Vols de cables à la Sotelma : Des cadres sur le ban des accusés

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     Depuis un certain temps la Société des Télécommunications du Mali (Sotelma) est victime de vols qualifiés de ses câbles. Causant de nombreux manques à gagner pour cette société pilote. Malgré de nombreuses investigations, des interpellations, l’affaire demeurait sans suite. Aujourd’hui, l’on n’est pas loin d’un épilogue favorable pour la société au détriment de nombreux cadres véreux tapis dans l’ombre avec l’arrestation d’une vingtaine de personnes à la veille de la fête du Ramadan.

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            Longtemps annoncée  dans les colonnes des journaux, cette affaire, ayant fait perde des centaines de millions à la Sotelma est, semble-t-il, en train de trouver un dénouement heureux. Car, comme on le dit, pour vivre heureux vivons cacher. Sans crier sur tous les toits, avec l’ambition de servir son pays, le nouveau PDG Lassana N’Diaye a entrepris des actions salutaires. Depuis, des actes concrets se posent de plus en plus pour sortir la société de l’ornière. C’est dans ce souci de bien faire qu’a été entrepris la lutte contre les fraudeurs, les voleurs de câbles. Alors, à la veille de la fête de Ramadan, une vingtaine de personnes, affirme-t-on, aura été appréhendée par les forces de l’ordre. Interrogés, les accusés, dont des cadres de la centrale téléphonique ont fait des révélations accablantes.

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            Ainsi, ils auraient dénoncé de nombreux cadres véreux de la société pétris dans l’ombre. Ceux-ci, semblent être les vrais instigateurs de ces vols de câbles. En attendant que la lumière soit totalement faite sur cette affaire par les autorités compétentes, à la Sotelma, on semble opter pour le silence radio.

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            En tout état de cause, les noms qui circulent derrière cette affaire rocambolesque vous couperont le souffle dans les jours à venir. Parce que l’on ne peut pas imaginer que des gens, qui, depuis des années vivent grâce à cette société puissent se permettre de la détruire à petit feu. Pour des intérêts égoïstes, inavoués et personnels. Alors, sans pitié qu’ils soient jugés comme des criminels. Nous y reviendrons !                                                                      

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B. DABO 

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