La dizaine de dragues saisies et les 23 personnes arrêtées sont déjà entre les mains de la justice. Ils sont accusés d’enfreindre la décision d’interdiction, d’exploration et d’exploitation aurifère par drague sur les cours d’eau au Mali. Parmi eux, il y a plusieurs nationalités.
Face à la pollution causée par le dragage et l’utilisation des produits chimiques dangereux sur les cours d’eau, les autorités maliennes ont pris l’arrêté interministériel N°2019-1344/MMP-MEADD-MATD-MSPC-SG du 15 mai 2019 portant suspension des activités d’exploration et d’exploitation aurifère par drague sur les cours d’eau au Mali. Cette suspension est valable sur toute l’étendue du territoire malien pour une durée de 12 mois à compter du 15 mai 2019.
Le gouvernement a également mis en garde contre toute violation de la présente suspension qui exposerait ses auteurs au déguerpissement sans préavis et à la saisie des équipements sans préjudice de poursuites judiciaires conformément à la loi.
Pour vérifier le respect effectif de cette décision sur le terrain, les forces de l’ordre et de sécurité ont effectué des missions sur le terrain. Cette mission s’est avérée payante. Elles ont appréhendé en flagrant délit 23 personnes en activité sur le lit du fleuve Sankarani. Ces personnes et leurs équipements ont été transférés à Bamako et remis à la justice. Parmi ces personnes arrêtées, on dénombre des Maliens, des Guinéens, des Burkinabè et Sénégalais.
Concernant les bras longs qui protègent discrètement les pratiquants de dragage à Bamako et les Chinois qui sont de plus en plus actifs sur nos cours d’eau, le ministre des Mines et du Pétrole, Mme LELENTA Hawa Baba BAH, a été très clair : «aucun obstacle, aucune intervention ne pourra empêcher cette opération qui est une instruction du Président de la République afin de limiter les dégâts sur nos fleuves. La décision s’applique à tout le monde y compris les Chinois…»
Les complices des pratiquants sont donc avertis de la détermination du gouvernement à relever les défis de cette mission commando. N’oublions pas également que dans ce pays, rien n’est surprenant car les grandes décisions sont souvent restées sans suite, notamment l’opération de déguerpissement Ami Kane, la décision de l’ancien PM Moussa Mara d’interdire la circulation des véhicules d’Etat durant le week-end.
Aux dernières nouvelles, des tractations seraient en cours pour accorder la liberté provisoire à certaines personnes interpellées. Les prochaines semaines nous édifieront davantage.
Y. Doumbia
Ces ministres propose quel autres travailles a ces gens,dont la plus part sont issus des regions de conflit.
Des citoyens qui investissent des millions pour crée de l’emploie a des millions de personnes et Mr le Président et quelque gouvernement trouve cela illégale et nuisible plusque les véhicule de munisma les avions de senou ces usines a travers le pays.
Je crois qu’aux Etats-Unis d’Amérique il est venu le temps des révoltes du printemps du $pringBoardAméricains enfin
Tensions dans au moins 75 grandes villes etats uniennes pour se libérer de l’OPPRE$$IOCCIDENTALE pour avoir une certaine souveraineté!
…
Allez interdire l’exploitation des ressources minières dans la région de Kidal dont vous n’osez même plus parler! Alors que que cela est connu de tout le monde, les engins que les français y ont déployés n’ont de militaire pour lutter contre des terroristes!
Respectez les lois nationales vous même d’abord avant de vouloir les imposer aux populations!
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