Il pense pouvoir remporter l’élection sur la base du travail qu’il a effectué en terme de campagne électorale, notamment avec l’appui des régions où il se sent plus fort que son adversaire déclaré, le transitaire Baba Traoré, à qui le monde des affaires reproche une campagne électorale pas du tout tranchante pour déboulonner Babalaye encore vissé sur son fauteuil.
Mais visser n’est pas vicier, en pensant à l’atmosphère qu’on pourrait vivre si Babalaye continue de faire le pied de nez à ses adversaires. Ces derniers lui font déjà le procès de ne compter que sur sa proximité de la famille présidentielle, oubliant les nombreuses casseroles très bruyantes qu’il est en train de trainer au niveau de sa gestion de l’institution consulaire.
En effet, il a été épinglé à plusieurs reprises dans des rapports de vérification de sa gestion et curieusement lesdits rapports ont été mis sous le coude par l’Administration publique. Pourquoi ? Mystère et boule de gomme !
De toute façon, par glissement, l’élection au Conseil malien des chargeurs se glisse progressivement vers une contestation pure et simple de la gestion de Babalaye et par conséquent de sa présence à la tête de cette chambre consulaire. Affaire à suivre !
C.M.D.
mon grand frère babalaye daou a nourri ibk avant même qu’il ne devienne ministre. sachez-le.
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