Au Mali, ces dernières semaines, la situation sécuritaire a pris un coup dur. Attentats de part et d’autres faisant de nombreux morts, des dégâts matériels importants et des blessés. La plus par des cibles, ce sont nos FAMAs. Leurs positions font l’objet d’attaque régulière.
Ce tableau sombre se dresse au moment où le G5 sahel s’installe lentement mais sûrement. Cette force purement africaine a pour mission la lutte contre le terrorisme. Pour faire échec à cette initiative, comme promis dès les premières heures de l’annonce de la création d’une telle force, les forces du mal s’inscrivent de nos jours dans la dynamique de tout balayer sur leur passage. Civils, militaires… personne n’est à l’abri.
La peur que les terroristes veulent installer n’a pas réussi et ne réussira pas. Nos FAMAs, malgré ces dures épreuves, ont le moral au beau fixe. Elles continuent à se battre sur le théâtre des opérations avec des moyens de bord face à des individus mal intentionnés armés par des grandes puissances cachées dans l’ombre.
La situation au Mali, sa résolution dépasse aujourd’hui les compétences des autorités maliennes car il y a beaucoup de non-dit. Des intérêts colossaux sont en jeu.
Il faut reconnaitre que le régime a une très grande part de responsabilité dans l’exacerbation de la crise. Il a suivi aveuglement ceux-là qui se disent saveurs du Mali alors qu’au contraire, ce sont les étrangleurs de la nation malienne. Ces hypocrites ont profité du laxisme de nos dirigeants pour tout foutre en l’air.
Qu’est-ce qui reste du Mali ? Presque rien car l’autorité de l’Etat ne s’exerce pas sur une bonne partie du territoire.
La menace devient de plus en plus inquiétante. Au lieu d’assumer sa responsabilité de manière équitable, le conseil de sécurité, l’arbitre, menace le Mali. Qui bloque la mise en œuvre de l’accord ? L’ONU le sait bien : c’est la CMA. Elle a violé plusieurs fois les étapes de l’accord sans être sanctionnée. C’est elle l’épicentre du problème. Si cette racine est coupée, le mal se dissipera.
Le G5 sahel doit s’opérer obligatoirement. Le triste bilan fait mal, mais le Mali et les pays contributeurs de cette force ne doivent pas se laisser intimider car la réaction, avant même l’opérationnalisation réelle du G5 Sahel, des terroristes prouve à suffisance qu’ils ont peur de cette force appropriée face aux menaces.
Boubacar Yalkoué
Il faut croire que Yalcoué est récupérable. Aujourd’hui il n’est pas question d’alternance ou d”éloge de Ras Bath mais des éloges du G5 sahel que lui Yalcoué à boudé dans plusieurs de ces articles. Alors on se fait l’évidence qu’il faut oublier sa petite personne et songer au Mali. C’est bien. Comme on le dit tout change tout évolue sauf mes imbéciles ne changent pas. Espérons que Yalcoué ne soit un imbécile comme son patron qui a été reconnu par son père.
Le problème est que la France entraine tout les autres dans ses conflits!
La relation internationale est basée sur l’hypocrisie des acteurs.
IBK,vieux routier des relations internationales ,le sait mieux que quiconque.
Ce n’est pas par laxisme qu’ il a suivi le plan français,mais qu’ il n’avait pas le choix étant extrêmement sale pour résister aux chantages.
NOUS AVONS ÉLU UN PRÉSIDENT CORROMPU AVEC DES RELATIONS TRÈS DOUTEUSES.
Une puissance étrangère n’intervient pas dans un pays africain pour l’AIDER,mais pour poser des ACTES conformes à ses intérêts.
On aurait un président honnête,PATRIOTE,la France aurait agi autrement pour sauvegarder ses intérêts elle n’aurait certainement pas utilisé les séparatistes pour arriver à ses fins connaissant les conséquences.
Avec IBK,elle ne risquait rien.
Mais IBK a derrière lui un peuple fier et digne.
Ce qui a fait que le plan n’arrive pas être exécuté à souhait.
Au fur à mesure de l’ application de l’ accord,le peuple constate que les séparatistes sortent gagnant de la négociation D’ALGER,surtout que la FRANCE manoeuvre.
Il s’aperçoit que le pays se dirige vers une séparation certaine avec un drapeau qui est brandi fièrement.
Chaque pays défend naturellement ses intérêts et profite de la faiblesse de l’ autre camp.
Ce que fait la FRANCE au MALI.
Nous sommes les premiers fautifs de la situation sécuritaire actuelle.
D’abord en 2002,en se mobilisant pour un candidat qui s’est révélé irresponsable permettant aux terroristes de s’installer impunément chez nous,ensuite permettre aux délinquants financiers et trafiquants de drogues de prospérer.
Ça nous a pas réveillé,nous avons élu plus pire en 2013 dans une situation sécuritaire chaotique,un KLEPTOMANE .
Pour s’en sortir,il nous faut un cadre plus compétent,honnête et intègre qui va regretter à la France son comportement humiliant pour les maliens.
Comments are closed.