C’est en tout cas ce qu’a annoncé le ministre des Mines, Tiemoko Sangaré, lors de sa visite, lundi dernier, à Kokoyo, localité d’orpaillage, située à environ 52 km de l’arrondissement de Kangaba. En effet, le ministre des mines s’était rendu dans cette localité pour donner le coup d’envoi de la reprise de l’exploitation traditionnelle de l’or au Mali. Tiémoko Sangaré en a profité pour annoncer la fin de l’anarchie dans le secteur de l’orpaillage.
Autrement dit, les choses ne seront plus comme avant. Le département des mines a, en effet, décidé de réorganiser le secteur. C’est ainsi que l’accès aux sites d’orpaillages, par exemple, sera désormais conditionné à la détention d’une carte professionnelle. Un recensement exhaustif sera mené à cet effet pour l’identification des orpailleurs, a expliqué le ministre Sangaré. Il aussi annoncé l’installation de comptoirs d’achats sur les sites d’orpaillage afin de permettre à l’Etat d’avoir des statistiques fiables. Au-delà de ça, explique-t-il, il s’agit à travers cette nouvelle réforme d’aider l’Etat à tirer profit d’une activité fort rentable.
A.N’djim
Cette decision du ministre au sujet des orpailleurs,prouve une fois de plus son manque de pragmantisme polique. Car ce n est pas de loin ,qu il faut lapider l essaim des abeilles, pour avoir du miel.cette decision du ministre va lamentablement echouer; au cause de son ignorance des réalités d orpaillage.Seulement le gouvernement sait qu on extrait quelques tonnes d or par ans,mais il ne sait pas que centaines de nos freres perissent pas ans; dans ces mines traditionnelles.Donc voila la solution du juste milieu: l etat à pour devoir d assurer la securité des hommes , leurs biens, ainsi que la modernisation de ces mines, pour moins de risque;et il aura sa part de pourcentage dans chaque mine,et non sur les hommes,car un grand nombre d hommes vivent labà ,dans l extreme misere.
C’est l’égoïsme maintenant. Sinon les orpailleurs ne gagnent rien sans la part de l’État.
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