Donc des usurpateurs de titre qui sont soutenus pour cette sale besogne par Moctar Théra comme bétail électoral. Rappelons que ce dernier n’a jamais digéré sa défaite cinglante en 2007 et attend reprendre sa revanche par tous les moyens ubuesques pour parvenir à ses fins. La seule raison de leur agitation s’explique par le fait qu’ils ne répondent pas à tous les critères établis pour être électeur et éligible à l’élection consulaire du CMTR du 25 avril prochain à savoir le paiement des cotisations des impôts et taxes c’est-à-dire la patente ou l’impôt synthétique, l’attestation INPS des trois dernières années(2014, 2013, 2012) et avoir un matériel roulant(taxi, sotrama, camion, car et autres gros porteurs). La seule carte professionnelle dont chacun peut se procurer sur le marché noir avec l’avènement des NTIC, n’est pas la seule condition pour être électeur ou éligible.
Après avoir vainement demandé la dissolution du bureau du conseil malien des transporteurs routiers du Mali dirigé par Youssouf Traoré au motif que son mandat est arrivé à terme depuis 2012 sous le régime d’ATT, puis lors de la transition sous Dioncounda Traoré et avec le régime actuel à travers l’ancien premier ministre Moussa Mara, les adversaires invétérés pardon les agitateurs enragés du président du CMTR viennent de se signaler une fois de plus en tombant honteusement dans des mensonges absurdes et ubuesques dont eux seuls possèdent le secret. On se rappelle ce sont ces mêmes personnes qui avaient monté une cabale contre le président du CMTR en l’accusant fallacieusement de détournements de fonds du conseil sans la moindre preuve fondée. Après avoir tout tenté mais en vain pour éliminer Youssouf Traoré, ces agitateurs enragés n’avaient d’autres moyens que de faire recourir maintenant au mensonge pour soulager leur conscience (s’ils en ont d’ailleurs) et masquer leur honte. En effet il n’est un secret de polichinelle que dès l’arrivée de Mamadou Hachim Koumaré, ces trois personnes citées plus haut l’avaient demandé de dissoudre le bureau du CMTR au profit d’un collège transitoire au motif que le mandat est terminé depuis 2012 alors que le mandat s’est achevé en 2013 car il n’a démarré qu’en 2008 suite à une année de procédure judiciaire enclenchée par Moctar Théra (aidé à l’époque par Jeamille Bittar) qui avait été battu à plate couture en 2007. Ce dont le ministre a rétorqué si c’est tel le cas pourquoi un collège transitoire et non une élection conformément aux statuts du conseil malien des transporteurs routiers du Mali.
Voici ce que dit l’article 7 du décret du 8 septembre 2004 fixant l’organisation et les modalités du fonctionnement du CMTR
C’est ainsi qu’une réunion a regroupé tous les responsables des différents syndicats et groupements de transport et le CMTR au ministère de l’Equipement, des transports et du Désenclavement pour fixer en commun accord la date du 4 Avril 2015 (dont nous avons en notre possession une copie du PV de la réunion) d’où l’arrêté No 3480 METD-SG du 4 novembre 2014. Fidèle au décret du 8 septembre 2004 dans son article 7, l’arrêté du ministre n’est que le prolongement de ce décret en fixant la date et les critères pour être électeur et éligible. Ainsi l’article 7 est formel, pour être électeur et éligible, il faut être à jour dans le paiement des cotisations, des impôts et taxes des trois dernières années (2014, 2013, 2012) c’est-à-dire le payement de la patente ou de l’impôt synthétique, l’attestation INPS et le registre du commerce. Cela veut dire il ne suffit pas d’être détenteur d’une carte professionnelle alors qu’on ne possède pas de matériel roulant (taxi, sotrama, camion, car et autres gros porteurs). Mais ce dont le ministre ne savait pas, c’est que ces agitateurs enragés n’ont plus la qualité d’être appelés des transporteurs car ne possédant aucun matériel roulant mais uniquement des cartes professionnelles dont chacun peut se procurer dans le marché noir avec l’avènement des nouvelles technologies de l’information. Pour masquer cela, ils demandent et obtiennent un prolongement de délai de 21 jours pour réunir les documents nécessaires pour être en règle. Aussitôt une nouvelle réunion est convoquée au département en présence de tous les syndicats et groupements et les responsables du CMTR et en commun accord une