Les usages de la circulation routière sont aujourd’hui à un stade d’incivisme si profond qu’il faille craindre la catastrophe.rn
Il suffit de faire un tour en ville pour se rendre compte de l’évidence. Motocyclistes, conducteurs de Bus, de Sotrama, de véhicules personnels, bref, conducteurs de tout bord, circulent dans la plus grande anarchie. Le non respect des feux tricolores, des priorités au niveau des ronds-points et autres croisements pose beaucoup de tort aux usagers de la route. Ce constat si amer soulève à nouveau le problème de la délivrance des permis de conduire déjà décrié par le chef de l’Etat qui sont, dit-il, délivrés dans les salons.
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Il est donc temps que nos agents de sécurité chargés de la circulation routière redoublent d’effort enfin de réguler la circulation routière dans notre capitale. Les « Caratos », entendez les casse-cous qui circulent comme bon leur semble doivent être appréhendés et verbaliser pour servir de garde fou aux autres usagers. Dans tous les cas, la situation est si dramatique qu’on ne doit rester les bras croisés. Face à l’ampleur de la situation et aux dégâts causés par ces « Vagabonds » de la circulation nous lançons un crie d’alarme afin que les dispositions urgentes soient prisent pour sauver ce qui peut encore l’être. Trop c’est trop. Evitons le K.O!
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Esdras B. Keïta
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