Monde des affaires : Sale temps pour Babalaye Daou

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Sans identité, sans volonté personnelle et sans référence en la matière, contre toute attente, l’homme  fut propulsé au devant de la scène. Il s’agit de Babalaye Daou, l’eternel pistonné, est devenu président du Conseil Malien des Chargeurs par effraction, toute chose qui explique sa façon d’amateur de gérer la structure. Conséquence, le conseil est aujourd’hui au bout du souffle.

 

 

Bientôt le sol bamakois tremblerait, si ce n’est déjà pas le cas sous les longs pieds de l’actuel président du Conseil Malien des Chargeurs. En effet, le patron des lieux se serait plus occupé à satisfaire ses affaires personnelles que de songer à consolider les fondements de cette structure combien importante dans l’économie malienne. 

            Par son comportement, le Conseil se trouve dans l’expectative d’un lendemain douloureux, pour cause du comportement peu enviable de l’homme.  En effet, celui qui est accidentellement devenu président du Conseil Malien des Chargeurs  souffre de beaucoup de carences, qui mettraient en doute sa capacité de bien diriger aux souhaits exprimés de nos plus  hautes autorités.  La corporation va aujourd’hui de mal en pis depuis l’arrivée aux affaires de Babalaye Daou. Imposé par les pouvoirs publics, ce sans ”papier” parachuté dans le monde  des affaires, n’arrive pas à se donner une bonne direction. Non seulement, le Conseil Malien de Chargeurs (CMC) a perdu de sa crédibilité mais aussi et surtout, la famille Daou et l’Institution se confondent. Dernière révélation, une Dame, ancienne ministre de son état, aurait récemment eu des altercations dans la famille Daou.

            En Commune I, tout le quartier de Korofina est étonné par ce qui vient de se passer. Sous prétexte  qu’elle avait été trahie par Monsieur, la bonne dame se serait rendue au domicile du président du conseil malien des chargeurs (pourtant un homme marié) pour s’adonner à des coups de violence.  Des véhicules auraient subi des dommages sérieux. Il a donc fallu de peu pour que la maison ne brûle.

            Des voisins auraient  fourni beaucoup d’efforts pour calmer la fureur de l’épouse légitime et légale. Pour masquer la situation, les réparations ont été opérées nuitamment. Malgré tout, l’affaire contenue de faire du bruit.

 

Amadou Coulibaly

 

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