nouvelle date fut fixée au 26 Avril prochain d’où l’arrêté No 0206 METD-SG du 2 mars 2015. Au lieu d’aller s’inscrire sur les listes, ces agitateurs décident d’attaquer l’arrêté du ministre au niveau de la section administrative de la Cour suprême car ils estiment que les critères sont très rigides pour eux. Quel ridicule ? Comment prétend-t-on réclamer ses droits et ne pouvant pas honorer ses devoirs vis-à-vis de l’Etat ? Sommes- nous donc dans une jungle ? Sont-ils au dessus de la loi ? Pourtant au CMTR, il suffit d’être à jour dans le paiement des cotisations, impôts et taxes c’est-à-dire la patente ou l’impôt synthétique, l’attestation INPS et le registre de commerce et surtout ne pas être sous le coup d’une incapacité ou d’une déchéance des trois dernières années(2014, 2013, 2012) pour être électeur et éligible à la fois alors qu’à la chambre de commerce d’industrie du Mali CCIM, les critères sont plus rigides et personne n’a crié au complot. En effet pour uniquement électeur, il faudrait fournir les pièces de la patente ou de l’impôt synthétique, de l’attestation INPS des trois dernières années (2014, 2013, 2012) et du registre de commerce tandis que pour être candidat, il faudrait de la patente ou de l’impôt synthétique, de l’attestation INPS des cinq dernières années (2014, 2013, 2012, 2011, 2010) et du registre de commerce. La question qui se pose comment peut-on être un transporteur sérieux sans être en règle de ses devoirs vis-à-vis de l’Etat et espérer que l’Etat leur vienne en aide. Contrairement à la CCIM où les inscriptions ont duré 30 jours et ont été bouclées à 18 heures, les inscriptions au CMTR ont duré 40 jours et ont duré jusqu’à minuit. Ce dont le ministre a compris la mauvaise foi manifeste de ces agitateurs qui pensent prendre en otage la marche en avant le transport malien et du coup il est resté intransigeant sur le délai du 25 Avril et surtout sur les critères établis. Face à cette intransigeance du ministre Koumaré, ces personnes malintentionnées avaient tenté de tromper la vigilance en vain du premier ministre Modibo Keita comme ils avaient réussi avec l’ancien Moussa Mara. En réalité ces personnes ne sont que des marionnettes de Moctar Théra pour tenter de contrer la popularité de Youssouf Traoré qui se dirige vers un nouveau mandat le 25 Avril 2015. C’est dire que même si on donnait une année, ces agitateurs qui ne sont qu’en réalité que des usurpateurs de titre ne pourront pas remplir les critères tout simplement ils ne possèdent aucun matériel roulant (taxi, camion, car et autres gros porteurs). Et tous ces agitateurs sont connus pour être des coxeurs et des syndicalistes, des … hors pair. Quant à Moctar Théra, leur parrain tapis dans l’ombre, lui compte sur ces agitateurs enragés comme bétail électoral pour prendre sa revanche de 2007 où il a été battu à plate couture. Sinon comment comprendre qu’il refuse de s’inscrire alors qu’il a payé tous ses droits.
La belle fin de l’époque des usurpateurs de titre, bientôt tournée !
Ayant épuisé toutes leurs stratégies de nuisance, ces agitateurs tentent un dernier baroud ‘honneur en tombant honteusement dans des mensonges absurdes et ubuesques en accusant le ministre de l’équipement, des transports et du Désenclavement de tripatouillage de textes au profit de Youssouf Traoré. Mais ils oublient que la pagaille et le désordre qu’ils ont toujours entretenu, sont à jamais révolus. Contrairement à ce que l’on veut faire croire tous les détenteurs des matériels roulants c’est-à-dire les vrais transporteurs et le bureau du conseil malien des transporteurs routiers du Mali d’une part et d’autre entre ledit bureau et les coordinations régionales travaillent en parfaite symbiose et en parfaite harmonie. « Il n’y a aucun problème entre les transporteurs du Mali. S’il y a problème c’est certainement pour des soit disant transporteurs qui ne possèdent pas de matériels roulants en conséquence ne peuvent pas en règle vis-à-vis des impôts. Ils peuvent continuer à amuser la galerie car pour nous le chien va aboyer et la caravane passera le 25 avril prochain » confie un transporteur. Il ne fait aucun doute aujourd’hui que ces usurpateurs de titre sont en train de souffler leur dernière bougie car des poursuites judiciaires sont en cours pour faux et usage de faux,
Moussa Bamba