Malitel a procédé, le samedi 9 juillet 2011, au 2ème tirage de sa Super Tombola. C’était sous la présidence du Directeur administratif et financier, Mohamed Nahimi. Le tirage s’est fait sous la supervision de Maître Thiam, Huissier de Justice.
Le samedi 9 juillet, aux environs de 9 heures 30 minutes, les journalistes de la presse publique et privée de notre capitale avaient pris d’assaut la salle de conférences du siège de Malitel. Objectif, suivre le 2ème tirage de la Super Tombola Malitel.
Avant le démarrage effectif de la cérémonie, le Directeur administratif et financier de Malitel, Mohamed Nahimi, a déclaré que c’était un honneur pour lui de lancer le deuxième tirage de la Super Tombola. Il a, ensuite, souligné que le bénéfice du premier tirage avait déjà profité à un client de Kayes. «Nous réalisons des recrutements, le réseau Malitel s’agrandit de jour en jour. Plus il y aura des clients, plus il y aura des lots plus importants dans l’avenir», a-t-il affirmé.
Expliquant le principe de la Super Tombola, le technicien Ouattara a souligné qu’il restait 11 véhicules 4×4 Vitara et 33 motos Jakarta à gagner. Il a ensuite précisé qu’il s’agissait de 3 motos tous les mois. On prend en compte tous les participants tous les 10 jours. Pour les véhicules 4×4, c’est tous les 30 jours, soit un véhicule par mois. On peut jouer en envoyant un SMS au 35035 Malitel.
Le tirage, selon Me Thiam, est le fruit d’un pur hasard et c’est sous son contrôle que le technicien Ouatatara a procédé au tirage de la 3ème moto du mois. Le détenteur du numéro 66 52 00 04 fut l’heureux gagnant. Il s’agit de Drahmane Sacko. Les numéros gagnants des 1er et 2ème tirage pour la première et deuxième moto sont respectivement 66 90 45 37 et 66 78 34 52.
L’autre tirage, concernant le véhicule 4X4, est tombé sur le numéro 66 79 03 46. Mohamed Nahimi a aussitôt passé le premier coup de fil vers ce numéro. A l’autre bout du fil, c’est un certain Seydou Coulibaly qui répondit à l’appel. Il explosa aussitôt de joie quand Mohamed Nahimi lui apprit qu’il venait de gagner une 4×4 Vitara à la Super Tombola Malitel. Seydou Coulibaly est le promoteur d’un cabinet d’expertise conseil à Bamako.
Pierre Fo’o Medjo
Le Secrétaire général du SYNTEL l’affirme:
«L’AMO n’est plus d’actualité à la SOTELMA»
Le SYNTEL (Syndicat national des télécommunications) a tenu son Assemblée générale, le jeudi 7 juillet, à son ancien siège à l’Hippodrome. C’était sous la présidence de son Secrétaire général, Daouda Traoré. Il était entouré des membres du Bureau et d’un représentant de l’UNTM.
L’Assemblée générale du SYNTEL, tenue le jeudi 7 juillet 2011, a enregistré la présence de presque tous ses membres. Tout simplement parce que plusieurs sujets inscrits à l’Ordre du jour avaient suscité cette importante mobilisation. Aussi, le Secrétaire général ne s’est-il pas attardé sur le compte-rendu de la dernière Assemblée générale. Il a aussitôt ouvert les débats sur la participation des travailleurs dans le capital de SOTELMA et a confié à ses camarades qu’une correspondance avait déjà été envoyée à la Direction générale de la Sotelma et que les négociations étaient en bonne voie.
Par rapport à l’AMO, autre sujet d’actualité, Daouda Traoré a été on ne peut plus clair: «on va quitter l’AMO avec la manière. Les demandes de non adhésion à l’AMO de tous les travailleurs entraînent automatiquement sa suspension. A partir d’aujourd’hui, l’AMO n’est plus d’actualité à la SOTELMA» a-t-il affirmé.
Il a ensuite annoncé l’entrée en vigueur d’une assurance complète au niveau de la boîte. Celle-ci, selon lui, concernera toute la famille du travailleur et seule l’évacuation ne s’appliquera qu’aux seuls collaborateurs. D’autre part, chaque employé de la boîte est désormais assuré à hauteur de 20 millions de FCFA et l’hospitalisation prise en charge jusqu’à 30 000 FCFA par jour. Un salarié a d’ailleurs déjà été évacué, accompagné de son frère et du médecin de la SOTELMA.
Parlant des habitats sociaux, Daouda Traoré a expliqué que le seul point de blocage se trouvait dorénavant au niveau des banques. Avant d’ajouter : «plusieurs entreprises nous ont déjà démarchés». Il a ensuite abordé le problème du foncier, indiqué qu’un certain nombre de sites avaient déjà été réservés aux travailleurs de SOTELMA et parlé des difficultés avec la société immobilière et aussi du contentieux avec l’ancien Bureau du SYNTEL relatif au foncier.
Pour terminer, Daouda Traoré a soulevé le problème du Directeur des Ressources Humaines qui, selon la décision prise lors de la dernière Assemblée générale, ne représente plus les travailleurs de SOTELMA et, surtout, les incohérences observées dans le traitement des salaires.
Pierre Fo’o Medjo
