Edito : 12 Novembre 2016 – 12 Novembre 2017

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Aube d’Afrique venait de voir le jour pour saluer la mémoire de son initiateur, Chouaïdou Traoré Parti si tôt un an auparavantL’, le 12 Novembre 2015. Il y a deux ans Chouaïdou  a été arraché de l’affection de sa famille, ses amis et collègues après avoir bravé la mort qui pourtant ne l’a pas pris au dépourvu, avec sa plume toujours en exergue pour défendre farouchement la liberté d’expression. Stoïque comme le loup, Il a affronté la mort sans cri, ni complainte gardant sa dignité jusqu’au dernier  souffle. Un après sa disparition qui restera toujours gravée dans la mémoire de ceux avec qui il a partagé sa vie pendant son passage sur terre, il nous revient de lui rendre hommage pour les actes qu’il a posé de son vivant.

La vie elle-même n’est-il pas un passage avant de rejoindre notre destination finale?

Ainsi naissait AUBE D’AFRIQUE, bi hebdomadaire d’investigations, d’informations generale et d’analyses qui, pendant un an, s’est humblement attelé à  la tâche sans relâche pour porter sa pierre à l’édifice. Dans ce devoir si difficile à accomplir sans enfoncer souvent les clous dans les blessures de certains et asséner de coups durs à d’autres, Aube D’Afrique demande humblement pardon aux uns et aux autres car on ne peut pas construire un pays, informer pour un changement de comportement et de mentalité nécessaires  pour l’intérêt commun de tous, sans se côtoyer dans la franchise et le pardon. Soyons ouverts aux critiques pour nous améliorer.

Toujours bouillante d’optimisme, Aube d’Afrique a l’image de ses fondateurs, compte garder sa ligne de conduite directrice, a savoir brandir haut  le flambeau pour un Mali démocratique, libre de toute invasion néo coloniale, un MALI prospère dans une Afrique libre et unie.

Comme note conclusive, AUBE D’AFRIQUE réitère sa demande d’accompagnement de la corporation, des amis et connaissances de celui qui, depuis sa tendre jeunesse a ouvert une brèche pour le métier de Journaliste au Mali. De ce fait elle, n’hésite pas à renouveler sa foi en toutes les bonnes volontés en guise de reconnaissance pour leur soutien inconditionnel.

Henriette Samake TRAORE

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