Plus qu’un rêve, réaliser des infrastructures routières dans la région de Ségou est, pour le ministre, Mamadou Hachim Koumaré, devenu une obsession. L’on se demande à présent s’il est ministre du pays ou de Ségou.
Ségou, toujours Ségou, rien que Ségou ! Qu’il pleuve ou qu’il neige, le ministre Koumaré se rend à Ségou. A peine s’il arrive à prononcer ses mots, le ministre de l’équipement, des transports et du désenclavement tente pourtant de faire de Ségou sa ville nationale, la plus moderne en infrastructures (routes, caniveaux et autres). Une constance : depuis son arrivée à la tête de ce département, le « vieil » homme n’a de préoccupations que de se pavaner dans les rues de Ségou pour ainsi dire se rassurer de l’évolution des chantiers présidentiels. Sauf qu’il consacre le plus de son temps et d’attention aux travaux qui concernent uniquement la 4e région. Toute chose qui agace non seulement nombre de citoyens mais aussi certains de ses collègues qui voient en lui un ministre qui n’a d’initiatives que pour la région de Ségou.
Selon des indiscrétions, l’attitude du ministre en charge de transports est dictée par des considérations purement sociales car, il se murmure dans la cité des Balanzans qu’il n’a rien fait pour aider sa contrée dans son développement. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle beaucoup ne lui accordent pas assez d’importance dans la cité des Balazans. Au même moment, dans d’autres contrées, ce sont des routes qui sont laissées pour compte sans le moindre souci du ministre Koumaré et de son département.
Demandez au ministre de l’équipement et des transports la situation de dégradation des routes des zones minières ou de celles des régions du nord notamment, Mopti-Gao, Mopti-Tombouctou, il préfère interroger les archives. Que dire même de l’état dans lequel les routes urbaines, surtout dans la capitale ? Le ministre Koumaré vous dira simplement que des efforts sont en cours pour parer à la situation alors que sur le terrain, il est difficile sinon impossible de rallier certains quartiers de la capitale.
Spécialiste des actions d’éclat, le chef du département de l’équipement et des transports fait croire chaque fois qu’il à l’occasion que la promesse présidentielle est en train de se tenir comme la semaine dernière à Ségou.
A voir ce ministre, ancien haut cadre de l’Asecna, faire des visites sans résultat à Ségou, on se demande selon quel critère le chef de l’Etat a pu le nommer à un poste aussi stratégique dans le développement d’un pays en crise et où la réalisation des routes est plus qu’un facteur de stabilité. Des sources, c’est normal que Ségou soit la destination prisée du ministre car c’est le seul endroit dans notre pays où une route a été reprise, peut-être pour son confort personnel. C’est pourquoi des voix s’élèvent pour désavouer un ministre qui se déplace uniquement dans sa ville natale. D’où l’embarrassante question de savoir si Mamadou Hachim Koumaré est ministre de la République du Mali ou de la Ségou. Lui seul pourra nous le dire.
Nous y reviendrons !
Djibril Traoré
je comprend la colere de celui ci mais saches que mr koumare ne peut pas prendre la decision de faire ce qu il veut de segou ou du mali il faut l accord du gouvernement moi je ss pas de segou et si segou bien c est le mali
je comprend la colere de celui ci mais saches que mr koumare ne peut pas prendre la decision de faire ce qu il veut de segou ou du mali il faut l accord du gouvernement moi je ss pas de segou et si segou bien c est le mali
Madame Ba comment pouvez vous repondre a la place de ce mec. Rien ne se deroule comme normal au Mali.
Madame Ba comment pouvez vous repondre a la place de ce mec. Rien ne se deroule comme normal au Mali.
Bonjour Mamadou hachim n'est pas le ministre de Segou ses le ministre du mali
Bonjour Mamadou hachim n'est pas le ministre de Segou ses le ministre du mali
segou fait partie du mali fait un tour a segou pour voir depuis la can 2002 la ville de segou n’a eu 1m de route bitume alors que segou fait partie des quatre grand localité du mali après bamako sikasso et kayes c’est segou qui viens en terme de richesse économique.
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