Renforcer la visibilité de l’opérateur historique de téléphonie au Mali et offrir des opportunités de stages et d’embauche aux étudiants de l’Institut Africain de Management. Voilà, entre autres, les objectifs recherchés par une convention qui vient d’être signée entre la société de téléphonie Sotelma / Malitel et l’Institut Africain de Management.
Ce protocole d’accord, qui a été signé le samedi 26 avril 2014 entre le Directeur général de Malitel, Mohamed Morchid et Bagnick Guissé, le Directeur général de l’Institut Africain de Management (IAM), fixe les contours d’un partenariat entre ces deux modèles de réussite d’entreprises maliennes.
Grâce à cet accord, les étudiants de l’IAM disposent désormais de passeports pour des stages à Malitel, avec possibilité d’embauche. Une belle opportunité donc, que les étudiants de l’IAM attendaient depuis longtemps. «On ne pouvait espérer mieux. La convention va nous permettre, d’après les explications qu’on nous a données, d’aller faire des stages à Malitel, une entreprise qui fait rêver bon nombre d’entre nous» nous a confié une étudiante de l’Institut, visiblement très heureuse de la signature de cette convention, qui va aussi permettre l’assistance pédagogique.
Pour Bagnick Guissé, la présence du Directeur général de Malitel atteste de l’engagement de la société à donner ce qu’elle a de mieux à la jeunesse malienne. Bagnick Guissé a aussi déclaré que l’IAM était fier d’avoir Malitel à ses côtés pour pratiquer le management au Mali.
Selon lui, l’IAM entend aussi contribuer, en fonction de ses moyens, à la promotion de la jeunesse et de l’esprit d’entreprenariat au Mali. En apposant sa signature au bas du document, le Directeur général de Malitel, Mohamed Morchid, a expliqué que son entreprise et l’IAM étaient des exemples de réussite au Mali.
Tout en se réjouissant de l’accord, le Directeur général de Malitel a souhaité que ce partenariat soit le plus fructueux possible. Signalons que l’IAM est un groupe qui existe depuis 1996. Il a des filières au Gabon, au Burkina Faso et à Tambacounda, au Sénégal. Au Mali, il a ouvert ses portes avec deux filières en 2005 et bénéficie de l’accréditation de l’UQAC (Canada), de l’Agence de la Francophonie
et, surtout, du Conseil Africain et Malgache de l’Enseignement Supérieur (CAMES).
Yaya Samaké
Malitel en a fort besoin, tant sa ressource humaine est obsolète.
Comments are closed.