Le conflit entre une Fondation turque et une entreprise malienne détenue par des investisseurs turcs continue de faire couler beaucoup d’encres et de salives. En décidant de confier les écoles “Collège Horizon” à une nouvelle Fondation désignée par le gouvernement turc, le ministère de l’Education nationale est pris à partie par des parents d’élèves qui s’interrogent : sinon comment comprendre que du jour au lendemain, un changement puisse intervenir dans un projet éducatif qui dure depuis 15 ans et qui a donné des résultats plus qu’honorables ? Qu’est-ce qui motive la décision unilatérale du ministre de tutelle ? A-t-il mesuré toutes les conséquences de son acte à moins de 40 jours de la rentrée scolaire ? Justement au ministère de l’Education, on garde une sérénité malgré la polémique et les collaborateurs du ministre Ag Erlaf pointent du doigt un montage « grotesque de quelques individus qui se sont empressés de créer depuis Paris une fondation de toutes pièces ». Dans une correspondance particulière, on explique qu’ « en 2017, sur le sol de France par des Turcs, de nationalité française et turque, après que le gouvernement turc ait décidé, en 2016, de créer une Fondation (MAARIF) à qui il a donné compétence exclusive en matière de création d’établissements d’éducation, du préscolaire à l’université, aussi bien à l’intérieur du pays qu’à l’Extérieur.
Que peut offrir une association à but non lucratif telle que l’Association internationale HORIZON à une Holding ?
Où serait l’intérêt des enfants Maliens dans cette « affaire », s’ils étaient coincés, par ignorance, entre C2S, TRUSTIN CONCEPT, DOUBLE FISH INVEST, MIE PARIS INVEST et MAVNA CAP ? ». En tous cas, les parents et les enfants ne cherchent qu’à être édifiés sur une affaire dont les tenants et les aboutissants dépassent leur compétence.
DAK
J’ai oublié de préciser pour Lala, qu’aujourdui on donne satisfaction au régime en place en Turquie, qu’adviendra si le güllenistes arrivaient aux affaires un jour là-bas ? Il est plus sage de rester en dehors des conflits qui ne nous regarde pas. Les premiers concernés de cette affaires, les 3200 élèves et leur parents n;ont rien à gagner dans ce conflit qu’on leur met sur la tête. Un conflit importé de toute pièce de Turquie.
Zié connaissez vous les gullenistes et oui on doit se soucier de nos 3200 élèves et parents. Mais surtout il faut veiller à la nature des investissements étrangers au Mali.l’argent n’a pas d’odeur mais peut etre une arme fatale et les montages financiers douteux doivent nous alerter
J’oublie de préciser que le protocole qu’on nous a présenté à la réunion garanti les emplois. j’ai due retirer mes deux enfants du collège horizon car ils tenaient des propos assez terrifiants sur fettulah gullah
je redoute qu’on les endoctrine.
En réalité les turcs du collège horizon n’investissent pas ils viennent préempte un bâtiment font un tapage publicitaire pour que les parents d’élèves paient toute l’année à un prix exorbitant de un million sans compter aux frais annexes. Ainsi les location du bâtiments est assuré, le personnel enseignant tous maliens ou africains payés au lance pierre et le tour est joué. C’est de cette façon qu’ils procédent pour ouvrir des écoles. Donc ceux sont les parents maliens en général de hauts fonctionnaires qui investissent.
Il faut etre adepte initié par cette nébuleuse pour connaitre le profit réalisé par an est expédié vers les usa pour le gourou Fettulah Gulah. C’est une secte ayant des antennes dans certains pays qui finissent par les combatrre
Oui, c’est leur façon de faire fonctionner leur business. Qui n’a pas un process ?
Moi je suis parent d’élève de cette école, Ma première fille qui est passée par là est dans une université où elle étudie en anglais, et cela sans avoir eu à faire d’autre cours de mise à niveau. Pour vous dire combien je suis satisafait de la qualité de l’enseignement dispensé dans ce groupe. Nous payons pour cela, et donc le problème ne se pose pas. Combien d’école prennent de l’argent avec les gens sans pour autant donner satisfaction ? Nombreux.
Personnellement j’ai bénéficié de l’école publique et d’une bourde de l’Etat du Mali. Et c’est ma génération qui a mis à bas ce système qui nous a bien formé pour un autre privé qui ne parvient pas à fonctionner correctement et plus discrimine un pan entier de la population. Et voilà que dans ce sytème privé, on commence à cassé cela aussi. Il ne restera plus qu’à envoyer pour ceux qui ont les moyen d’envoyer leurs enfants ailleurs en dehors du pays pour les former, car aucuns investisseurs sérieux ne viendra avec ce qui qui ce passe mettre ses sous ici.
Je fini par dire que si mon père devrait payer ma formation, moi et des milliers de cadres de ce pays serait simplement aujourd’hui des paysans dans un champ quelque part aujourd’hui.
Quelle belle maniere d’attirer les investissements au Mali,si des patrimoines prives peuvent changer de main de la sorte.
je suis d’accord
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