Des chiffres qui suscitent doute et suspicions au niveau de la population qui n’y a ressenti aucun impact.
En effet, selon ledit rapport, ces 2455 emplois se répartissent comme suit : 210 créés par la Cellule des Travaux Routiers d’Urgence (CETRU) dans le cadre de l’entretien des pistes CMDT/OHVN, 895 emplois à travers l’AGEROUTE pour l’entretien courant des routes. S’y ajoutent 1158 emplois créés par la Direction nationale des routes pour la réhabilitation et l’entretien périodique des routes, 156 empois à travers l’ANAC pour les clôtures et infrastructures aéronautiques et enfin 36 emplois à travers la Direction nationale des transports terrestres maritimes et fluviaux(DNTTMF).
Des chiffres qui n’inspirent aucun crédit aux yeux de la majorité des personnes interrogées sur la question, qui en voient plutôt de la poudre aux yeux. Surtout que les nombreux emplois crées dans le laps de temps indiqué sont occupés par des postulants n’ayant pas le statut requis. Une autre perle de la manche.
Rassemblés par Georges Diarra
