Vendredi 5 juin 2020, le rassemblement aura bel et bien lieu. Les autorités compétentes saisies via une lettre d’information des premiers responsables des trois grandes organisations que constitue la plateforme initiatrice de l’appel à la mobilisation face à l’exacerbation des maux qui plombent le pays est édifiante.
La démarche légale étant respectée par les deux parties, place aux dispositions à prendre. L’État prépare les forces de l’ordre et de sécurité comme ce fut tout le temps le cas en de circonstances pareilles, les acteurs de la grande sortie continuent d’activer les canaux nécessaires de sensibilisation pour un coup de frappe inédit. Ils dressent facilement des citoyens à leur cause pour la simple raison que le système actuel a fait trop de victimes.
Naturellement, à chaque fois qu’il est question de prendre la rue contre le régime actuel, ils s’y associeront volontiers. Il faut donc déduire qu’il y aura une foule à perte de vue. Chacun viendra pour son propre cas.
Mais que dire du dénominateur commun de certains au regard des propos tenus ici et là, c’est la démission du Président de la République ? Les organisateurs l’ont annoncé dans leur déclaration et l’idée a été soutenue via plusieurs canaux de communication notamment les réseaux sociaux. Beaucoup de citoyens y ont adhéré.
Ainsi, l’objectif a provoqué des débats, des prises de position. La tension étant montée au tour du sujet, la sortie de deux grandes figures était attendue pour savoir le sort à réserver au Mali dès ce vendredi. Dieu faisant les choses, Mahmoud Dicko et le Chérif de Nioro ne sont pas favorables à un quelconque coup de force qui plongera le pays dans le chaos total. Ils encouragent les mécontents et appellent à leur tour à la mobilisation. Leurs approches sont partisanes de la dynamique de dénoncer la mauvaise gouvernance et mettre la pression sur les autorités afin qu’elles changent de mode de gouvernance.
Cette précision est de taille. Et personne ne peut s’opposer à cela car c’est un droit constitutionnel.
Alors sortez, dites tout ce que vous voulez dans la plus grande discipline. Même l’État vous soutient dans cette démarche. Cela se traduit par l’avis favorable pour le rassemblement et les dispositifs d’ordre sécuritaire prévus pour encadrer la marche.
Boubacar Yalkoué
COMME LE DISAIT UNE MAIFESTANTE A MINIANAPOLIS , SANS CASSE, LES MANIFESTATIONS NE FERONT JAMAIS ASSEZ PEUR POUR FAIRE CHANGER LES CHOSES.
IBK EST LE PROBLEME DU MALI. IL FAUT OBLIGATOIREMENT LE DEGAGER POUR SAUVER LE MALI.
Yalcoué doit se taire et garder profil bas. Ce n’est pas parce qu’un Dogon a été désigné (et non élu) député puis propulsé Président de l’Assemblée Nationalepar IBK qu’il doit changer de veste d’un coup.
Attention à l’ethnicité et l’ethnicisation politique. Cela peut être dangeureux.
PARALY$I€_M€NTAL€_OCCIЀNTAL€
PARALY$I€UROPÉ€NN€
Il faut toujours que Yalcoue ouvre sa gueule de petit cerveau avec diverses opinions contradictoires dans le même mois…. histoire de toujours sortir quelque chose pour apparaitre ! Quelle honte! Ce n’est pas toi qui va nous montrer qu’on a droit de sortir pour dénoncer une mauvaise gouvernance…. c’est un droit acquis par le sacrifice des martyrs dignes maliens au prix de leur sang en 1991 et le pouvoir actuel est bénéficiaire des réalisations de ce sacrifice. Demain nous serons sur le terrain inch’Allah pour le Mali et personne au monde ne pourra nous y empercher!
GRANЀ_GU€UL€UROPÉ€NN€
Si le clan présidentiel a compris qu’il faut laisser la procédure qui inspire la démocratie s’effectuer comme pendant les premières années du premier quinquennat, c’est l’image du Mali qui en sort grandi.
Bravo!!!!
La méthode SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA, pourtant membre influent du mouvement démocratique, a porté un grand coup à l’image démocratique du Mali.
