Une pluie d’interrogations légitimes commencent à fuser de partout sur la procédure législative du budget de l’exercice 2021, au regard du retard quasi irrattrapable qu’a accusé la mise en place du Conseil National de Transition. Avec la dissolution de fait de l’Assemblée nationale, ce nouvel organe législatif de substitution est normalement toute désignée et habilitée pour examiner la Loi de finances dont la procédure est habituellement bouclée en décembre de chaque année selon les dispositions constitutionnelle en vigueur. Or il nous revient, de source bien introduite, que les autorités de Transition n’ont même pas daigné observer les traditionnels arbitrages budgétaires qui précèdent l’élaboration et l’examen de la Loi de finances par la représentation populaire. Tout indique, en définitive, que des inscriptions arbitraires vont l’emporter sur lesdits arbitrages et que le mécanisme pourrait également se suffire d’une simple ordonnance en lieu et place d’un vote par le Conseil National de Transition. A noter au passage qu’un récent collectif budgétaire pris sur la pointe des pieds est déjà passé par le même rouage opaque. Seulement voilà : il n’est point évident qu’un tel galvaudage puisse acquérir l’assentiment des partenaires internationaux au point de drainer des appuis extérieurs pourtant substantiels à l’arrondissement des angles.
La Rédaction
Vous faites rire, rien n arrête nos bulldozers de kati. Ils se fichent des textes et des lois, ils grillent tout sur leur passage, ils détiennent pour les moments le fusil donc ils font leurs loi, à bas les lois du pays,jusqu’à……..
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