Circulation routière : L’accident n’est pas une fatalité

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               L’altération des facultés mentales et psychiques due à l’alcool est un facteur déterminant qui influe tant sur le risque d’accident de la route que sur la gravité des blessures causées par ledit accident.

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                En effet, la fréquence de la conduite sous l’emprise de l’alcool fait plus de dégats que jamais. Car la prise d’alcool constitue une des causes majeures des drames de la circulation.  
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                 La mesure dans laquelle l’alcool contribue aux accidents de la route variant selon les pays et leurs habitudes sociales, il est donc difficile, à cet égard, de faire  des comparaisons directes.

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                Cependant, selon des études, dans un  nombre important de pays à revenu élevé, près de 20% des conducteurs victimes d’accident mortel ont un taux d’alcoolémie excessif supérieur à la limite légalement admise. Ainsi des études réalisées dans des pays à faible revenu ont montré qu’entre 33% et 69% des conducteurs mortellement blessés avaient de l’alcool dans le sang.

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Des facteurs de risque d’accident

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                Rappelons que le risque d’accident dépend du taux d’alcoolémie. Autrement dit, ce risque augmente ou diminue selon la quantité d’alcool ingurgitée. Aussi, les conducteurs qui boivent ont beaucoup plus de risques d’être impliqués dans des accidents de la circulation que ceux qui n’ont pas d’alcool dans le sang.

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                De même, toute drogue ayant des effets pervers sur le système nerveux central peut altérer les facultés d’un conducteur. D’autres excitants ou “annihilants” provoquent des conséquences aussi nocives sur la conduite de l’usager e la route.

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                C’est le cas de certaines drogues qui sont utilisées à des fins  médicales ou récréatives. Et pourtant, les effets sur leurs performances et leur rôle dans les accidents de la circulation sont beaucoup moins bien connus que ceux de l’alcool.

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Comment empêcher la conduite sous l’effet de l’alcool ?

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                Certaines mesures, si elles sont adoptées et formellement appliquées, pourraient réduire considérablement les accidents et leurs risques. Telle que la fixation du taux maximum d’alcoolémie chez un conducteur.

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                Au delà  de ce taux, l’usager doit forcément écoper d’une sanction très sévère. Une autre sanction pourrait consister à  condamner toute personne conduisant en état d’ivresse.

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                Quand on sait que l’accident de la route n’est pas une fatalité, l’une des alternatives les plus porteuses de résultats positifs consiste à appliquer des mesures de ce genre.

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Mariétou KONATE

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