Elu président de la république aux termes des deux tours d’un scrutin royalement dominé de la tête et des épaules, Ibrahim Boubacar Keita, est rentré dans l’histoire des grands hommes de son pays, en qualité de président de la république. Mon Dieu, bon Dieu, tant pis pour ceux qui, n’arrêtaient de dire, que le tisserand en chef ne sera jamais le président du Mali. Tant pis pour eux, pour avoir insulté l’avenir. 2002 – 2013, douze longues et douloureuses années au cours desquelles, il aurait presque tout entendu, tout vu.
C’est demain, mercredi 04 septembre, que le nouveau président du Mali, Ibrahim Boubacar Keita prête serment en qualité, de 3e président démocratiquement élu. Occasion pour des milliers de maliens et d’étrangers de prendre d’assaut les fauteuils de la salle Bazoumana Sissoko du Centre International des Conférences. Voir Ibrahim Boubacar Keita, ancien conseiller, ancien ministre, ancien Premier Ministre, député et ancien président du parlement dans ses nouveaux habits de président de la république du Mali.Elu comme jamais dans notre pays, avec un score qui frise le plébiscite. Quête d’un super –homme, ou détermination à faire triompher la cause d’un homme longtemps victime de l’injustice des chefs d’alors ? IBK, en tous les cas, est président du Mali pour cinq(5) longues années, des années qui le mettront forcément face à des défis herculéens, notamment ; l’insécurité, la pauvreté, l’injustice, la corruption, les désordres socio- économiques, la dérive de l’école, les mœurs décadentes. Président, il entre en fonction demain mercredi, au terme d’une cérémonie d’investiture,
Un jour, des moments et instants, qu’aurait souhaité voir et vivre, feu l’honorable Kadari Bamba par exemple, son défunt compagnon de lutte. Bon Dieu, quelle lourde nostalgie pour IBK, orphelin de tous ceux qu’il aurait aimé voir et saluer.
Demain mercredi, aube de jours nouveaux,d’un Mali qui depuis 2002 priait pour l’arrivée de celui qui, à ses yeux, est à même de pouvoir le guérir, guérir des maux qui le minent depuis des lustres. Saura t –il relevé l’essentiel des défis qui lui font déjà face et contre lesquels, les maliens ne jurent que par sa poigne, sa hargne, sa détermination, son grand sérieux face à la chose publique ?
Elu d’une facilité déconcertante, IBK sait que les maliens, pressés qu’ils sont, ne rateront aucune occasion pour lui rappeler les conditions dans lesquelles, il a été plébiscité. Le pourquoi de leur engagement total à ses côtés tout au long des deux tours de scrutin.
Mon Dieu, bon Dieu, faites qu’il s’en sorte en le préservant d’abord des vampires qui ne pensent qu’à leur seule personne, à leur seul ventre.
Sory de Motti
tout ce que je sais ce n’est pas un homme nouveau qui vient aupouvoir ; mais plutôt un homme qui est au pouvoir depuis AOK jusqu’à ATT donc qu’il nous prouve qu’il a beaucoup eu d’expériences durant ce temps passé au second plan .
Mon Dieu bon Dieu??? va voir a l’Eglise si j’y suis. Tu sais comment on qualifie les “celebrite”.
Une celebrite c’est “n’importe quel” cretin que l’on prend, encence et pousse au cime de la gloire, et puis on s’etonne qu’elle fasse des conneries ou agisse en stupide. As-tu vu une de ces “vedettes” americaines?
IBK N’EST QU’UN HOMME QUE TU VEUX METTRE AU FIRMAMENT ET TU T’ETONNERAS QU’IL FASSE DES “FAUTES”.
Vraiment tu nous encombre MR le journaliste IBK n’a pas besoin de ces futilités IL est responsable donc il sait géré et il a le sens du pardon parce que il est musulman.
Que Dieu le préserve contre lui-même d’abord, IBK le féodal. Il ne saurait en aucune façon être innocenté du bilan des années passées, années où il a toujours géré aux plus hautes fonctions. Mais comme le dit l’article, les maliens l’attendent de pied ferme…
Excellent article ! Prions ensemble pour IBK et le Mali !
Une clarté dans le propos !Du courage sori de moti !
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