et des autres envers le Mali, font craindre le pire:

    un risque de commettre un autre péché originel qui portera en lui le germe d’une future déstabilisation encore plus dévastatrice pour le Mali.

    Alors, qu’est ce qu’on fait, on reprend les mêmes et on recommence?
     

  7. JE PENSE QUE L’AFFAIRE EST CLASSEE. OUBLIONS TOUS, METTEZ LES BATTERIES EN MARCHE POUR COMBATTRE LES BANDITS QUI SACCAGENT TOUT SUR LEUR PASSAGE. LA VIE N’EST RIEN ET VOUS VOYEZ, LE PRESIDENT L’A BIEN COMPRIS.

  8. D’habitude je ne me donne pas la peine de lire des histoires pareilles…surtout que Dioncouda m’a enseigne et j’étais très loin de voir le Pape en lui … malgré une reconnaissance éternelle pour avoir essaye au de nous enseigner avec des moyens merdiques….

    Cette fois ci, je suis content de m’être donne la peine … l’auteur n’a pas fait le griot de Dincouda comme on voit dans les articles pareils…

    Bien que toujours aigri par rapport aux augmentations de salaire passées par l’assemble pour les présidents et anciens présidents…Je ne peux que souhaiter Meilleure Santé a Dioncouda et répudier a jamais ce qui lui est arrive…

    J’espère qu’il n’a pas pardonne l’instigateur de ces actes ignobles…le Soldat Rate qui a pris le Pays et tenu des propos propagandistes afin d’obtenir la rançon du Status d’Ex-chef d’Etat Avant d’Etre Chef d’Etat …”Dioncouda fera 40 jours et pas 1 heure de plus…tant qu’on me mettra pas dans toutes les conditions d’un Ex-chef d’état”

    Tout ça était dans l’accord cadre…n’est pas…
    Lascars Malhonnête!

    Moussa Ag, qui n’aime pas du tout les malhonnêtes qui utilisent les armes pour se faire les poches

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