Dans la nuit de mercredi à jeudi 24 juillet, le vol AH 5017 de la compagnie Air Algérie en provenance de Ouagadougou pour Alger, s’est écrasé dans la région de Gao. Le président IBK s’est planté sur le lieu de l’accident, le situant à Aguelhok avant de laisser toutes les initiatives au Burkina Faso qui s’est retrouvé en maître des lieux et de l’info vraie sur notre sol.
Un nouvel drame vient de se produire sur nos terres. Un vol d’Air Algérie a crashé aux environs de Gossi, précisément dans le village de Boulikessi. L’avion avait décollé de Ouagadougou un peu tard la nuit, le mercredi 23 juillet.
Moins d’une heure plus tard (50 minutes après), le pilote aurait demandé une autorisation de dévier de satrajectoire. Après plus de nouvelle. Il a disparu des radars. Ce n’est qu’aux environs de 9h 30 que l’information est tombée : le vol AH 5017 d’Air Algérie s’est crashé en territoire malien, non loin de la ville de Gossi à 150 km de Gao.
Et les recherches de commencer. La France et le Burkina en première ligne. Il se dit que c’est un nomade de la zone qui, faute d’autorités maliennes dans la zone, s’est rabattu sur le Burkina (à 50 km de la zone de l’impact) pour passer l’information. Ce pays a dépêché dans la zone des équipes de recherche. Tantôt, on parlait de Kidal, tantôt d’Aguelhok.
Les informations se contredisaient en provenance d’autres pays, pendant que chez nous ce n’est que tard dans l’après-midi qu’on réalisera ce qui se passait et une équipe fut mise en place, composée de certains départements ministériels.
Et pour ne rien arranger, c’est notre pays qui a commis la plus grosse bourde en faisant annoncer par notre président que l’épave de l’avion avait été découverte entre Kidal et Aguelhok.
Sur les causes du crash, les explications divergent. Trois hypothèses ont été émises : un tir de missile, une bombe embarquée à bord de l’avion ou l’orage. La dernière a finalement été retenue, même si les autres ne sont pas totalement écartées. Les analystes ont, en tout cas, affirmé et même essayé de démontrer que dans le Nord du Mali, les groupes armés qui sévissent ne disposent pas de missiles capables de tirer un avion volant à cette altitude. Le vol d’Air Algérie se trouvait à 31000 pieds (près de 10 km) quand les équipes au sol perdaient son contact.
Bamako au garde-à-vous
Pour ce qui est de la piste de l’orage, les analystes l’expliquent par le fait que le temps était très mauvais dans la zone et que le pilote et la dame qui servait de co-pilote ont dû perdre le contrôle et l’avion,qui a piqué du nez et s’est écrasé à la verticale. D’ailleurs, il a été dit plus tard que les deux personnes n’étaient pas des pilotes exerçant à plein temps.
Ils avaient quitté leur employeur précédent pour des problèmes de salaires. Ils n’exerçaient plus que partiellement le pilotage. La dame avait d’ailleurs ouvert une garderie pendant que le pilote avait signé un contrat de courte durée avec Swift Air. En plus, ils ne maîtrisaient pas la ligne. Ce vol devait être le premier pour eux.
Aussitôt informé du crash de l’avion d’Air Algérie transportant plus d’une cinquantaine de leurs ressortissants, les Français ont fait décoller de N’Djamena au Tchad, où ils disposent d’une base, deux avions Apache pour retrouver l’épave. Ensuite, c’est de Niamey que les drones français stationnés entrèrent en action. Et c’est un drone qui a, dans l’après-midi, découvert les restes de l’avion. Après que le Burkina eut informé du lieu où se trouvait l’avion. Pendant ce temps, au Mali, on parlait d’entre Kidal et Aguelhok.
Le Burkina savait donc où l’avion s’était crashé, mais a attendu que la France entre en action pour s’exprimer. Ensuite, ils se sont comportés sur notre territoire comme s’ils se trouvaient chez eux. Alors même que l’avion n’a fait que décoller de ce pays. C’est au Mali que s’est produit le drame, mais c’est le Burkina qui a dépêché la première équipe sur les lieux à travers le chef d’état-major particulier du président du Faso, le général Gilbert Diendjéré.
C’est lui qui est intervenu sur les ondes internationales. C’est aussi lui qui s’est déplacé, en territoire malien, avec des journalistes et a permis la diffusion des premières images. Le Burkina devenait la première source d’information du monde entier.
Et au Mali, pendant ce temps ? Rien ! Absolument rien. Les initiatives venaient d’ailleurs. Pour couronner le tout, le président Blaise Compaoré s’est rendu sur les lieux de l’accident, pendant qu’Ibrahim Boubacar Kéita se trouvait encore dans la capitale malienne.
Kady Diagne
On aurait pu larguer des commandos para labas ou envoyer une unites
des gendarmerie ou de la police
Ibk voulait pkutot faire des exonomies car il y avait qu un seul Malien
Mme la journaliste, je vous informe que lorsque le Burkina a eu l’info sur la position de l’épave il a immédiatement alerté Bamako qui a dit ne pas avoir de moyens pour se rendre dans la zone. L’armée burkinabé est intervenu en accord avec les autorités du Mali(il ne peut en être autrement) avec ses moyens aériens . Ils ont fait vite en pensant trouver des survivants a secourir.
si le président burkinabé n’avait pas téléphoné à IBK ,ce dernier ne serait pas encore au courant de ce qui se passe dans son pays 😉 😉 😉 😉 les autres candidats étaient ils encore plus nuls que lui pour que vous lui ayez donné 77% des voix ?? 😉 😉 😉 😉
Pour ce qui est de la chute de 10.000m en 3 minutes ,d’après des experts ca semble peu probable ,parce que les cadavres sont éparpillés en pièces détachées sur une très grande surface ,donc le fait d’un probable attentat n’est pas à exclure .
Sur les victimes françaises ,pas le moindre mot en France sur d’éventuels militaires ,juste que quelques familles de militaires rentraient de vacances au Burkina .
Parmi les victimes, on dénombrerait 33 militaires français et 3 officiers supérieurs du Renseignement français. Alors que la presse internationale reprend et commente cette information, la presse française la cache à ses lecteurs.
L’avion aurait subitement chuté de 10 000 mètres en 3 minutes et se serait pulvérisé au sol. Le Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) français travaille sur l’hypothèse d’un accident imputable à un orage sans pour autant écarter la piste d’un attentat.
Air France a décidé de dérouter jusqu’à nouvel ordre tous ses avions passant par cette zone.
Par ailleurs une victime libanaise, voyageant sous une fausse identité, était un des principaux responsables du financement du Hezbollah.
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