Entre un développement intégré productif et une intensification de sa production rizicole et maraîchère, l’Office du Niger qui s’appuie sur ses engagements dans un Contrat Plan 2014-2018 signé avec ses partenaires axe depuis peu son développement sur la vision d’un Agropole.
ÇA « RIZ » AUSSI !
Ce développement intégré sur lequel s’appuie l’Office du Niger depuis le début de l’année 2014, malgré l’insécurité qui a touché une partie de la zone depuis 2012, combiné à une bonne campagne agricole devra permettre à l’entreprise de renforcer davantage sa place dans l’atteinte de la sécurité alimentaire et la création de richesse pour le milieu rural et urbain. Avec un bond de plus de 771 000 tonnes de riz paddy attendues et 410 000 tonnes de produits maraichers, de maïs et de pomme de terre, l’Office du Niger s’annonce comme l’Agropole de Ségou. Les 2 500 ha du Bewani réceptionnés le 31 Mars dernier avec le PM Oumar Tatam Ly, une offre de l’Union Européenne, les 2 200 ha du casier de Sabalibougou financés par la Banque Mondiale, les 1 722 ha du casier de Siengo (financement allemand), la réhabilitation de plus de 3 000 ha dans la Zone de Molodo par la coopération canadienne, le Programme d’Aménagement Hydro Agricole (PAHA) dont l’étude a été lancée en juillet dernier et celui portant sur le développement des cultures irriguées et dont les conditions de décaissement ont été satisfaites le mois dernier, adoubés depuis peu, à une intensification par l’adoption au Système de riziculture intensif et à l’utilisation du phosphate naturel de Bourem ainsi que d’autres innovations, vont finir par faire réussir à l’Office du Niger son objectif à l’horizon 2018 : produire 1 122 350 tonnes. Un challenge possible grâce aux engagements des trois partenaires (Etat, Producteurs et Office du Niger) consignés dans un contrat plan triennal (le dernier oscille entre 2014-2018) qui lui intime de réaliser 13 000 ha par an.
UN PARTENARIAT SOCIAL DYNAMIQUE
Ce Contrat Plan qui a été signé par tous les partenaires en février dernier intègre toutes les activités agro-sylvo-pastorales et halieutiques ainsi que le renforcement des organisations paysannes et des agents de l’entreprise. Il aura vu, en tout cas dès l’année de sa signature, l’Office du Niger s’évertuer à prendre comme socle de sa performance l’instauration d’un climat social attractif et durable au bénéfice de ses producteurs et de ses travailleurs. Il est donc loin le temps où les syndicats des exploitants agricoles ruaient dans les brancards. Aujourd’hui, ils participent activement à l’essor de la production et de la productivité. Et l’Office du Niger vient d’innover, d’ailleurs, avec eux en décidant de les sécuriser. L’Assurance Mixte SAMIYA pour les exploitants agricoles (une première) dont une trentaine sont déjà membres, avant même sa solennité, permet à tout sociétaire de bénéficier auprès de la SONAVIE d’un capital retraite de 1 à 6 millions et demi de F CFA selon la prime annuelle que ce dernier cotisera après la récolte de son champ, cette prime annuelle variant entre 120 000 et 720 000 F CFA. De même, le nouvel Accord d’Etablissement en vigueur depuis Août dernier à l’Office du Niger est un gage de bonne volonté et d’adresse de la Direction Générale de l’entreprise d’améliorer les conditions de ses travailleurs pour réussir d’autres performances dont la première est de faire de ce pays une puissance agricole.
Moutta
A encourager
ha sacré moustaph, toi qui a dit ne pas vouloir travailler avec ilias. depuis quand ton journal a repris? l’aide de la presse arrive.
Si je pouvais avoir seulement 10 hectares dans cette zone.
Quelque chose se feraqui ne sera pas loin du miracle.
Seul et seulement seul le travail paye.
Nous les africains qui avions la parcularite de transpirer dans les pays temperes grelottons dans nos pays tropicaux sous les climatisateurs..
SEUL LE TRAVAIL LIBERE L’HOMME.
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