Les mines d’or de Barrick opérant au Mali depuis un certain temps, ne cessent d’apporter leur contribution au développement socio-économique du pays. C’est le constat qui ressort d’une conférence de presse animée par le PDG du groupe canadien Barrick, M. Mark Bristow. C’était le dimanche 21 juillet dernier à Loulo, en présence de M. Tahirou Ballo, Directeur général de la mine de Loulo et des autres responsables.
Après deux décennies de création de valeur et de partenariat au Mali, les mines d’or de Barrick attendent toujours poursuivre la recherche et l’exploration sur la terre malienne. Et cela à travers un partenariat bien entretenu avec les autorités maliennes. « 20 ans après le début de la production de la mine de Morila, les mines d’or de Barrick opérant au Mali, continuent d’apporter une contribution majeure à l’économie du pays et de jouer un rôle de leader dans le développement de l’industrie minière », a déclaré Mark Bristow, d’entrée de jeu. Avant de signaler que le Gouvernement et la Direction de Barrick au Mali ont fait un progrès dans le cadre de la résolution de leurs différents fiscaux et que sa société s’attend à finaliser bientôt le processus de médiation convenu.
Des résultats satisfaisants en termes de production d’or et d’apport à l’économie nationale
À en croire Mark Bristow, la mine de Morila tend vers sa fermeture après une production d’or de 6,8 millions d’onces ; pendant que le complexe Loulo-Gounkoto a de nouveau enregistré au cours du dernier trimestre, la plus grande amélioration de production du portefeuille global de Barrick. Poursuivant son intervention, il dira que Randgold et la société qui lui a succédé ont dépensé plus de $160 millions dans l’exploration et a contribué environ pour $6,5 milliards à l’économie globale avec un total de $2,6 milliards au titre des taxes, redevances et dividendes. Avant d’ajouter que la société a contribué au PIB à hauteur de 6%.
Pour lui, le complexe Loulo-Gounkoto, au milieu de l’année était en bonne voie pour atteindre son objectif de production de 2019 de 690.000 once d’or et l’exploration continue autour de ses gisements principaux qui étaient en train de confirmer le potentiel pour le remplacement des réserves exploitées, supportant ainsi l’extension possible des dix ans du complexe. En effet, Barrick est également en train de chercher de nouveaux gisements le long de la zone de cisaillement sénégalo-malien. Toujours selon le PDG de Barrick, le complexe Loulo-Gounkoto comprend présentement les mines souterraines de Yalea et Gara. Auxquelles s’ajoute, la super carrière de Gounkoto qui pourrait être la quatrième mine souterraine dont la faisabilité est en cours d’étude.
Barrick à l’avant-garde de la responsabilité sociétale des entreprises
En dépit de son objectif qui est de rester la meilleure société minière en termes de production d’or et de contribution à l’économie nationale, la société Barrick entend aussi être la meilleure société en termes de responsabilité sociétale des entreprises au Mali.
Selon Mark Bristow, le complexe Loulo-Goukoto a investi plus de $6,4 millions dans le développement communautaire de son installation à nos jours. Aujourd’hui, force est de constater que la formation dans le domaine de l’agro-business est un pari gagné par Barrick. En effet, le collège agricole créé par le complexe Loulo-Goukoto a sorti sa troisième promotion et les récipiendaires ont tous été mis dans des projets d’agro-business. Au-delà de cette belle œuvre, près de 19 écoles ont été construites et l’inscription est de plus en plus progressive. À cela s’ajoute, la construction de trois classes en faveurs des communautés riveraines, sans oublier la mise en œuvre des programmes de lutte contre le paludisme et le VIH/SIDA. Ce n’est pas tout. Loin s’en faut.
Mark Bristow a ajouté que le complexe Loulo-Gounkoto travaille sur l’installation d’une centrale solaire de 20 megawatts qui sera mis à la disposition de la population riveraine après la fermeture de la mine. « Les mines de Barrick ont été bénéfiques pour le Mali, non seulement en termes de leur contribution à l’économie mais aussi en termes de pratiques de mine de classe mondiale en matière de santé, de sécurité au travail et d’environnement. S’y ajoute, leur investissement dans le développement durable, leur soutien aux contacteurs et fournisseurs locaux et leur politique d’emploi et de responsabilisation des nationaux », a déclaré Mark Bristow, avant de conclure que les mines de Loulo-Gounkoto son dirigée par des maliens et 95% des 4 000 employés du complexe sont aussi des maliens.
Adama Coulibaly
Sinon à sadiola c’est la catastrophe. Ils n’ont fait que piller le pays en complicité avec des appatrides au sein du gouvernement d’antan et de la Semos. Tous des bâtards. Il faut voir comment les gens ont été chassé chassés quand la mine devait démarrer. Ces individus à la trempe d’un Diamontene comme sous préfet et d’un obsédé sexuel qui était à l’environnement tous deux aujourd’hui morts , après avoir commis de tels forfaits. Ils trouveront le Bon Dieu là bas.
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