L’accès au CICB : Le couloir de la mort

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Nombreux sont des usagers de la route à dénoncer le comportement peu orthodoxe des responsables en charge de l’entretien des routes, les dégradations, le manque de feu tricolores, de panneaux de signalisations, l’accessibilité des routes, bref sont autant de questions que reprochent les usagers de la route aux départements des transports, de l’équipement et du désenclavement.

Rien ne va plus en ces temps-ci pour les usagers de la route en cette  période d’insécurité, les accidents intempestives soldés par des pertes de vies humaines est la cause principale. Conséquence, des dizaines de personnes sont devenues des handicapés physiques.

Dans le souci de réduire l’excès des accidents liés à la circulation routière,  l’Etat et ses partenaires déboursent des gros moyens en faveur des populations. Malheureusement ces efforts sont broyés au sol par certaines personnes malintentionnées qui ne songent non seulement qu’à l’intérêt personnel.

Pour preuve, l’accès au Centre International des Conférences de Bamako communément appelé CICB est devenu un enfer  en ces temps-ci pour les usagers.

Les SOTRAMAS sèment du désordre total et gare-à celui qui dénonce cet état de fait, il est inutilement insulté de père en fils par des apprentis chauffeurs. Mais le hic est que, cela se passe sur le nez des agents de la circulation routière sans que ces derniers ne lèvent le petit doigt pour sanctionner.

Selon nos sources, cette mauvaise pratique a pris de l’ampleur et est source de revenus pour certains agents de la circulation routière. Selon nos sources, chaque véhicule  SOMATRA est sanctionné de payer  500 F CFA. C’est pourquoi ces fameux chauffards n’hésitent pas à semer le désordre.

Selon nos sources, sous l’effet de la drogue ces fameux chauffards n’ont aucun respect envers les usagers de la route tout simplement parce qu’ils se sont acquittés de leur devoir c’est-à-dire donner 500 F aux policiers.

Quelle injustice !

Nous y reviendrons

Yacouba Dembélé

 

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