Dans une déclaration en date du mercredi 22 janvier 2025, des formations politiques s’inscrivent dans la dynamique de mettre fin à la transition et de retourner rapidement à l’ordre constitutionnel par l’organisation d’élections. Il s’agit des parties signataires de la déclaration du 31 mars 2024, qui renouvellent leur appel à l’inclusivité de la transition, pour trouver ensemble les solutions aux crises multidimensionnelles. Pour ces formations politiques, « sans l’ordre constitutionnel normal, il n’existe aucune chance pour le Mali de sortir des crises multidimensionnelles qui l’assaillent ».
Les Parties signataires se disent étonnées de l’absence dans le discours à la Nation du Chef de l’état, le 31 décembre 2024, de toute référence à l’organisation des élections devant mettre fin à la période transitoire. Elles dénoncent un flou artistique orchestré par les autorités autour de la question électorale et la fin de la transition.
Sans dire quelle est leur appréciation des reformes en cours, les parties signataires regrettent qu’elles sont engagées « de manière unilatérale, non concertée et sans aucun chronogramme », autrement dit en leur absence. Les observateurs s’en souviennent, certaines formations politiques n’ont pas participé aux Assises nationales de la Refondation (ANR) et d’autres à la Commission de Rédaction du Projet de la Charte nationale pour la Paix et la Réconciliation nationale, pour des motifs valables ou pas ?
On note une absence dans cette déclaration, de toute allusion à la crise sécuritaire, à la guerre contre les séparatistes et le terrorisme, qui assaillent les pays de l’AES. Les signataires dressent un tableau sombre du Mali : « absence criarde de perspectives » annonçant « des lendemains incertains pour notre pays » ; des « difficultés de toutes sortes qui accablent les Maliens ». Comme solutions, elles proposent : l’Organisation dans les meilleurs délais d’un cadre de concertation entre le Gouvernement et la classe politique ; élaboration d’un chronogramme détaillé et précis vers les élections avant la fin du premier trimestre 2025 ; le retour à l’ordre constitutionnel ; le respect des libertés démocratiques, de l’état de droit, la libération des prisonniers pour délit d’opinion ; le tout suivant une nouvelle architecture inclusive et consensuelle.
B. Daou
sangare tu es un écervelé total, personne au Mali n’a besoin de tes voleurs de politiciens comme Modibo Sidibe, Mountaga Tall, Tieblen Drame, Bittar, Moussa Joseph, Boubou Cisse, Karim Keita, Ben Barka, Hubert Coulibaly, Omar Mariko, et autres! Les memes qui ont mis le Mali dans le gouffre et sous lesquels nous avons perdu 2/3 de notre territoire national!
Daouke, les politiciens voleurs de denier public et corrompus formates par la FrancAfrique doivent être places dans la Bibliothèque de l’ histoire comme des elements dangereux a surveiller de près.
**et profiteur en plus …..😁
C’est le peuple malien qui a la solution à ses préoccupations.
IL DOIT ÉLIRE DES PERSONNES QUI INCARNENT SES PRÉOCCUPATIONS.
Pour cela une méthode,qui consiste à permettre des campagnes électorales pendant lesquelles les candidats exposent leurs solutions au peuple malien,doit être appliquée.
Il s’agit d’éclairer les électeurs!!!
DANS LES URNES LES SOLUTIONS AUX PROBLÈMES DU MALI SONT DONNÉES PAR LE PEUPLE MALIEN.
Donc ” une absence dans cette déclaration, de toute allusion à la crise sécuritaire….” est justifiée.
Ni les partis politiques, encore moins les puchistes ne doivent décider à la place du peuple malien.
ASSIMI GOITA et ses camarades sont entrain de mépriser le peuple malien en refusant d’organiser les élections.
Ils n’ont pas la solution aux problèmes du Mali.
Refuser de consulter le peuple malien, c’est s’exposer à ses sanctions.
S’il doit y avoir une consultation électorale, je conseillerais aux autorités d’organiser un référendum sur l’opportunité de supprimer les partis politiques et d’interdire à tous les politiciens de l’ancienne génération de se porter candidats. Ce n’est que lorsqu’on vous arrache la cuillère de la bouche que vous savez qu’il faut tenir compte de l’avis du peuple ! ?
Combien de fois le peuple a-t-il donné son avis que ces hommes politiques n’ont pas hésité à trahir ses espoirs et ses idéaux ? Inutile de nous faire croire le contraire, nul besoin aussi de consulter et de dépenser 80 milliards pour connaître son avis, on sait déjà que le peuple est derrière ses autorités pour redresser le pays d´abord.
Le peuple souverain signifie qu’il est seul à sanctionner.
IL NE PEUT LE FAIRE QUE DANS LES URNES.
Si vous avez peur que les hommes politiques qui ont dirigé ce pays participent aux élections,c’est un signe qu’ils ont un bon bilan.
AVEC UN MAUVAIS BILAN, ON S’EMPRESSE D’ALLER AUX ÉLECTIONS PUISQUE QUE LES ADVERSAIRES POLITIQUES VONT ÊTRE SÉVÈREMENT SANCTIONNER.
Les puchistes savent que les maliens ont envie que ceux qui ont participé à la gestion du pays reviennent à la tête du pays parmi desquels SOUMANA SACKO, MODIBO SIDIBE…
Seulement ils savent qu’ils vont appliquer à la lettre la loi fondamentale c’est-à-dire mettre à la disposition de la justice les puchistes.
Ces anciens incarnent les PRÉOCCUPATIONS ESSENTIELLES des maliens.
On refuse d’organiser lee élections pour ne pas donner l’occasion aux maliens de les élire.
C’est eux qu’on veut écarter comme on l’a fait en 2000 à OUATARA et BEDIÉ.
sangare tu es un écervelé total, personne au Mali n’a besoin de tes voleurs de politiciens comme Modibo Sidibe, Mountaga Tall, Tieblen Drame, Bittar, et autres!
Daouke, est ce que tes partis politiques nous ont demande de rentrer dans la Transition? Des entreprises familiales pour detournement de fonds publics qui doivent disparaitre et très rapidement!