Les dénonciations faites dans ses les lettres, loin de défendre les producteurs, visent à saper les efforts des autorités qui ambitionnent de faire de l’Office du Niger l’agropole de Ségou.
Interact Afrique-Europe basé au Mali, Burkina Faso, Togo, Allemagne, Autriche et Pays-Bas et Fian international sont deux réseaux altermondialistes. Ils disent défendre les droits des populations victimes d’accaparement des terres dans la zone Office du Niger. Selon une source, le contenu des deux lettres, envoyées respectivement en septembre 2014 et avril 2015 au président de la République et au gouverneur de Ségou ne reflète pas la réalité sur le terrain.
Dans ces lettres, Fian international et Interact Afrique-Europe remettent en cause le contrat de bail n° 001/PDG-ON du 31 mai 2010 entre le gouvernement malien représenté par la direction de l’Office du Niger et les Moulins modernes du Mali (M3) pour l’implantation d’un complexe agro-industriel. Certaines organisations, faut-il le rappeler ont , par le passé, utilisé des pressions sociales pour mettre en échec des projets initiés par l’Etat pour lutter contre la pauvreté. Il s’agit du projet sucrier de Markala (SOSUMAR).
Dans les différentes correspondances, Interact Afrique-Europe et Fian international ont rappelé des manifestations devant l’ambassade du Mali à Berlin, le 21 août 2014. Ces organisations ont justifié ces manifestations par le non respect des engagements de l’Office du Niger dans le dédommagement des populations de Sanamandougou et de Sahou qui ont été expropriées.
Les enquêtes que nous avons effectuées sur le terrain et auprès de l’Office du Niger nous ont permis de savoir que les populations dont les terres ont été touchées ont reçu des compensations selon les modalités de gérance à l’Office du Niger.
Toujours selon notre source, à Sahou et à Sanamandougou, plus de la majorité des habitants est consernéé a été compensée. Ce ne sont que sept familles qui refusent leur dû et continuent à réclamer leurs terres évaluées à 25 ha.
Dans le code domanial et foncier malien, il est dit que la terre appartient à l’Etat qui peut exproprier qui il veut. Le dédommagement peut intervenir pour des raisons sociales ou si le propriétaire peut se prévaloir de droits réels.
Les agissements de certains groupes dans les zones de production au Mali et ailleurs sont décrits par certains comme un soutien des organisations dites de défense des droits de l’homme destiné à freiner les processus de développement enclenché par le gouvernement. Dans notre pays, ces actions visent à miner les efforts de l’Etat qui cherchent à faire de la zone Office du Niger un endroit où cohabitent les exploitations familiales, industrielles et commerciales.
L’objectif est de faire de l’ON l’agropole de Ségou. C’est dans ce cadre que dans la nouvelle attribution des terres, l’Etat a instruit de donner au moins 3 hectares par exploitant. Ces mesures visent à réduire la pauvreté. Ce sont toutes les actions de développement dans la zone qu’Interact Afrique-Europe et Fian international tentent de mettre à l’eau, déclare notre source. Ces organisations ont pour relais la Convergence malienne contre les accaparements de terre (Cemat). Une organisation qui utilise certains producteurs.
Rappelons que les leaders de Cemat sont en détention actuellement pour avoir tenté de perturber un procès les concernant à la Cour d’appel de Bamako en mars dernier.
Moussa SIDIBE
il semble que c’est article est une mensonge .Cette article est pour cacher la verite . Ce journaliste a seulement blamer les ONG mais EN REALITE LES ONG DEFENDRE LES POPULATION.
hi
Personne ne doit accorder du crédit à ce que disent ces organisations comme Interact et Fian international dont le mensonge est devenu leur sport favori. Le chien aboie, la caravane passe. Le journal l’Indépendant a su décrire leur vrai visage. Le gouvernement doit aussi leur tenir le lange de la vérité ou les multiplier par zéro.
L’Afrique est devenue malheureusement ces dernières décennies un champ d’expérimentation des altermondialistes parce que nos gouvernements sont leurs proies faciles. Certains de nos compatriotes comme la Cemat se prêtent malheureusement à ce jeu. Ces prétendus défenseurs des paysans qui n’ont pas un mètre carré de terre parlent et agissent au nom des paysans . La raison, ce combat est devenu leur gagne paix. Ils n’hésitent même pas à mentir pour manger. Que Dieu sauve le Mali et le continent africain. Amen.
Les pseudo altermondialistes sont les ennemis des pays pauvres. Ils font semblant d’aider les populations faibles alors qu’ils s’enrichissent dans leur combat. Comment peut-on défendre en ce 21e siècle le travail de la terre par des moyens rudimentaires au détriment de l’agriculture industrielle dont seuls les investisseurs privés ont les moyens.
Fian international et Interact qui défendent le diable savent bien que dans leur pays en Europe, le temps de l’agriculture mécanique est révolu depuis des siècles. Ces organisations fantoches préfèrent maintenir nos pays dans la précarité agricole afin de tirer le maximum de profit dans cette situation. Pourquoi Fian et Interact n’obligent-ils pas leur gouvernement à ceder leurs terres aux pauvres de leurs pays ?
“Dans le code domanial et foncier malien, il est dit que la terre appartient à l’Etat qui peut exproprier qui il veut. C’est cette expression qui toujours utilisée par certains mauvais fonctionnaire pour spolier les population sur fond de corruption.
Alors si la terre appartient à l’état, “l’état appartient à qui?”.
Les cadres de l’office ont tellement perdu fois aux capacités du malien qu’ils pense qu’on ne pourra jamais aménager les terres de la zone office alors ils se mettent à céder les terres aux étrangers. Naturellement cela va créer des problèmes sérieux dans un proche avenir. Ce genre de distribution de terre cette fois par autochtones est l’une des causes de la crise que la côte d’ivoire a connu et continu même de connaître. Moi je suis malien et optimiste et je pense que nous maliens nous pourrons nous même aménager ces terres dans l’avenir pas besoin donc de les donner à des étrangers. Le Burkina Faso continu de considérer comme ses citoyens des mossi installés en zone office depuis les années 40 et cela ne nous sert pas de leçon.
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