La SEMOS vole au secours des populations de Kayes

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La Société d’Exploitation des Mines d’Or de Sadiola (SEMOS) a offert, la semaine dernière, des vivres d’une valeur de 31 millions  CFA aux populations de deux  communes (Sadiolo et Diamou). Des communes, sévèrement, affectées par la crise alimentaire. La cérémonie de remise s’est déroulée, en présence du directeur général de la SEMOS et des maires des communes concernées.

La région de Kayes est une région minière par excellence. C’est aussi, la région qui a été la plus affectée par le manque de pluie. La  situation de la région de Kayes se caractérise par le manque criard de pâturage, la baisse vertigineuse de la production céréalière, l’assèchement des rivières. Aussi, les prix des  denrées alimentaires, dans cette région, sont les plus élevés.

Face à cette situation,   en passe de tourner au drame, la SEMOS  n’entend pas rester les bras croisés. C’est  pour cette raison qu’elle a offert, la semaine dernière, des vivres d’une valeur de plus de 31 millions CFA aux communes de Sadiola et de Diamou. Des communes qui vivent, actuellement, une situation alimentaire difficile.

«Nous avons toujours soutenu les communautés vivant autour de nos mines et nous continuerons de le faire. Nous le ferons dans la limite de nos moyens,  en fonction des besoins», a déclaré M. Edwin Desjardins, directeur général de SEMOS et Yatela-SA. Ces vivres, selon le patron de la SEMOS,  permettront aux populations de ces deux communes, majoritairement, agriculteurs et pasteurs d’aborder, avec force, la campagne agricole en cours. Un appui, ajoute-t-il, qui renforcera leur capacité de subsistance pendant quelques mois.

Les maires des deux communes (Sadiola et Diamou) ont rassuré que ce don sera utilisé à bon escient. Et le directeur général de promettre, aux populations Sadiola et Diamou, d’autres aides.

Rappelons qu’environ 60 villages de la région de Kayes  bénéficieront de cet appui de la SEMOS.

Abou Berthé

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1 commentaire

  1. pas de commentaire pour ton message je te dit mon cher berthe les realites sont tout autres. tout se fait a sadiola ne vois pas ses mietes que la semos donne mais regarde plutot ce que ses gens la font a tes parents que nous somme la societe exploite combien de tonne par an ok tu me diras que c’est par des accords mais les maliens qui travail dans ses societes soufre trop mon cher pas d’avancement si tu n’es pas parent de; des sanctions bidons pour te renvoyer; en cas de greve holala ils chassent les syndicats menacent les ouvriers qui suivent;tout resement on vien d’observer une greve de protestation a moolman aujourd’hui les syndicats sont suspendus et les employers qui ont suivis la greve n’auront pas droit au pres pour preparer le moi de careme et les gentis toutous en beneficies quel situation mon cher berthe. est ce encore possible au Mali je vous pose la question merci.

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