Nous qui sommes à l’extérieur étions fiers d’entendre les autres nationalités dire que le Mali a une culture démocratique en voyant les manifestations encadrées par les forces de l’ordre constatant les policiers partagés de l’eau avec nos compatriotes révoltés.
IL Y A ENCORE DU CHEMIN À PARCOURIR POUR RÉCONFORTER L’IMAGE DE LA CULTURE DÉMOCRATIQUE DU MALI.
Que le pouvoir tienne compte de la force de mobilisation de la population dans sa prise de décision.
Le peuple n’est ni contre IBK, ni contre aucun des membres qui animent les structures étatiques.
LE PEUPLE VEUT LA BONNE GOUVERNANCE DANS L’ESPRIT DE LA DÉFENSE DES INTÉRÊTS SUPÉRIEURS DU MALI.
Pour cela LA QUATRIÈME RÉPUBLIQUE EST PLUS QUE NÉCESSAIRE.
Les tenants du pouvoir doivent accepter de rentrer en négociation avec les dirigeants des trois mouvements pour rendre possible la refondation de l’État du Mali.
IBK doit renoncer à son projet de succession dynastique.
La ligne de mire doit être 2023 qui doit consacrer la refondation de la démocratie malienne par l’organisation des élections sur la base d’une nouvelle LOI FONDAMENTALE qui va minimiser le pouvoir de l’autorité politique.
LA DÉMISSION D’IBK DOIT SIGNIFIER UN PARTAGE DE POUVOIR AVEC UN HOMME POLITIQUE DÉSIGNÉ CONSENSUELLEMENT POUR APPLIQUER LES RECOMMANDATIONS DES ORGANISATEURS DE LA MARCHE.
S’il refuse de céder une partie de son pouvoir,la marche va être hebdomadaire jusqu’à ce qu’il cède.
Il faut rappeler qu’une tension permanente de la rue peut provoquer une crise au sein de la grande muette car elle a trop souffert de la mauvaise gouvernance des différents pouvoirs depuis 1968.
ELLE A SON SALUT DANS LA REFONDATION DE L’ÉTAT DU MALI.
L’armée malienne doit être une émanation du peuple.
Depuis 1968,c’est une MAFIA installée qui empêche le politique de procéder à des réformes nécessaires pour son bon fonctionnement.
IBK doit savoir qu’il était le dernier espoir d’une majorité relative de maliens qui ont crû à son idée de rendre aux maliens leur honneur en 2013.
IL A ÉNORMÉMENT DÉÇU.
Il a permis aux maliens de comprendre que L’HOMME PROVIDENTIEL EST UNE ILLUSION.
La mentalité collective commence à comprendre qu’il faut DES INSTITUTIONS FORTES.
Elles permettent de faire émerger des compétences sûres et écartent les médiocres.
Elles favorisent la PRIMAUTÉ de l’intérêt général au détriment de celle individuelle en vigueur depuis le 19 novembre 1968.
ELLES FAVORISENT SURTOUT LE DÉBAT D’IDÉES.
Elles permettent aux hommes véritablement politiques de s’exprimer, écartent les hommes d’affaire qui vont constater que l’homme politique n’a plus d’influence sur les attributions de marché.
Espérons que l’acceptation de cette marche est un signe du changement d’attitude du MASSA qui aura compris que le système BONGO n’est pas réalisable au Mali.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
Sangare, tu fais honte encore en ecrivant: Espérons que l’acceptation de cette marche est un signe du changement d’attitude du MASSA qui aura compris que le système BONGO n’est pas réalisable au Mali. Car que Boua le ventru IBK soit d’accord ou pas avec la marche on s’en fout c’est son affaire. En tout cas les organisateurs de la marche des vaillants fils du Mali et vrais patriotes ne lui ont pas demande la permission! Et puis tu prends ton MASSA et tu l’amenes ailleurs car le Mali est une Republique qui a un President et pas un MASSA. Ce sont des gens comme toi et Yalkoue qui par manqué de capacite d’analyse ou en etant vegetatif mettent nos dirigents dans les erreurs et les amenent vers la dictature et le totalitarisme comme on le voit au Mali ou au Gabon. Arretons de faire des declarations qui nous ramenent au 12eme siècle. Y en a marre!
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