Transports routiers au Mali : Qui veut la peau de Youssouf Traoré ?

0

 

Youssouf Traoré, président Cmtr
Youssouf Traoré, président Cmtr

Depuis cette date jusqu’à nos jours, des individus mal intentionnés  sont entrain de  tout mettre  en œuvre pour saboter son travail ou pour lui causer des ennuis. Ainsi,  le président  du CMTR Youssouf Traoré a été l’objet d’un harcèlement sans précédent  à travers des plaintes , sans objet , déposées un peu partout (même souvent au sein des structures qui n’ont rien avoir avec le transport), des mensonges grotesques de détournement d’argent montés de toute pièce pour ternir son image et la dernière en date est le préavis de grève avec faux et usage de faux , adressé à des hautes autorités et  qui visait à paralyser le pays,  le 14 avril dernier.  Toutes ces tentatives mafieuses ayant échoué, les frondeurs, aujourd’hui,  semblent être  mis dans leurs petits souliers. En témoigne l’élection des membres de la chambre consulaire qui vient de se dérouler le samedi 25 avril, sans incidents.

Pour trouver un interlocuteur entre le monde des transporteurs et le gouvernement, ce dernier a créé le Conseil malien des Transports Routiers (CMTR). Lors de l’élection du bureau, Youssouf Traoré sera élu président en 2009. Depuis son élection à la tête du CMTR, certains individus mal intentionnés,  notamment Adama Coulibaly, baba Coulibaly, Amadou Traoré et leur mentor Sidi Moctar  Théra  ont essayé toujours de faucher l’herbe sous ses pieds.  Ces individus mal intentionnés,  dont certains  ne possèdent même pas un taxi, et qui vivaient des ristournes de la vente de billets,   ont pris  flûtes et trompettes  pour entamer  une campagne médiatique calomnieuse  et tendancieuse afin de mettre le bâton dans la roue du CMTR, discréditer son président et  semer la zizanie entre les transporteurs. Malgré un bilan élogieux, il devient, pour certains transporteurs, l’ennemi à abattre. Le dernier en date est le préavis de grève déposé afin de paralyser le pays.  N’ayant personne derrière eux, cette tentative  sera un échec cuisant, car la grève a été boycottée presqu’à 100% par les transporteurs. Pour laver l’affront, masquer la déculottée,  les  frondeurs  n’ont trouvé d’autre chose que d’organiser un carnaval de la honte au stade du 26 mars. C’est ainsi que des grévistes humiliés  se sont improvisés en farceurs, musiciens et chanteurs pour  jouer  des tam-tams, des djembé, balafons, la comédie etc.

Le constat est que les frondeurs n’ont aucune base. Mieux, pour étoffer la liste de signataires du préavis de grève, les noms de beaucoup d’associations, de syndicats ou de compagnies ont été inscrits frauduleusement sans leur consentement.

Toujours, est-il que des raisons fallacieuses ont été évoquées pour justifier la grève.

Mais il nous revient que les vraies raisons restent  inavouées. Primo, il s’agit d’une question de personne, c’est-à-dire  mettre tout en œuvre pour faire tomber le président Youssouf Traoré. Secundo, la plupart des frondeurs ne sont pas des transporteurs et ceux qui en sont ne sont pas en règle pour s’inscrire sur la liste de l’élection de la chambre consulaire des transporteurs. Eliminés d’emblée par leur propre faute, pris dans leur propre piège, ces gens ne pouvaient  que de pousser des cris d’orfraie.

Moussa Diarra

Email : [email protected]

 

Commentaires via Facebook :